Saint-Louis, 17 sept (APS) - Un panel a réuni mercredi à Saint-Louis plusieurs membres de groupements de promotion féminine, d’organisations communautaires de base et des services de santé de la région, sur le thème de l’augmentation de la contribution financière des collectivités locales à la prise en charge de la santé de la reproduction.
A cette occasion, le médecin chef du district sanitaire de Saint-Louis, Dr Seynabou Fall, est revenu sur le taux encore élevé de mortalité lié à la grossesse chez les femmes.
Organisé à la Chambre de commerce par le réseau Siggil Jiggen, le panel portait sur le thème :’’mobilisation des ressources par les collectivités locales pour la santé de la reproduction et la planification familiale’’.
Donnant le cas de la région de Saint-Louis, elle a déploré la faiblesse du taux de couverture contraceptive qui est à 6 % contre 10 au niveau national. Cette région enregistre un taux de mortalité maternelle de 235 pour 100 000 naissances vivantes.
Pour régler ce problème, elle a plaidé pour une meilleure sensibilisation des femmes et des hommes à qui revient traditionnellement le droit de prise de décision dans la famille.
Ailleurs dans des pays islamiques, des taux de prévalence contraceptive sont enregistrés notamment en Iran avec 55 % et en Egypte avec 57 %.
Le point focal du réseau Siggil Jiggen à Saint-Louis, Mouhamadou Seck, a abondé dans le meme sens, notant que ’’les problèmes de santé maternelle néo natale et infantile demeurent une préoccupation en raison de leur volume, de leur diversité et de leur complexité si l’on sait qu’au Sénégal, 9 femmes meurent chaque jour en donnant la vie, les besoins non satisfaits en planification familiale sont de 35 %.
Le Réseau Siggil jigeen a organisé ce panel en collaboration avec l’ONG IntraHealth et avec l’appui financier de l’Agence amériacien pour le développement international (USAID).
A cette occasion, le médecin chef du district sanitaire de Saint-Louis, Dr Seynabou Fall, est revenu sur le taux encore élevé de mortalité lié à la grossesse chez les femmes.
Organisé à la Chambre de commerce par le réseau Siggil Jiggen, le panel portait sur le thème :’’mobilisation des ressources par les collectivités locales pour la santé de la reproduction et la planification familiale’’.
Donnant le cas de la région de Saint-Louis, elle a déploré la faiblesse du taux de couverture contraceptive qui est à 6 % contre 10 au niveau national. Cette région enregistre un taux de mortalité maternelle de 235 pour 100 000 naissances vivantes.
Pour régler ce problème, elle a plaidé pour une meilleure sensibilisation des femmes et des hommes à qui revient traditionnellement le droit de prise de décision dans la famille.
Ailleurs dans des pays islamiques, des taux de prévalence contraceptive sont enregistrés notamment en Iran avec 55 % et en Egypte avec 57 %.
Le point focal du réseau Siggil Jiggen à Saint-Louis, Mouhamadou Seck, a abondé dans le meme sens, notant que ’’les problèmes de santé maternelle néo natale et infantile demeurent une préoccupation en raison de leur volume, de leur diversité et de leur complexité si l’on sait qu’au Sénégal, 9 femmes meurent chaque jour en donnant la vie, les besoins non satisfaits en planification familiale sont de 35 %.
Le Réseau Siggil jigeen a organisé ce panel en collaboration avec l’ONG IntraHealth et avec l’appui financier de l’Agence amériacien pour le développement international (USAID).