Tambacounda, 3 mai (APS) – La commune de Tambacounda (est) a signé un contrat avec une entreprise de nettoiement dénommée Ecosystème qui prend effet à partir de ce lundi, a indiqué le maire Oury Bâ.
L’entreprise Ecosystème aura pour tâche la pré-collecte, la collecte de déchets auprès des ménages et autres sites, le nettoiement des grandes artères de la ville et le transport des déchets vers une décharge finale.
Dans le cadre de ce dispositif, la mairie confiera les tâches de gestion des abonnés, celles de recouvrement, de sensibilisation et de mobilisation des populations à des comités de développement de quartier (CDQ).
Ces comités se chargeront du versement des fonds collectés à la mairie, contre la remise d’une quittance à l’usager par la mairie qui assure la supervision de la collecte.
Le projet SINVAD est financé par Sint-Niklaas (Belgique) qui est liée par un partenariat avec Tambacounda.
Ce projet se chargera de coordonner toutes les opérations d’information et de formation des acteurs, du suivi, de la mise en oeuvre des opérations d’évaluation des activités et des rapports d’activités mensuels.
La municipalité remettra quelque 11.000 poubelles aux ménages et l’entreprise disposera elle 171 bacs à ordures à différents points de la ville.
D’après le maire, la commune ‘’versera chaque mois 3,2 millions de francs (CFA) l’entreprise jusqu’au mois de décembre prochain’’, soit 28,5 millions durant l’année.
Un camion de collecte et un camion de vidange pris en location par la mairie à raison de 155.000 francs par jour, sillonneront la ville de 7 heures à 14 heures.
‘’Nous cheminons ensemble pour relever le défi de la saleté’’, a indiqué le préfet du département, Amadou Bamba Koné, lors de la cérémonie de lancement.
L’autorité a suggéré au maire mettre "le focus" chaque mois ou chaque semaine sur un quartier, ‘’en mettant les moyens pour relever le défi de la saleté’’. ‘’C’est du possible. La saleté doit reculer, c’est un impératif’’, a-t-il souligné.
‘’On ne peut pas entrevoir un développement dans un espace qui est insalubre’’, a-t-il relevé. M. Koné, a en outre souligné la nécessité pour les populations d’"ancrer" la propreté dans leurs habitudes.
‘’C’est bien de nettoyer, mais ne pas salir c’est encore mieux’’, a-t-il dit, invitant tout le monde à ‘’un effort supplémentaire pour d’abord rendre hommage au maire qui eu cette idée généreuse’’.
L’entreprise Ecosystème aura pour tâche la pré-collecte, la collecte de déchets auprès des ménages et autres sites, le nettoiement des grandes artères de la ville et le transport des déchets vers une décharge finale.
Dans le cadre de ce dispositif, la mairie confiera les tâches de gestion des abonnés, celles de recouvrement, de sensibilisation et de mobilisation des populations à des comités de développement de quartier (CDQ).
Ces comités se chargeront du versement des fonds collectés à la mairie, contre la remise d’une quittance à l’usager par la mairie qui assure la supervision de la collecte.
Le projet SINVAD est financé par Sint-Niklaas (Belgique) qui est liée par un partenariat avec Tambacounda.
Ce projet se chargera de coordonner toutes les opérations d’information et de formation des acteurs, du suivi, de la mise en oeuvre des opérations d’évaluation des activités et des rapports d’activités mensuels.
La municipalité remettra quelque 11.000 poubelles aux ménages et l’entreprise disposera elle 171 bacs à ordures à différents points de la ville.
D’après le maire, la commune ‘’versera chaque mois 3,2 millions de francs (CFA) l’entreprise jusqu’au mois de décembre prochain’’, soit 28,5 millions durant l’année.
Un camion de collecte et un camion de vidange pris en location par la mairie à raison de 155.000 francs par jour, sillonneront la ville de 7 heures à 14 heures.
‘’Nous cheminons ensemble pour relever le défi de la saleté’’, a indiqué le préfet du département, Amadou Bamba Koné, lors de la cérémonie de lancement.
L’autorité a suggéré au maire mettre "le focus" chaque mois ou chaque semaine sur un quartier, ‘’en mettant les moyens pour relever le défi de la saleté’’. ‘’C’est du possible. La saleté doit reculer, c’est un impératif’’, a-t-il souligné.
‘’On ne peut pas entrevoir un développement dans un espace qui est insalubre’’, a-t-il relevé. M. Koné, a en outre souligné la nécessité pour les populations d’"ancrer" la propreté dans leurs habitudes.
‘’C’est bien de nettoyer, mais ne pas salir c’est encore mieux’’, a-t-il dit, invitant tout le monde à ‘’un effort supplémentaire pour d’abord rendre hommage au maire qui eu cette idée généreuse’’.