Dakar, 15 jan (APS) – Mariama Ba, chargée de communication de la Division de lutte contre le sida et les infections sexuellement transmissibles (DLSI), a salué mardi l’opérationnalité du plan d’élimination complète de la transmission de la mère à l’enfant du virus du VIH/sida, mis en œuvre par les autorités sanitaires depuis le mois de décembre.
‘’Nous avons toujours trouvé injuste qu’une maman infectée du virus puisse contaminer son enfant. C’est pour cela que le programme de la Prévention de la transmission mère-enfant (PTME) a été mis en place depuis 2010’’, a confié Mme Ba, lors d’un atelier de partage avec la presse sur le plan de communication/médias de la DLSI.
Parlant de la réalisation d’une évaluation de la transmission mère-enfant, elle a souligné qu’il a été démontré que ‘’lorsqu’une femme enceinte est bien prise en charge, dépistée à temps dans les structures de santé où on applique la PTME, le taux de transmission est inférieur à 1,1 %’’.
‘’C’est pourquoi le Sénégal a décidé de passer à l’échelle en mettant en place toute la logistique pour que plus aucun enfant ne soit contaminé. C’est pourquoi le Plan d’élimination de la transmission mère-enfant (ETME) a été lancé à ce sujet depuis décembre’’, a-t-elle dit.
A l’en croire, l’ETME, fortement appuyé par les partenaires au développement, notamment l’UNICEF, l’ONUSIDA, le Fonds mondial, est porté par le Comité national de lutte contre le sida (CNLS).
Revenant sur l’objectif de la rencontre avec la presse, Mariame Ba a souligné que la DLSI entretient des relations avec la presse dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités.
‘’Pour 2013, nous comptons renforcer ce partenariat avec la presse et aller au delà des simples demandes de couverture médiatique. Nous voulons mettre en place un cadre d’échange et de partage plus fécond, qui prenne en compte les besoins de la presse en terme d’informations et d’accès aux personnes ressources’’, a dit la chargée de communication de la DLSI.
‘’C’est une démarche de rupture par rapport à ce qu’on avait l’habitude de faire. Et ce que nous avons envisagé cette année, surtout en 2013, c’est de partager avec les journalistes, notamment avec ceux spécialisés en santé, sur nos stratégies, nos interventions clés et nos priorités en termes de communication’’, a-t-elle précisé.
Beaucoup de propositions sont sorties de cette rencontre, avec à la clé l’idée de l’organisation de deux caravanes dans des zones jugées ‘’rouges’’ et à ‘’fort risque’’ pour pouvoir communiquer autour de la problématique du VIH/sida, sur le Renforcement du Système de santé (RSS) et relever les avancées du Paquet intégré de service (PIS).
De même, des discussions autour du thème des Orphelins et enfants vulnérables (OEV) ont été soutenues et l’identification de la nécessité de documenter le Centre de traitement ambulatoire (CTA), retenue.
S’y ajoute le besoin d’actualisation des connaissances dans le domaine de la recherche par rapport au VIH/sida et l’élaboration d’un répertoire des différents intervenants ou spécialistes dans la lutte contre le sida.
LTF/ASG
‘’Nous avons toujours trouvé injuste qu’une maman infectée du virus puisse contaminer son enfant. C’est pour cela que le programme de la Prévention de la transmission mère-enfant (PTME) a été mis en place depuis 2010’’, a confié Mme Ba, lors d’un atelier de partage avec la presse sur le plan de communication/médias de la DLSI.
Parlant de la réalisation d’une évaluation de la transmission mère-enfant, elle a souligné qu’il a été démontré que ‘’lorsqu’une femme enceinte est bien prise en charge, dépistée à temps dans les structures de santé où on applique la PTME, le taux de transmission est inférieur à 1,1 %’’.
‘’C’est pourquoi le Sénégal a décidé de passer à l’échelle en mettant en place toute la logistique pour que plus aucun enfant ne soit contaminé. C’est pourquoi le Plan d’élimination de la transmission mère-enfant (ETME) a été lancé à ce sujet depuis décembre’’, a-t-elle dit.
A l’en croire, l’ETME, fortement appuyé par les partenaires au développement, notamment l’UNICEF, l’ONUSIDA, le Fonds mondial, est porté par le Comité national de lutte contre le sida (CNLS).
Revenant sur l’objectif de la rencontre avec la presse, Mariame Ba a souligné que la DLSI entretient des relations avec la presse dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités.
‘’Pour 2013, nous comptons renforcer ce partenariat avec la presse et aller au delà des simples demandes de couverture médiatique. Nous voulons mettre en place un cadre d’échange et de partage plus fécond, qui prenne en compte les besoins de la presse en terme d’informations et d’accès aux personnes ressources’’, a dit la chargée de communication de la DLSI.
‘’C’est une démarche de rupture par rapport à ce qu’on avait l’habitude de faire. Et ce que nous avons envisagé cette année, surtout en 2013, c’est de partager avec les journalistes, notamment avec ceux spécialisés en santé, sur nos stratégies, nos interventions clés et nos priorités en termes de communication’’, a-t-elle précisé.
Beaucoup de propositions sont sorties de cette rencontre, avec à la clé l’idée de l’organisation de deux caravanes dans des zones jugées ‘’rouges’’ et à ‘’fort risque’’ pour pouvoir communiquer autour de la problématique du VIH/sida, sur le Renforcement du Système de santé (RSS) et relever les avancées du Paquet intégré de service (PIS).
De même, des discussions autour du thème des Orphelins et enfants vulnérables (OEV) ont été soutenues et l’identification de la nécessité de documenter le Centre de traitement ambulatoire (CTA), retenue.
S’y ajoute le besoin d’actualisation des connaissances dans le domaine de la recherche par rapport au VIH/sida et l’élaboration d’un répertoire des différents intervenants ou spécialistes dans la lutte contre le sida.
LTF/ASG