Dakar, 8 avr (APS) – Une rencontre de pré-validation des documents qui seront présentés lors de la revue du Programme décennal de l’éducation et de la formation (PDEF), s’est ouverte jeudi à Dakar, afin de permettre aux acteurs d’apprécier les résultats et les performances du PDEF pour l’année 2009.
Cette rencontre vise également à permettre aux acteurs ‘’de partager les documents de programmation des activités pour l’année 2010’’, a expliqué Mafakha Touré, secrétaire général du ministère l’Enseignement préscolaire, de l’Elémentaire, du Moyen secondaire et des Langues nationales.
’’Il s’agit aussi de donner l’opportunité aux partenaires techniques, aux partenaires sociaux, syndicats et parents d’élèves, aux enseignants d’identifier les difficultés d’exécution du PDEF, en vue de dégager des perspectives et de proposer des stratégies pertinentes visant l’amélioration des performances du système’, a ajouté M. Touré.
Chaque année, à la veille de la revue, le ministère organise une mission de suivi-supervision de terrain, conjointement avec les partenaires techniques et financiers (PTF).
‘’Cette activité, inscrite dans l’agenda de la Direction de la planification et de la réforme de l’éducation (DPRE) est pour répondre à une préoccupation clairement exprimée dans la lettre d’entente gouvernement–PTF’’, a ajouté le coordonnateur du PDEF, Djibril Ndiaye Diouf.
Cet accord signé en février 2009 en faveur de l’éducation impose aux acteurs de l’éducation, ‘’l’obligation de reddition des comptes sur les performances du PDEF à tous les niveaux’’, a-t-il précisé.
L’application des principes de gestion axée sur les résultats (GAR) participe ainsi au renforcement des capacités et à l’accélération des avancées vers les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
‘’C’est un moment fort de partage et d’échanges avec l’ensemble des représentants de la communauté éducative les partenaires techniques, les syndicats, les parents d’élèves mais aussi les autorités au niveau central et au niveau déconcentré’’, a dit le directeur de la planification et de la réforme de l’éducation.
Déjà le bilan des recommandations de la 8-ème revue du PDEF fait état d’un niveau de début d’exécution de l’ordre de 75% avec des étapes d’avancement variables, selon toujours Djibril Ndiaye Diouf.
‘’Sur les 28 recommandations retenues au cours de la 8-ème revue du PDEF, une recommandation a été entièrement réalisée, 21 sont en cours de réalisation et 6 ne sont pas encore réalisées’’, a-t-il dit.
‘’Le bilan quantitatif et qualitatif de la mise en œuvre des programmes a montré que des progrès ont été réalisés, notamment en ce qui concerne l’accès, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de difficultés’’, a t- il reconnu.
D’où, a-t-il suggéré, ‘’l’importance d’identifier ces difficultés et de les documenter pour permettre de dégager des mesures d’accompagnement et de régulation de la mise en œuvre du programme’’.
L’une des difficultés reste la question de la motivation pour les enseignants affectés dans des zones enclavés. Pour le DPRE, ‘’ce n’est pas une question de salaire puisque à partir des études sur le niveau des dépenses publiques, il a été prouvé que l’enseignant sénégalais fait partie des mieux payés en Afrique’’.
‘’Nous parlons de motivation d’enseignants qui servent dans des zones déshéritées où il faut trouver des moyens incitatifs qui rendent ces zones attrayantes pour ces enseignants. La motivation n’est pas seulement financière, elle peut être variable’’, a relevé Djibril Ndiaye Diouf.
La qualité des classes nouvellement construites, la formation initiale, le recrutement des enseignements, la modernisation des daaras (écoles coraniques) sont parmi les difficultés soulevées par les participants.
Cette rencontre vise également à permettre aux acteurs ‘’de partager les documents de programmation des activités pour l’année 2010’’, a expliqué Mafakha Touré, secrétaire général du ministère l’Enseignement préscolaire, de l’Elémentaire, du Moyen secondaire et des Langues nationales.
’’Il s’agit aussi de donner l’opportunité aux partenaires techniques, aux partenaires sociaux, syndicats et parents d’élèves, aux enseignants d’identifier les difficultés d’exécution du PDEF, en vue de dégager des perspectives et de proposer des stratégies pertinentes visant l’amélioration des performances du système’, a ajouté M. Touré.
Chaque année, à la veille de la revue, le ministère organise une mission de suivi-supervision de terrain, conjointement avec les partenaires techniques et financiers (PTF).
‘’Cette activité, inscrite dans l’agenda de la Direction de la planification et de la réforme de l’éducation (DPRE) est pour répondre à une préoccupation clairement exprimée dans la lettre d’entente gouvernement–PTF’’, a ajouté le coordonnateur du PDEF, Djibril Ndiaye Diouf.
Cet accord signé en février 2009 en faveur de l’éducation impose aux acteurs de l’éducation, ‘’l’obligation de reddition des comptes sur les performances du PDEF à tous les niveaux’’, a-t-il précisé.
L’application des principes de gestion axée sur les résultats (GAR) participe ainsi au renforcement des capacités et à l’accélération des avancées vers les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
‘’C’est un moment fort de partage et d’échanges avec l’ensemble des représentants de la communauté éducative les partenaires techniques, les syndicats, les parents d’élèves mais aussi les autorités au niveau central et au niveau déconcentré’’, a dit le directeur de la planification et de la réforme de l’éducation.
Déjà le bilan des recommandations de la 8-ème revue du PDEF fait état d’un niveau de début d’exécution de l’ordre de 75% avec des étapes d’avancement variables, selon toujours Djibril Ndiaye Diouf.
‘’Sur les 28 recommandations retenues au cours de la 8-ème revue du PDEF, une recommandation a été entièrement réalisée, 21 sont en cours de réalisation et 6 ne sont pas encore réalisées’’, a-t-il dit.
‘’Le bilan quantitatif et qualitatif de la mise en œuvre des programmes a montré que des progrès ont été réalisés, notamment en ce qui concerne l’accès, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de difficultés’’, a t- il reconnu.
D’où, a-t-il suggéré, ‘’l’importance d’identifier ces difficultés et de les documenter pour permettre de dégager des mesures d’accompagnement et de régulation de la mise en œuvre du programme’’.
L’une des difficultés reste la question de la motivation pour les enseignants affectés dans des zones enclavés. Pour le DPRE, ‘’ce n’est pas une question de salaire puisque à partir des études sur le niveau des dépenses publiques, il a été prouvé que l’enseignant sénégalais fait partie des mieux payés en Afrique’’.
‘’Nous parlons de motivation d’enseignants qui servent dans des zones déshéritées où il faut trouver des moyens incitatifs qui rendent ces zones attrayantes pour ces enseignants. La motivation n’est pas seulement financière, elle peut être variable’’, a relevé Djibril Ndiaye Diouf.
La qualité des classes nouvellement construites, la formation initiale, le recrutement des enseignements, la modernisation des daaras (écoles coraniques) sont parmi les difficultés soulevées par les participants.