Tambacounda, 6 oct (APS) - Quelque 55 facilitateurs de l’ONG TOSTAN venus de Bakel et Matam ont démarré, mercredi avec leurs collègues trouvés à Tambacounda, une formation en renforcement de capacité en matière de sensibilisation à l’hygiène et à la santé, dénommée Kobi 2.
Pendant cinq jours, les participants seront dotés du bagage nécessaire, afin d’être aptes à expliquer les droits humains, notamment l’hygiène et la santé, a indiqué Aly Bâ, assistant au coordonnateur régional de TOSTAN qui pilote le programme.
Il s’agit, selon lui, de former les facilitateurs à la prévention des maladies, l’anatomie du corps humain et son développement, y compris la puberté, la menstruation, à les familiariser avec la grossesse, l’accouchement et la ménopause.
"Ces relais auront des connaissances sur les symptômes des maladies les plus courantes, leur mode de transmission, à partir desquels ils pourront prévenir, ce que sont les bonnes et mauvaises habitudes en matière d’hygiène et de santé", a-t-il expliqué.
Au terme de cet atelier, ils seront à même d’"identifier les ressources et les infrastructures disponibles dans le domaine de la santé". Les participants auront aussi l’occasion, selon lui, d’"exprimer librement leurs opinions et faire part de leurs expériences personnelles en matière de santé ainsi que de proposer des solutions aux problèmes identifiés".
Les facilitateurs organiseront au sein de la communauté, des associations en charge des problèmes de santé.
L’assistant au coordonnateur de TOSTAN a par ailleurs mis en exergue les actions menées dans le cadre du Kobi 1, avec notamment la formation de comités de gestion pour la sensibilisation.
TOSTAN, qui s’investit par ailleurs dans la lutte contre l’excision, a étendu ses activités au département de Bakel, notamment à Moudéry, Bélé et Kéniéba, "considérés comme étant une zone où le taux de l’excision est élevé". A cela, s’ajoute les mariages dits précoces ou forcés, a-t-il noté.
BC/ADI/BK
Pendant cinq jours, les participants seront dotés du bagage nécessaire, afin d’être aptes à expliquer les droits humains, notamment l’hygiène et la santé, a indiqué Aly Bâ, assistant au coordonnateur régional de TOSTAN qui pilote le programme.
Il s’agit, selon lui, de former les facilitateurs à la prévention des maladies, l’anatomie du corps humain et son développement, y compris la puberté, la menstruation, à les familiariser avec la grossesse, l’accouchement et la ménopause.
"Ces relais auront des connaissances sur les symptômes des maladies les plus courantes, leur mode de transmission, à partir desquels ils pourront prévenir, ce que sont les bonnes et mauvaises habitudes en matière d’hygiène et de santé", a-t-il expliqué.
Au terme de cet atelier, ils seront à même d’"identifier les ressources et les infrastructures disponibles dans le domaine de la santé". Les participants auront aussi l’occasion, selon lui, d’"exprimer librement leurs opinions et faire part de leurs expériences personnelles en matière de santé ainsi que de proposer des solutions aux problèmes identifiés".
Les facilitateurs organiseront au sein de la communauté, des associations en charge des problèmes de santé.
L’assistant au coordonnateur de TOSTAN a par ailleurs mis en exergue les actions menées dans le cadre du Kobi 1, avec notamment la formation de comités de gestion pour la sensibilisation.
TOSTAN, qui s’investit par ailleurs dans la lutte contre l’excision, a étendu ses activités au département de Bakel, notamment à Moudéry, Bélé et Kéniéba, "considérés comme étant une zone où le taux de l’excision est élevé". A cela, s’ajoute les mariages dits précoces ou forcés, a-t-il noté.
BC/ADI/BK