Dakar, 17 fév (APS)- L’objectif du Plan de sécurisation des produits indispensables à la santé de la mère et à la survie de l’enfant est de contribuer à la réduction de la mortalité maternelle à 200 pour 100 mille naissances vivantes d’ici 2015, a soutenu, lundi à Dakar, le chef de la division survie de l’enfant au ministère de la Santé et de l'Action sociale.
''Ce plan de sécurisation des produits va contribuer d’ici 2015 à la réduction de la mortalité maternelle à 200 pour 100.000 naissances vivantes, à 20 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité néonatale et à 46 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité infanto juvénile’’, a dit le Docteur Aissatou Diop.
Le chef de la division survie de l’enfant présentait le plan de sécurisation des produits indispensables à la santé de la mère et à la survie de l’enfant pour la période 2013/2015 à un atelier de partage dudit plan à la région médicale de Dakar.
Expliquant le terme ‘’sécurisation’’, le médecin-chef de la région de Dakar, le Docteur Marie Khémesse Ngom Ndiaye, a souligné ''qu’il s’agit de monter toutes les stratégies pour que les médicaments de qualité soient disponibles à tout moment pour la santé de la mère, le nouveau-né et l’enfant’’.
Ces produits, a expliqué le docteur Aissatou Diop ‘’étaient au nombre 13 au niveau international mais le Sénégal y a ajouté 4 autres produits. Ce qui fait 17 produits que le Sénégal va sécuriser pour contribuer durablement à l’accès universel et à l’utilisation des services de qualité et de produits indispensables à la santé et de l’enfant’’.
Il s’agit, a-t-elle précisé, ‘’grâce à l’appel lancé à la communauté internationale par la Commission des Nations Unies pour les médicaments, de sauver 17 millions de vies d’ici 2015, dans le cadre de l’initiative +Chaque Femme, chaque Enfant+''.
Revenant sur l’analyse situationnelle qui a conduit à la mise en place du projet,
le Docteur Diop a souligné qu'on s’est rendu compte que les barrières les plus fréquentes sont les frais liés à l’accès aux services de santé, au coût des médicaments et à la disponibilité qualité des soins’’.
Le Plan de sécurisation des produits prend en compte une approche paquet intégré, un renforcement de l’accès aux services et soins, le recours aux TIC, une démarche qualité entre volets inclus dans ledit plan qui va couvrir toutes les 14 régions médicales du pays.
Au nom des partenaires du système de santé, la représentante résidente de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Alimata Jeanne Diarra Nama a souligné que ‘’ce Plan de sécurisation des produits doit prendre en compte toutes les initiatives de prise en charge de la santé de la mère et de l’enfant’’.
‘’Autant les gouvernements sont attendus dans l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), autant nous le sommes également. Nous connaissons les activités à haut impact, il faut les utiliser à bon escient maintenant’’, a-t-elle ajouté.
Pour un coût de 25 millions de dollars (environ 12,5 milliards de francs CFA) sur trois ans, ‘’le financement du plan de sécurisation est acquis’’, selon la représentante de l’OMS
SKS/AD
''Ce plan de sécurisation des produits va contribuer d’ici 2015 à la réduction de la mortalité maternelle à 200 pour 100.000 naissances vivantes, à 20 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité néonatale et à 46 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité infanto juvénile’’, a dit le Docteur Aissatou Diop.
Le chef de la division survie de l’enfant présentait le plan de sécurisation des produits indispensables à la santé de la mère et à la survie de l’enfant pour la période 2013/2015 à un atelier de partage dudit plan à la région médicale de Dakar.
Expliquant le terme ‘’sécurisation’’, le médecin-chef de la région de Dakar, le Docteur Marie Khémesse Ngom Ndiaye, a souligné ''qu’il s’agit de monter toutes les stratégies pour que les médicaments de qualité soient disponibles à tout moment pour la santé de la mère, le nouveau-né et l’enfant’’.
Ces produits, a expliqué le docteur Aissatou Diop ‘’étaient au nombre 13 au niveau international mais le Sénégal y a ajouté 4 autres produits. Ce qui fait 17 produits que le Sénégal va sécuriser pour contribuer durablement à l’accès universel et à l’utilisation des services de qualité et de produits indispensables à la santé et de l’enfant’’.
Il s’agit, a-t-elle précisé, ‘’grâce à l’appel lancé à la communauté internationale par la Commission des Nations Unies pour les médicaments, de sauver 17 millions de vies d’ici 2015, dans le cadre de l’initiative +Chaque Femme, chaque Enfant+''.
Revenant sur l’analyse situationnelle qui a conduit à la mise en place du projet,
le Docteur Diop a souligné qu'on s’est rendu compte que les barrières les plus fréquentes sont les frais liés à l’accès aux services de santé, au coût des médicaments et à la disponibilité qualité des soins’’.
Le Plan de sécurisation des produits prend en compte une approche paquet intégré, un renforcement de l’accès aux services et soins, le recours aux TIC, une démarche qualité entre volets inclus dans ledit plan qui va couvrir toutes les 14 régions médicales du pays.
Au nom des partenaires du système de santé, la représentante résidente de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Alimata Jeanne Diarra Nama a souligné que ‘’ce Plan de sécurisation des produits doit prendre en compte toutes les initiatives de prise en charge de la santé de la mère et de l’enfant’’.
‘’Autant les gouvernements sont attendus dans l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), autant nous le sommes également. Nous connaissons les activités à haut impact, il faut les utiliser à bon escient maintenant’’, a-t-elle ajouté.
Pour un coût de 25 millions de dollars (environ 12,5 milliards de francs CFA) sur trois ans, ‘’le financement du plan de sécurisation est acquis’’, selon la représentante de l’OMS
SKS/AD