L’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) a décidé de financer la 2è phase du Projet d’appui à l’amélioration de l’environnement scolaire au Sénégal (Paes) qui a sensiblement amélioré la qualité dans la région de Louga. Ce qui permettra d’étendre le projet aux autres régions.
Le Représentation résident adjoint de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica), Macaty Fall, a exprimé sa satisfaction eu regard des résultats réalisés par le Paes dans l’enseignement élémentaire à Louga. C’était au cours d’un atelier de partage qui s’est tenu hier à Dakar et qui a regroupé les Inspecteurs d’académie (Ia), Inspecteurs départementaux de l’éducation (Ide), ainsi que des partenaires techniques, financiers et sociaux de l’école. « Avec le Paes, la Jica est allée à la base pour renforcer les capacités de tous les acteurs qui gravitent autour de l’école pour leur permettre d’exprimer leurs besoins. Dans la région de Louga où le projet est en phase d’expérimentation, nous sommes parvenus à créer les conditions nécessaires à l’apprentissage pour réduire le taux d’abandon, inciter les parents à faire un suivi rapproché et aider les enseignants à donner beaucoup de cours de renforcement. Selon les statistiques, le Paes a engrangé un bon de 26 points », a expliqué M. Fall.
Il s’y ajoute que, l’année dernière, le projet a été évalué par une mission venue de Tokyo. Les conclusions sont encourageantes et pourraient même justifier une extension de l’approche du projet à d’autres régions du Sénégal.
« Le Japon a accepté de financer la 2ème phase qui sera élargie aux autres régions. Nous sommes en train d’étudier la question avec les autorités du ministère de l’Education », a révélé Macaty Fall. Lancé en 2007, le projet mobilise 600 millions de FCfa chaque année.
Pour sa part, le point focal du Paes à l’Iden de Louga, Mor Guèye, a indiqué que l’aspect positif du projet consiste à faire de l’école, celle de la communauté. « Le Paes a changé l’environnement scolaire à Louga.
Plusieurs activités liées à l’apprentissage et au cadre scolaire ont permis d’avoir un bon qualitatif » a-t-il ajouté. Selon lui, les Comités de gestion de l’école (Cge) sont certes institutionnalisés par le décret 2002-652 du juin 2002 mais leur mis en œuvre connaissait des difficultés. Il y a eu une redynamisation des Cge avec le Paes qui a donné un nouveau souffle. « Si le cadre scolaire est propice, les résultats suivent », s’est-t-il réjoui.
Maké DANGNOKHO
Le Soleil
Le Représentation résident adjoint de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica), Macaty Fall, a exprimé sa satisfaction eu regard des résultats réalisés par le Paes dans l’enseignement élémentaire à Louga. C’était au cours d’un atelier de partage qui s’est tenu hier à Dakar et qui a regroupé les Inspecteurs d’académie (Ia), Inspecteurs départementaux de l’éducation (Ide), ainsi que des partenaires techniques, financiers et sociaux de l’école. « Avec le Paes, la Jica est allée à la base pour renforcer les capacités de tous les acteurs qui gravitent autour de l’école pour leur permettre d’exprimer leurs besoins. Dans la région de Louga où le projet est en phase d’expérimentation, nous sommes parvenus à créer les conditions nécessaires à l’apprentissage pour réduire le taux d’abandon, inciter les parents à faire un suivi rapproché et aider les enseignants à donner beaucoup de cours de renforcement. Selon les statistiques, le Paes a engrangé un bon de 26 points », a expliqué M. Fall.
Il s’y ajoute que, l’année dernière, le projet a été évalué par une mission venue de Tokyo. Les conclusions sont encourageantes et pourraient même justifier une extension de l’approche du projet à d’autres régions du Sénégal.
« Le Japon a accepté de financer la 2ème phase qui sera élargie aux autres régions. Nous sommes en train d’étudier la question avec les autorités du ministère de l’Education », a révélé Macaty Fall. Lancé en 2007, le projet mobilise 600 millions de FCfa chaque année.
Pour sa part, le point focal du Paes à l’Iden de Louga, Mor Guèye, a indiqué que l’aspect positif du projet consiste à faire de l’école, celle de la communauté. « Le Paes a changé l’environnement scolaire à Louga.
Plusieurs activités liées à l’apprentissage et au cadre scolaire ont permis d’avoir un bon qualitatif » a-t-il ajouté. Selon lui, les Comités de gestion de l’école (Cge) sont certes institutionnalisés par le décret 2002-652 du juin 2002 mais leur mis en œuvre connaissait des difficultés. Il y a eu une redynamisation des Cge avec le Paes qui a donné un nouveau souffle. « Si le cadre scolaire est propice, les résultats suivent », s’est-t-il réjoui.
Maké DANGNOKHO
Le Soleil