Louga, 28 mai (APS) – Les participants à un atelier d’évaluation des plans de communication sur la planification familiale et le paludisme ont souligné samedi la nécessité pour la Région médicale de Louga de résoudre les problèmes de rupture de stock des produits contraceptifs dans certains districts sanitaires de la région.
Des responsables de district, des coordonnatrices en santé de la reproduction (CSR) et des relais communautaires ont notamment pris part vendredi et samedi à l’atelier destiné à faire l’évaluation des activités entreprises dans la mise en œuvre d’un plan de communication triennal qui prend fin en juin.
‘’Demande a été faite à la région médicale de régler le problème de la rupture des produits contraceptifs. Mais le problème se situe dans le mot d’ordre de rétention de l’information sanitaire’’, a souligné Bineta Bocoum Sarr, responsable du Bureau régional de l’éducation et de l’information pour la santé (BREIPS).
Cette rétention de l’information sanitaire fait partie des actions initiées par le SUTSAS (Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale) dans le cadre de sa lutte pour la satisfaction de ses revendications.
‘’Avec le mot d’ordre de rétention, les rapports trimestriels de stock sur lesquels devrait s’appuyer la Région médicale ne sont pas transmis. Ce qui pousse la Région médicale à faire des commandes approximatives, occasionnant souvent ces ruptures’’, a souligné Mme Sarr
Le plan triennal de communication initié avec l’appui de l’USAID (Agence américaine pour le développement internationale) s’était fixé pour objectif d’arriver en 2011 à une couverture contraceptive de 33 % au Sénégal.
‘’Rien n’indique que objectif serait atteint. Certes, 32 % de la population féminine connaissent au moins une méthode contraceptive et expriment le besoin de l’utiliser. Mais seuls 4 % s’y adonnent’’, a relevé la responsable du BREIPS de Louga.
AKS/ASG
Des responsables de district, des coordonnatrices en santé de la reproduction (CSR) et des relais communautaires ont notamment pris part vendredi et samedi à l’atelier destiné à faire l’évaluation des activités entreprises dans la mise en œuvre d’un plan de communication triennal qui prend fin en juin.
‘’Demande a été faite à la région médicale de régler le problème de la rupture des produits contraceptifs. Mais le problème se situe dans le mot d’ordre de rétention de l’information sanitaire’’, a souligné Bineta Bocoum Sarr, responsable du Bureau régional de l’éducation et de l’information pour la santé (BREIPS).
Cette rétention de l’information sanitaire fait partie des actions initiées par le SUTSAS (Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale) dans le cadre de sa lutte pour la satisfaction de ses revendications.
‘’Avec le mot d’ordre de rétention, les rapports trimestriels de stock sur lesquels devrait s’appuyer la Région médicale ne sont pas transmis. Ce qui pousse la Région médicale à faire des commandes approximatives, occasionnant souvent ces ruptures’’, a souligné Mme Sarr
Le plan triennal de communication initié avec l’appui de l’USAID (Agence américaine pour le développement internationale) s’était fixé pour objectif d’arriver en 2011 à une couverture contraceptive de 33 % au Sénégal.
‘’Rien n’indique que objectif serait atteint. Certes, 32 % de la population féminine connaissent au moins une méthode contraceptive et expriment le besoin de l’utiliser. Mais seuls 4 % s’y adonnent’’, a relevé la responsable du BREIPS de Louga.
AKS/ASG