Pikine, 7 fév (APS) – Les inondations et leurs conséquences constituent ‘’des préoccupations majeures’’ pour les élus face à des populations ‘’sinistrées et désarmées’’, a déclaré lundi le maire de la ville de Pikine, Pape Sagna Mbaye.
‘’La promiscuité, l’aggravation de la pauvreté, la destruction des biens et espaces marchands, les frustrations liées à la perte de leurs maisons, les dégradations au niveau de l’hygiène, de la santé, l’éducation comprise des enfants suite aux fermetures d’écoles sont autant d’effets désastreux des inondations qui constituent des préoccupations majeures des élus que nous sommes face à des populations sinistrées et désarmées’’, a-t-il indiqué.
Le maire de Pikine s’exprimait à l’ouverture des travaux de l’Assemblée internationale de l’assemblée générale du Forum des autorités locales de la périphérie (FAL/P) pour des métropoles solidaires.
La manifestation, dont l’ouverture a été présidée par le président de l’Assemblée nationale Mamadou Seck, a porté sur le thème central : ‘’ La problématique des inondations en Afrique : quel combat solidaire pour des solutions durables ?’’.
La rencontre, selon les organisateurs, a vu la participation de quelque 500 personnes, dont les élus locaux, des responsables du FAL/P, des membres du gouvernement, ainsi que des autorités administratives locales.
‘’Devant l’ampleur des tâches qui nous incombent, les autorités étatiques en collaboration avec les autorités de la ville (de Pikine) ont fourni des efforts louables pour alléger les souffrances de nos administrés’’, a dit Pape Sagna Mbaye.
Selon lui, la ville de Pikine qui compte 16 communes d’arrondissement ‘’dont les 10 connaissent chaque année des inondations récurrentes, consacre près de 20% de son budget de fonctionnement dans la lutte contre le fléau en se dotant de matériel de pompage, de drainage et de divers instruments pour la réhabilitation des zones affectées’’.
‘’Les inondations sont des catastrophes naturelles mais elles peuvent également être la résultante de mauvais choix d’urbanisme et d’habitat. Elles constituent de nos jours, une préoccupation mondiale. Elles touchent l’ensemble de la planète’’, a fait remarquer le maire de Pikine.
‘’Les solutions à tirer des expériences que nous avons vécues, doivent être durables’’, a-t-il indiqué
Il a ajouté : "à défaut d’éradiquer les inondations, nous devons leur trouver des remparts solides, mettre en place des politiques intelligentes d’occupations de nos sols, afin d’éviter que la main de l’homme ne vienne amplifier les effets des dérèglements climatiques et l’imprévisibilité des catastrophes naturelles’’.
SG/AD
‘’La promiscuité, l’aggravation de la pauvreté, la destruction des biens et espaces marchands, les frustrations liées à la perte de leurs maisons, les dégradations au niveau de l’hygiène, de la santé, l’éducation comprise des enfants suite aux fermetures d’écoles sont autant d’effets désastreux des inondations qui constituent des préoccupations majeures des élus que nous sommes face à des populations sinistrées et désarmées’’, a-t-il indiqué.
Le maire de Pikine s’exprimait à l’ouverture des travaux de l’Assemblée internationale de l’assemblée générale du Forum des autorités locales de la périphérie (FAL/P) pour des métropoles solidaires.
La manifestation, dont l’ouverture a été présidée par le président de l’Assemblée nationale Mamadou Seck, a porté sur le thème central : ‘’ La problématique des inondations en Afrique : quel combat solidaire pour des solutions durables ?’’.
La rencontre, selon les organisateurs, a vu la participation de quelque 500 personnes, dont les élus locaux, des responsables du FAL/P, des membres du gouvernement, ainsi que des autorités administratives locales.
‘’Devant l’ampleur des tâches qui nous incombent, les autorités étatiques en collaboration avec les autorités de la ville (de Pikine) ont fourni des efforts louables pour alléger les souffrances de nos administrés’’, a dit Pape Sagna Mbaye.
Selon lui, la ville de Pikine qui compte 16 communes d’arrondissement ‘’dont les 10 connaissent chaque année des inondations récurrentes, consacre près de 20% de son budget de fonctionnement dans la lutte contre le fléau en se dotant de matériel de pompage, de drainage et de divers instruments pour la réhabilitation des zones affectées’’.
‘’Les inondations sont des catastrophes naturelles mais elles peuvent également être la résultante de mauvais choix d’urbanisme et d’habitat. Elles constituent de nos jours, une préoccupation mondiale. Elles touchent l’ensemble de la planète’’, a fait remarquer le maire de Pikine.
‘’Les solutions à tirer des expériences que nous avons vécues, doivent être durables’’, a-t-il indiqué
Il a ajouté : "à défaut d’éradiquer les inondations, nous devons leur trouver des remparts solides, mettre en place des politiques intelligentes d’occupations de nos sols, afin d’éviter que la main de l’homme ne vienne amplifier les effets des dérèglements climatiques et l’imprévisibilité des catastrophes naturelles’’.
SG/AD