David Houeto, spécialiste dans le domaine de la promotion de la santé en a fait la révélation à l’occasion de l’ouverture, dimanche, lors de l’ouverture de la première université francophone en promotion de la santé à Dakar, à l’initiative de l’Ong Action et développement (Acdec) et de ses partenaires.
Renforcer l’expertise médicale pour répondre à des problèmes concrets en favorisant une réflexion et des échanges entre pays du nord et du sud autour de cette expérience originale. C’est l’objectif majeur de la première université francophone en promotion de la santé ouverte dimanche dernier à l’Ecole nationale d’Administration (Ena), par l’initiative de l’Ong Acdev et de ses partenaires.
Selon ces organisateurs, « mettre en avant ce concept mal connu dans nos pays va permettre de développer de véritables échanges entre les pays du Nord et du Sud, dans le respect mutuel des compétences ». C’est dans ce sens que le Dr David Houeto, un des spécialistes de la promotion de la santé, qui faisait une présentation sur le sujet, a indiqué que l’intérêt de cette université est de permettre aux professionnels de la santé de se remettre en cause et de trouver une nouvelle formule de gestion des problèmes de santé. Pour mieux introduire ce concept dans les pays Africains, le conférencier préconise la révision du curriculum du système de formation.
Pour sa part, le Dr Safiétou Thiam, ministre de la Santé et de la Prévention, qui présidait la cérémonie d’ouverture de cette rencontre a soutenu qu’ il s’agit d’une première expérience en terre africaine, fruit du partenariat Nord-Sud, entre l’ONG Action et Développement (Acdev), l’Université de Besançon et le département ministériel en charge de la santé .
Cela constitue, dit-elle, un exemple de partenariat public-privé au service du développement sanitaire. Elle a invité les organisations de la société civile à s’inspirer de ce nouveau concept et à s’inscrire durablement dans cet exercice d’une recherche permanente de pistes pour améliorer notre système de santé au grand bénéficie des populations. Selon toujours le plénipotentiaire, l’élaboration d’un nouveau plan stratégique de promotion de la santé se justifie aujourd’hui par la nécessité d’intervenir sur les comportements individuels et collectifs et sur les déterminants de la santé, qui se situent aussi bien à l’intérieur qu’en dehors du système de santé.
Environ 200 participants, experts et gestionnaires venant de 17 pays d’Afrique se sont déjà inscrits et vont participer aux différents thématiques d’enseignements dispensés au cours de cette première université. Il s’agit des communications sur l’organisation du système de santé, des politiques de santé, la santé bucco-dentaire et l’alimentation et la nutrition. Des exposés sur les réformes en cours, sur les approches stratégiques et sur la communication pour le changement de comportements en pratique communautaires de santé sont prévus selon les mêmes organisateurs.
Sud Quotidien
Renforcer l’expertise médicale pour répondre à des problèmes concrets en favorisant une réflexion et des échanges entre pays du nord et du sud autour de cette expérience originale. C’est l’objectif majeur de la première université francophone en promotion de la santé ouverte dimanche dernier à l’Ecole nationale d’Administration (Ena), par l’initiative de l’Ong Acdev et de ses partenaires.
Selon ces organisateurs, « mettre en avant ce concept mal connu dans nos pays va permettre de développer de véritables échanges entre les pays du Nord et du Sud, dans le respect mutuel des compétences ». C’est dans ce sens que le Dr David Houeto, un des spécialistes de la promotion de la santé, qui faisait une présentation sur le sujet, a indiqué que l’intérêt de cette université est de permettre aux professionnels de la santé de se remettre en cause et de trouver une nouvelle formule de gestion des problèmes de santé. Pour mieux introduire ce concept dans les pays Africains, le conférencier préconise la révision du curriculum du système de formation.
Pour sa part, le Dr Safiétou Thiam, ministre de la Santé et de la Prévention, qui présidait la cérémonie d’ouverture de cette rencontre a soutenu qu’ il s’agit d’une première expérience en terre africaine, fruit du partenariat Nord-Sud, entre l’ONG Action et Développement (Acdev), l’Université de Besançon et le département ministériel en charge de la santé .
Cela constitue, dit-elle, un exemple de partenariat public-privé au service du développement sanitaire. Elle a invité les organisations de la société civile à s’inspirer de ce nouveau concept et à s’inscrire durablement dans cet exercice d’une recherche permanente de pistes pour améliorer notre système de santé au grand bénéficie des populations. Selon toujours le plénipotentiaire, l’élaboration d’un nouveau plan stratégique de promotion de la santé se justifie aujourd’hui par la nécessité d’intervenir sur les comportements individuels et collectifs et sur les déterminants de la santé, qui se situent aussi bien à l’intérieur qu’en dehors du système de santé.
Environ 200 participants, experts et gestionnaires venant de 17 pays d’Afrique se sont déjà inscrits et vont participer aux différents thématiques d’enseignements dispensés au cours de cette première université. Il s’agit des communications sur l’organisation du système de santé, des politiques de santé, la santé bucco-dentaire et l’alimentation et la nutrition. Des exposés sur les réformes en cours, sur les approches stratégiques et sur la communication pour le changement de comportements en pratique communautaires de santé sont prévus selon les mêmes organisateurs.
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