Dakar, 30 août (APS) – L'amélioration du dispositif de formation continue des enseignants des disciplines scientifiques est un enjeu majeur pour l'atteinte des objectifs du développement économique, a relevé, vendredi à Dakar, Abdou Diaw, directeur de l'Enseignement élémentaire.
"Le Sénégal n'est pas très fort dans les domaines des mathématique, des sciences et de la technologie. Il faut améliorer le dispositif de formation continue des enseignants dans ce domaine, car ce sont les bases du développement économique", a-t-il dit.
Abdou Diaw présidait un atelier de validation du modèle de formation continue du Projet de renforcement de l'enseignement des mathématiques, des sciences et de la technologie (PREMST, phase 2) au Centre national de ressources éducationnelles (CNRE).
Le PREMST, mis en place depuis 2008 par le gouvernement du Sénégal, via le ministère de l'Education nationale, est un projet conduit en partenariat avec l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA).
"Le PREMST entreprend dans les Cellules d'animation pédagogique de contribuer au renforcement des capacités des enseignants, afin d'améliorer les rendements scolaires. C'est aussi la nécessité de disposer d'enseignants capables de conduire le système éducatif sénégalais à un niveau supérieur", a estimé M. Diaw.
Selon Abdou Diaw également coordonnateur du PREMST, on assistera en 2015, la date de fin du projet, à la généralisation du modèle "Etude leçons" et au retrait de l'équipe nationale qui intervient dans huit régions au profit des équipes régionales et locales.
A travers le concept "Etude de leçons", a-t-il poursuivi, le PREMST contribue au renforcement des acquis des enseignants dans la mise en œuvre du curriculum de l'éducation de base, particulièrement en mathématiques, sciences et en technologie.
Le représentant résidant de la JICA, Kato Ryuichi, présent à cette rencontre, a demandé au ministère de l'Education nationale de travailler à accompagner la pérennisation de ce modèle.
"Il demeure certain que cette pérennisation va engendrer des coûts à supporter. Pour ma part, j'ai la conviction que des pistes et des possibilités à la portée du ministère de l'Education nationale existent pour assurer cette pérennisation", a-t-il soutenu.
SDI/BK
"Le Sénégal n'est pas très fort dans les domaines des mathématique, des sciences et de la technologie. Il faut améliorer le dispositif de formation continue des enseignants dans ce domaine, car ce sont les bases du développement économique", a-t-il dit.
Abdou Diaw présidait un atelier de validation du modèle de formation continue du Projet de renforcement de l'enseignement des mathématiques, des sciences et de la technologie (PREMST, phase 2) au Centre national de ressources éducationnelles (CNRE).
Le PREMST, mis en place depuis 2008 par le gouvernement du Sénégal, via le ministère de l'Education nationale, est un projet conduit en partenariat avec l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA).
"Le PREMST entreprend dans les Cellules d'animation pédagogique de contribuer au renforcement des capacités des enseignants, afin d'améliorer les rendements scolaires. C'est aussi la nécessité de disposer d'enseignants capables de conduire le système éducatif sénégalais à un niveau supérieur", a estimé M. Diaw.
Selon Abdou Diaw également coordonnateur du PREMST, on assistera en 2015, la date de fin du projet, à la généralisation du modèle "Etude leçons" et au retrait de l'équipe nationale qui intervient dans huit régions au profit des équipes régionales et locales.
A travers le concept "Etude de leçons", a-t-il poursuivi, le PREMST contribue au renforcement des acquis des enseignants dans la mise en œuvre du curriculum de l'éducation de base, particulièrement en mathématiques, sciences et en technologie.
Le représentant résidant de la JICA, Kato Ryuichi, présent à cette rencontre, a demandé au ministère de l'Education nationale de travailler à accompagner la pérennisation de ce modèle.
"Il demeure certain que cette pérennisation va engendrer des coûts à supporter. Pour ma part, j'ai la conviction que des pistes et des possibilités à la portée du ministère de l'Education nationale existent pour assurer cette pérennisation", a-t-il soutenu.
SDI/BK