Saint-Louis, 18 jan (APS) - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Pr Mary Teuw Niane, a affirmé, vendredi, à Saint-Louis, que la jeunesse constitue un atout pour le Sénégal, qui doit s’appuyer sur cette couche de la population pour propulser son développement économique.
Les études restent la voie royale pour les jeunes sénégalais de participer au développement de leur pays, a souligné M. Niane, à l’occasion de la rentrée de la commission sociale de l’Université Gaston Berger (UGB), placée cette année sur le thème : ‘’Jeunesse, patriotisme et responsabilité’’.
A cet égard, il les a invités à explorer toutes les sciences, avant de les appeler à s’engager ensuite dans des projets de volontariat pour la construction d’infrastructures dans le pays.
Il a dit sa peine de voir le Sénégal aux mains de volontaires européens pendant les vacances scolaires, pendant que sa jeunesse joue les navétanes.
L’ancien recteur de l’UGB est aussi d’avis que pour se développer, le pays devra régler le problème de l’analphabétisme de la majorité de sa population.
A ce propos, les étudiants ont une responsabilité énorme et doivent sillonner les villages pour alphabétiser les masses illettrées.
M. Niane dit ne pas comprendre que le Sénégalais qui parcourt le monde grâce à sa compétence dans divers domaines reste inhibé une fois chez lui et n’arrive pas sortir du sous-développement.
Il estime que les pouvoirs publics ont leur responsabilité dans cet état de fait en renonçant le plus souvent à instaurer une société propice au développement du mérite et à la sanction des fautes commises.
La nouvelle politique impulsée par le régime issue de l’alternance du 25 mars 2012 compte inverser cette tendance et favoriser un environnement favorable à l’épanouissement de tous les talents sans discrimination.
Cette politique valorisera les traditions sénégalaises faites de persévérance et de courage, mais aussi devra punir les actes consistant à détourner les deniers publics pour donner le bon exemple à la jeunesse.
Le recteur de l’UGB, Lamine Guèye, ainsi que le directeur du Centre régional des œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS), Biram Ndeck Ndiaye, ont insisté dans leurs interventions sur le rôle que devra jouer la jeunesse sénégalaise dans l’avènement d’une société plus épanouie.
AMD/ASG
Les études restent la voie royale pour les jeunes sénégalais de participer au développement de leur pays, a souligné M. Niane, à l’occasion de la rentrée de la commission sociale de l’Université Gaston Berger (UGB), placée cette année sur le thème : ‘’Jeunesse, patriotisme et responsabilité’’.
A cet égard, il les a invités à explorer toutes les sciences, avant de les appeler à s’engager ensuite dans des projets de volontariat pour la construction d’infrastructures dans le pays.
Il a dit sa peine de voir le Sénégal aux mains de volontaires européens pendant les vacances scolaires, pendant que sa jeunesse joue les navétanes.
L’ancien recteur de l’UGB est aussi d’avis que pour se développer, le pays devra régler le problème de l’analphabétisme de la majorité de sa population.
A ce propos, les étudiants ont une responsabilité énorme et doivent sillonner les villages pour alphabétiser les masses illettrées.
M. Niane dit ne pas comprendre que le Sénégalais qui parcourt le monde grâce à sa compétence dans divers domaines reste inhibé une fois chez lui et n’arrive pas sortir du sous-développement.
Il estime que les pouvoirs publics ont leur responsabilité dans cet état de fait en renonçant le plus souvent à instaurer une société propice au développement du mérite et à la sanction des fautes commises.
La nouvelle politique impulsée par le régime issue de l’alternance du 25 mars 2012 compte inverser cette tendance et favoriser un environnement favorable à l’épanouissement de tous les talents sans discrimination.
Cette politique valorisera les traditions sénégalaises faites de persévérance et de courage, mais aussi devra punir les actes consistant à détourner les deniers publics pour donner le bon exemple à la jeunesse.
Le recteur de l’UGB, Lamine Guèye, ainsi que le directeur du Centre régional des œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS), Biram Ndeck Ndiaye, ont insisté dans leurs interventions sur le rôle que devra jouer la jeunesse sénégalaise dans l’avènement d’une société plus épanouie.
AMD/ASG