Dakar, 21 nov (APS) - La médecine traditionnelle peut et doit jouer un rôle de premier plan dans la réponse communautaire face à la pandémie du VIH/Sida, a soutenu Alioune Aw, chef du bureau de la médecine traditionnelle au ministère de la Santé et de la Prévention.
‘’L’infection au VIH doit mobiliser tout le monde’’ et ‘’c’est pourquoi, il faudra étudier et identifier les meilleurs moyens de développer le rôle important des tradipraticiens’’, a-t-il dit vendredi à l’ouverture d’un atelier de 2 jours consacré à la présentation du Rapport national d’évaluation des interventions des tradipraticiens de l’ONG Guëstu dans la réponse au VIH/Sida.
‘’L’aptitude des tradipraticiens à communiquer est une ressource vitale qui doit être utilisée dans les activités promotionnelles de la santé communautaire’’, a encore soutenu le chef du bureau de la médecine traditionnelle, en présidant l’ouverture de cette rencontre tenue à l’Institut Paul Corréa.
Il s’est félicité de la réalisation et des actes posés par les tradipraticiens qui, selon lui, les positionnent comme étant des collaborateurs de ‘’premier plan’’ du ministère de la Santé et de la Prévention.
Il en veut pour preuve, l’amélioration des connaissances de plus de 300 tradipraticiens dans la prévention des IST/Sida, le dépistage de plus 700 d’entre eux, l’édification d’un centre sur la médecine traditionnelle à Pout, dans la région de Thiès.
‘’Votre implication effective dans la mise sur pied du réseau ouest africain des tradipraticiens pour la lutte contre le VIH/Sida, démontre votre degré d’engagement dans la lutte contre ce fléau des temps modernes’’, a-t-il lancé à l’endroit des participants.
Auparavant, le coordonnateur de l’ONG Guëstu, Mamadou Ba, avait relevé que l’ambition des tradipraticiens était de revaloriser la médecine traditionnelle, en mettant en exergue tout le potentiel encore méconnu de la plupart des populations.
Selon Alioune Aw, les connaissances de l’Afrique noire en matière de savoir sont ‘’vastes’’ et ‘’inépuisables’’. ‘’La médecine traditionnelle, a-t-il dit, est le trait unificateur de nos races et des populations africaines’’.
‘’Malgré cet atout, l’Afrique est exposée aux désastres et autre situations d’urgence, dont le VIH/Sida’’, a rappelé le coordonnateur de l’ONG Guëstu.
Mamadou Bâ a souhaité que le Sénégal mette en place des mécanismes qui intègrent les valeurs fondamentales de la médecine traditionnelle pour la réussite des programmes et politiques de santé publique.
‘’L’infection au VIH doit mobiliser tout le monde’’ et ‘’c’est pourquoi, il faudra étudier et identifier les meilleurs moyens de développer le rôle important des tradipraticiens’’, a-t-il dit vendredi à l’ouverture d’un atelier de 2 jours consacré à la présentation du Rapport national d’évaluation des interventions des tradipraticiens de l’ONG Guëstu dans la réponse au VIH/Sida.
‘’L’aptitude des tradipraticiens à communiquer est une ressource vitale qui doit être utilisée dans les activités promotionnelles de la santé communautaire’’, a encore soutenu le chef du bureau de la médecine traditionnelle, en présidant l’ouverture de cette rencontre tenue à l’Institut Paul Corréa.
Il s’est félicité de la réalisation et des actes posés par les tradipraticiens qui, selon lui, les positionnent comme étant des collaborateurs de ‘’premier plan’’ du ministère de la Santé et de la Prévention.
Il en veut pour preuve, l’amélioration des connaissances de plus de 300 tradipraticiens dans la prévention des IST/Sida, le dépistage de plus 700 d’entre eux, l’édification d’un centre sur la médecine traditionnelle à Pout, dans la région de Thiès.
‘’Votre implication effective dans la mise sur pied du réseau ouest africain des tradipraticiens pour la lutte contre le VIH/Sida, démontre votre degré d’engagement dans la lutte contre ce fléau des temps modernes’’, a-t-il lancé à l’endroit des participants.
Auparavant, le coordonnateur de l’ONG Guëstu, Mamadou Ba, avait relevé que l’ambition des tradipraticiens était de revaloriser la médecine traditionnelle, en mettant en exergue tout le potentiel encore méconnu de la plupart des populations.
Selon Alioune Aw, les connaissances de l’Afrique noire en matière de savoir sont ‘’vastes’’ et ‘’inépuisables’’. ‘’La médecine traditionnelle, a-t-il dit, est le trait unificateur de nos races et des populations africaines’’.
‘’Malgré cet atout, l’Afrique est exposée aux désastres et autre situations d’urgence, dont le VIH/Sida’’, a rappelé le coordonnateur de l’ONG Guëstu.
Mamadou Bâ a souhaité que le Sénégal mette en place des mécanismes qui intègrent les valeurs fondamentales de la médecine traditionnelle pour la réussite des programmes et politiques de santé publique.