Tambacounda, 19 fév (APS) - Beaucoup d’avancées ont été notées dans le département de Tambacounda, par rapport au concept d’ ‘’Ecoles amies des enfants’’ de l’UNICEF, qui consiste en un paquet de services intégrés, destinés à garantir un environnement scolaire sain et sûr aux enfants, a indiqué jeudi Irénée Zévounou, chargé de l’éducation à l’UNICEF.
‘’Globalement, nous avons constaté qu’il y a eu beaucoup d’avancées’’, a indiqué Irénée Zévounou. ‘’Partout où nous sommes passés nous avons vu que des éléments de ce concept global d’ ‘Ecoles amie des enfants’ se sont mis en place’’, a ajouté M. Zévounou qui conduisait une mission de supervision des écoles bénéficiaires du projet un an après son lancement par l’UNICEF.
Composée, en plus de l’UNICEF, de délégations du ministère de l’Education nationale, de l’Agence canadienne de développement internationale (ACDI), la mission a visité des établissements de Missirah Baboké et Botou. ‘’Cette mission passe un an après le lancement du projet pour voir les avancées sur le terrain’’, a expliqué M. Zévounou.
La structure scolaire de Missirah Baboké dans la communauté rurale de Nétéboulou a été dotée de toilettes et d’un puits, réalisés par le Groupe d’action pour le développement communautaire (GADEC). Créée en 1998, elle compte 215 élèves répartis dans 6 classes, dont 4 sous abris provisoires. A Botou, la mission a pu voir les latrines réalisées par la même ONG.
Dans la matinée, les réalisations du projet ont été visitées dans la commune, a indiqué l’inspecteur d’académie Alioune Ndiaye.
Il s’agit, entre autres, de points d’eau pour permettre aux enfants d’avoir de l’eau de boisson, de l’eau pour l’hygiène, des blocs sanitaires séparés pour filles et garçons. Autant de dispositifs qui ‘’permettent aux enfants d’apprendre les bonnes règles d’hygiène et de salubrité’’, d’après Irénée Zévounou.
L’agent de l’UNICEF a également relevé l’existence de systèmes de gestion des ordures en place dans les écoles concernées par le projet, lesquels ont constitué un ‘’motif de satisfaction’’.
M. Zévounou a, toutefois souligné qu’il reste beaucoup à faire, car ‘’le paquet de service ne se limite pas uniquement aux aspects matériels’’. Il serait souhaitable, a-t-il laissé entendre, que toutes les équipes enseignantes soient formées à l’intégration, dans le curriculum, des compétences de vie courante.
Il a invité les parents d’élèves à se mobiliser davantage pour protéger l’école, en érigeant des haies vives ou des palissades. ‘’Le domaine de l’école n’est pas délimité ni protégé. Et ça, c’est une source de danger et de démotivation pour les enseignants’’, a-t-il soutenu.
‘’Il reste que les enfants eux-mêmes soient plus organisés pour participer à la gestion de la vie de l’école, à travers des structures comme les parlements et les gouvernements scolaires’’, suggéré le chef de mission.
L’inspecteur d’Académie, Alioune Ndiaye a insisté sur la mobilisation des communautés pour adhérer à la cause de l’école et s’impliquer davantage dans la gestion des affaires scolaires.
Quelque 120 ‘’écoles amies des enfants’’, soit 30 pour chacun des quatre départements de la région, s’ajouteront aux 29 prévues initialement par le projet de l’UNICEF, a annoncé l’inspecteur d’académie.
‘’Globalement, nous avons constaté qu’il y a eu beaucoup d’avancées’’, a indiqué Irénée Zévounou. ‘’Partout où nous sommes passés nous avons vu que des éléments de ce concept global d’ ‘Ecoles amie des enfants’ se sont mis en place’’, a ajouté M. Zévounou qui conduisait une mission de supervision des écoles bénéficiaires du projet un an après son lancement par l’UNICEF.
Composée, en plus de l’UNICEF, de délégations du ministère de l’Education nationale, de l’Agence canadienne de développement internationale (ACDI), la mission a visité des établissements de Missirah Baboké et Botou. ‘’Cette mission passe un an après le lancement du projet pour voir les avancées sur le terrain’’, a expliqué M. Zévounou.
La structure scolaire de Missirah Baboké dans la communauté rurale de Nétéboulou a été dotée de toilettes et d’un puits, réalisés par le Groupe d’action pour le développement communautaire (GADEC). Créée en 1998, elle compte 215 élèves répartis dans 6 classes, dont 4 sous abris provisoires. A Botou, la mission a pu voir les latrines réalisées par la même ONG.
Dans la matinée, les réalisations du projet ont été visitées dans la commune, a indiqué l’inspecteur d’académie Alioune Ndiaye.
Il s’agit, entre autres, de points d’eau pour permettre aux enfants d’avoir de l’eau de boisson, de l’eau pour l’hygiène, des blocs sanitaires séparés pour filles et garçons. Autant de dispositifs qui ‘’permettent aux enfants d’apprendre les bonnes règles d’hygiène et de salubrité’’, d’après Irénée Zévounou.
L’agent de l’UNICEF a également relevé l’existence de systèmes de gestion des ordures en place dans les écoles concernées par le projet, lesquels ont constitué un ‘’motif de satisfaction’’.
M. Zévounou a, toutefois souligné qu’il reste beaucoup à faire, car ‘’le paquet de service ne se limite pas uniquement aux aspects matériels’’. Il serait souhaitable, a-t-il laissé entendre, que toutes les équipes enseignantes soient formées à l’intégration, dans le curriculum, des compétences de vie courante.
Il a invité les parents d’élèves à se mobiliser davantage pour protéger l’école, en érigeant des haies vives ou des palissades. ‘’Le domaine de l’école n’est pas délimité ni protégé. Et ça, c’est une source de danger et de démotivation pour les enseignants’’, a-t-il soutenu.
‘’Il reste que les enfants eux-mêmes soient plus organisés pour participer à la gestion de la vie de l’école, à travers des structures comme les parlements et les gouvernements scolaires’’, suggéré le chef de mission.
L’inspecteur d’Académie, Alioune Ndiaye a insisté sur la mobilisation des communautés pour adhérer à la cause de l’école et s’impliquer davantage dans la gestion des affaires scolaires.
Quelque 120 ‘’écoles amies des enfants’’, soit 30 pour chacun des quatre départements de la région, s’ajouteront aux 29 prévues initialement par le projet de l’UNICEF, a annoncé l’inspecteur d’académie.