Le directeur général des Grands moulins de Dakar a bien précisé que « ce projet n’est pas encore développé mais la coopération allemande est très attachée à cet aspect et on va le faire parce que ça nous intéresse beaucoup ». Interrogé sur les tenants du programme spécial pour les jeunes sans emplois, en marge de la cérémonie de lancement du premier centre de formation en boulangerie agréé par l’Etat, M. Philippe Steffan a affirmé que : « il s’agit de former les jeunes qui sont soient déscolarisés ou qui n’ont pas de travail ». Selon lui, le but recherché est de former ces derniers pour leur donner des qualifications dans le domaine de la boulangerie ou la viennoiserie. Actuellement, a-t-il déploré, « il y a trop de boulangers qui sont entrés dans le secteur par hasard ou parce qu’ils ont échoué à l’école ». Et fait savoir : « nous ce qu’on veut instaurer c’est qu’on devient boulanger parce qu’on a la qualification pour l’être ».
Dans son discours, M. Steffan a souligné que : « la coopération allemande est engagée dans ce sens et pour ce qui concerne les Grands moulins de Dakar, nous soutenons pleinement ce programme d’investissement de la coopération allemande pour l’emploi des jeunes au Sénégal ». C’est ainsi qu’il a assuré que « ce centre de formation va disposer de cessions de formation mettant l’accent sur la qualité et les normes d’hygiène pour produire un pain à des qualités irréprochable ».
Le responsable de la coopération allemande à Dakar place cette initiative qui a pour but de donner des emplois, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté. Selon lui, la meilleure manière de soutenir les Petites et moyennes entreprises (Pme) c’est de les appuyer sur le volet de la formation. Pour ce responsable de la coopération allemande, « la formation est prioritaire parce que pour exister sur le marché, il faut une main d’œuvre de qualité ». Sur la même lancée, le représentant du responsable Afrique de l’Ouest de DEG estime que : « au Sénégal comme en Allemande, la formation est très importante du moment qu’elle permet de réaliser une valeur ajoutée dans l’activité d’une entreprise ». Son discours va dans le sens d’un appel au renforcement du partenariat public privé. Un appel réitéré par le directeur de cabinet du ministre de la formation professionnelle et de l’enseignement technique.
M. Alioune Badara Wagué a rappelé que la finalité du projet est de mettre à la disposition des consommateurs du pain de qualité et la dynamisation du partenariat public-privé. Il a ainsi rappelé que « l’emploi s’encre de plus en plus sur le profil et la formation ». Il estime ainsi que « ce centre contribuera à améliorer le pain sur plan de la qualité et de l’hygiène ». Il a ainsi suggéré l’instauration d’un partenariat entre ce centre et celui spécialisé en agro-alimentaire actuellement en construction avec le concours de l’Agence française de développement (Afd).
Le directeur général des Grands moulins de Dakar a fait savoir que lors du dernier exercice, au niveau de l’usine, ils ont importé 275 mille tonnes de blé. A l’en croire, l’usine occupe une part de marché de 75% au. Après une présence au Malien, les Grands moulins sont en train d’explorer d’autres marchés tels que la Guinée-Bissau et la Guinée Conakry.
La présentation d’un tableau reluisant sur les activités de cette usine a été une occasion saisie par la presse pour l’interpeller sur une éventuelle baisse de la farine. Sur cette question, le Dg des Grands moulins de Dakar estime devoir s’en ouvrir d’abord aux autorités de tutelle. « Je réserve ma réponse aux autorités compétentes ».
Sud Quotidien
Dans son discours, M. Steffan a souligné que : « la coopération allemande est engagée dans ce sens et pour ce qui concerne les Grands moulins de Dakar, nous soutenons pleinement ce programme d’investissement de la coopération allemande pour l’emploi des jeunes au Sénégal ». C’est ainsi qu’il a assuré que « ce centre de formation va disposer de cessions de formation mettant l’accent sur la qualité et les normes d’hygiène pour produire un pain à des qualités irréprochable ».
Le responsable de la coopération allemande à Dakar place cette initiative qui a pour but de donner des emplois, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté. Selon lui, la meilleure manière de soutenir les Petites et moyennes entreprises (Pme) c’est de les appuyer sur le volet de la formation. Pour ce responsable de la coopération allemande, « la formation est prioritaire parce que pour exister sur le marché, il faut une main d’œuvre de qualité ». Sur la même lancée, le représentant du responsable Afrique de l’Ouest de DEG estime que : « au Sénégal comme en Allemande, la formation est très importante du moment qu’elle permet de réaliser une valeur ajoutée dans l’activité d’une entreprise ». Son discours va dans le sens d’un appel au renforcement du partenariat public privé. Un appel réitéré par le directeur de cabinet du ministre de la formation professionnelle et de l’enseignement technique.
M. Alioune Badara Wagué a rappelé que la finalité du projet est de mettre à la disposition des consommateurs du pain de qualité et la dynamisation du partenariat public-privé. Il a ainsi rappelé que « l’emploi s’encre de plus en plus sur le profil et la formation ». Il estime ainsi que « ce centre contribuera à améliorer le pain sur plan de la qualité et de l’hygiène ». Il a ainsi suggéré l’instauration d’un partenariat entre ce centre et celui spécialisé en agro-alimentaire actuellement en construction avec le concours de l’Agence française de développement (Afd).
Le directeur général des Grands moulins de Dakar a fait savoir que lors du dernier exercice, au niveau de l’usine, ils ont importé 275 mille tonnes de blé. A l’en croire, l’usine occupe une part de marché de 75% au. Après une présence au Malien, les Grands moulins sont en train d’explorer d’autres marchés tels que la Guinée-Bissau et la Guinée Conakry.
La présentation d’un tableau reluisant sur les activités de cette usine a été une occasion saisie par la presse pour l’interpeller sur une éventuelle baisse de la farine. Sur cette question, le Dg des Grands moulins de Dakar estime devoir s’en ouvrir d’abord aux autorités de tutelle. « Je réserve ma réponse aux autorités compétentes ».
Sud Quotidien