Dakar, 5 avr (APS) – Le cancer est un ‘’nouveau mal’’ qui gagne les pays en développement, tout en restant plus meurtrier que le paludisme, le sida et la tuberculose réunis, indique une publication de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) dont copie est parvenue vendredi à l’APS.
Avec les changements de mode de vie, il se propage aux pays du Sud, signale la même source, précisant que, ‘’aujourd’hui, plus de 70% des 7,5 millions de décès dans le monde surviennent dans un pays à revenu faible ou intermédiaire’’.
Face à ce constat alarmant, les chercheurs de l’IRD et leurs partenaires s’attachent à préciser les facteurs déterminants de la maladie.
De la même façon, ils ‘’étudient comment la sélection naturelle a permis aux animaux d’être plus ou moins résistants au développement de cellules malignes’’.
Le cancer est la production anormale et anarchique dans l’organisme de cellules dites ‘’malignes’’.
Au cours de l’évolution, les êtres vivants ont mis en place des mécanismes naturels pour contrôler ces proliférations intempestives et empêcher un développement trop fréquent de ces tumeurs.
C’est pourquoi les chercheurs réunis au Centre de recherches écologiques et évolutives sur le cancer (CREEC) à Montpellier (France) étudient comment la sélection naturelle a façonné cette résistance au cancer parmi les différentes espèces.
Le cancer, deuxième cause de décès dans le monde, tue plus 7,5 millions de personnes par an, dont 500 000 en Afrique. De même, plus de 20% des décès par cancer dans les pays en développement sont d’origine infectieuse : cancer du col de l’utérus dû au papillomavirus, hépatites….
Les autres sont associés à des facteurs alimentaires et comportementaux (cancers du côlon, du poumon…) ou héréditaires et hormonaux (cancers du sein, de la prostate…).
Le nombre de nouveaux cas de cancer dans le monde devrait presque doubler d’ici 2030, passant de 12 à 22 millions par an, notamment du fait de la transition sociétale et économique rapide dans de nombreux pays du Sud.
LTF/ASG
Avec les changements de mode de vie, il se propage aux pays du Sud, signale la même source, précisant que, ‘’aujourd’hui, plus de 70% des 7,5 millions de décès dans le monde surviennent dans un pays à revenu faible ou intermédiaire’’.
Face à ce constat alarmant, les chercheurs de l’IRD et leurs partenaires s’attachent à préciser les facteurs déterminants de la maladie.
De la même façon, ils ‘’étudient comment la sélection naturelle a permis aux animaux d’être plus ou moins résistants au développement de cellules malignes’’.
Le cancer est la production anormale et anarchique dans l’organisme de cellules dites ‘’malignes’’.
Au cours de l’évolution, les êtres vivants ont mis en place des mécanismes naturels pour contrôler ces proliférations intempestives et empêcher un développement trop fréquent de ces tumeurs.
C’est pourquoi les chercheurs réunis au Centre de recherches écologiques et évolutives sur le cancer (CREEC) à Montpellier (France) étudient comment la sélection naturelle a façonné cette résistance au cancer parmi les différentes espèces.
Le cancer, deuxième cause de décès dans le monde, tue plus 7,5 millions de personnes par an, dont 500 000 en Afrique. De même, plus de 20% des décès par cancer dans les pays en développement sont d’origine infectieuse : cancer du col de l’utérus dû au papillomavirus, hépatites….
Les autres sont associés à des facteurs alimentaires et comportementaux (cancers du côlon, du poumon…) ou héréditaires et hormonaux (cancers du sein, de la prostate…).
Le nombre de nouveaux cas de cancer dans le monde devrait presque doubler d’ici 2030, passant de 12 à 22 millions par an, notamment du fait de la transition sociétale et économique rapide dans de nombreux pays du Sud.
LTF/ASG