Ziguinchor, 21 mai (APS) - L’appui de l’Agence pour la relance des activités socio-économiques en Casamance (ANRAC) aux populations vulnérables a un impact sur l’économie locale, car favorisant le développement des activités agricoles, a déclaré, mercredi, le directeur général de cette agence, Moustapha Lô Diatta.
‘’Au-delà de l’aide sociale, l’appui de l’ANRAC aux populations qui sont retournées dans leur terroir a un impact économique. En permettant aux populations de s’adonner à leurs activités anciennes, cela favorise la relance de l’économie locale’’, a-t-il dit à des journalistes à la fin d’une visite dans six villages des arrondissements de Niaguis et Nyassia, où l’ANRAC a aidé à couvrir des maisons avec de la tôle.
Pour conforter son affirmation, il a cité la récolte des noix de cajou et les activités génératrices de revenus dans les localités visitées où vivent des populations affectées par le conflit en Casamance.
Selon lui, l’appui de l’ANRAC aux réfugiés, aux déplacés et aux volontaires au retour participent au renforcement du processus de paix en Casamance, en proie depuis 1982 à une crise irrédentiste.
A l’issue de la visite, Moustapha Lô Diatta s’est dit satisfait, en relevant que 90 % des maisons bénéficiaires du don ont été couvertes.
Les bénéficiaires qui ont tous magnifié l’appui de l’ANRAC, ont toutefois fait savoir à son directeur général que les 100 tôles offertes n’avaient pas suffi à couvrir leurs maisons. Certains d'entre eux ont déclaré qu’ils étaient même dans l’obligation de s’endetter pour compléter les tôles offertes par l’agence.
‘’Nous appuyons en fonction de la demande et en fonction de nos moyens. (…) Mais ce sont des demandes légitimes que nous étudierons pour voir dans quelle mesure nous pourrons augmenter cet appui’’, leur a répondu le directeur de l’ANRAC.
‘’L’expérience aidant, les 100 tôles ne suffisent pas couvrir les maisons. Mais, c’est mieux que rien’’, a de son côté dit le deuxième vice-président de la Communauté rurale de Boutoupa-Camaracounda, Famara Diandy.
L’élu local a souligné qu'à travers ce don, l’ANRAC souhaitait ainsi stabiliser les populations, en leur permettant de s’adonner aux activités agricoles.
En 2013, elle avait offert des tôles et des vivres à 93 personnes vulnérables.
ASB/ASG
‘’Au-delà de l’aide sociale, l’appui de l’ANRAC aux populations qui sont retournées dans leur terroir a un impact économique. En permettant aux populations de s’adonner à leurs activités anciennes, cela favorise la relance de l’économie locale’’, a-t-il dit à des journalistes à la fin d’une visite dans six villages des arrondissements de Niaguis et Nyassia, où l’ANRAC a aidé à couvrir des maisons avec de la tôle.
Pour conforter son affirmation, il a cité la récolte des noix de cajou et les activités génératrices de revenus dans les localités visitées où vivent des populations affectées par le conflit en Casamance.
Selon lui, l’appui de l’ANRAC aux réfugiés, aux déplacés et aux volontaires au retour participent au renforcement du processus de paix en Casamance, en proie depuis 1982 à une crise irrédentiste.
A l’issue de la visite, Moustapha Lô Diatta s’est dit satisfait, en relevant que 90 % des maisons bénéficiaires du don ont été couvertes.
Les bénéficiaires qui ont tous magnifié l’appui de l’ANRAC, ont toutefois fait savoir à son directeur général que les 100 tôles offertes n’avaient pas suffi à couvrir leurs maisons. Certains d'entre eux ont déclaré qu’ils étaient même dans l’obligation de s’endetter pour compléter les tôles offertes par l’agence.
‘’Nous appuyons en fonction de la demande et en fonction de nos moyens. (…) Mais ce sont des demandes légitimes que nous étudierons pour voir dans quelle mesure nous pourrons augmenter cet appui’’, leur a répondu le directeur de l’ANRAC.
‘’L’expérience aidant, les 100 tôles ne suffisent pas couvrir les maisons. Mais, c’est mieux que rien’’, a de son côté dit le deuxième vice-président de la Communauté rurale de Boutoupa-Camaracounda, Famara Diandy.
L’élu local a souligné qu'à travers ce don, l’ANRAC souhaitait ainsi stabiliser les populations, en leur permettant de s’adonner aux activités agricoles.
En 2013, elle avait offert des tôles et des vivres à 93 personnes vulnérables.
ASB/ASG