C’est en effet la seconde intervention du genre concédée en moins de quatre (4) mois, car, en août dernier une première action a déjà été menée dans ce sens en direction des populations de Keur Madiabel. L’objectif visé à travers cette nouvelle intervention consiste d’abord à lutter contre le paludisme dans cette partie du pays où chaque année, la malaria fait des ravages énormes, du fait de la forte pluviométrie enregistrée mais également d’une situation naturelle qui fait de la zone un lieu réputé de prédilection des moustiques.
L’autre raison brandie par le donateur est liée au sous-équipement du poste, en dépit du rôle fondamental qu’il est en train de jouer dans la prise en charge des populations de la zone. En effet, située en bordure de la frontière avec la Gambie, cette structure sanitaire polarise un effectif de 43 villages.
La plupart des malades, issus de ces villages, viennent régulièrement se faire soigner dans ce poste de santé et font des fois même des distances de plusieurs dizaines de kilomètres pour leurs besoins en assistance médicale. Pour simplement dire que dans ce poste de santé, la demande est aujourd’hui supérieure à la prise en charge.
Ainsi, avec cette forte affluence, le personnel sur place se retrouve dans l’obligation de libérer prématurément des malades pour insuffisance de lits d’hospitalisation ou de médicaments pour le traitement efficace des malades. L’ambulance, l’unique moyen de transfert des personnes vers les autres structures sanitaires du département et de la région est en panne depuis deux mois, ce qui installe aujourd’hui les populations dans une situation défavorable.
Cette situation devenue de plus en plus alarmante, préoccupe foncièrement le personnel médical qui fait constamment recours au district de Nioro ou au poste de Keur Madiabel pour les besoins d’évacuation des malades. Le directeur du Projet des volontaires pour sa part a estimé que la situation dans cette partie du pays mérite une attention particulière, mais également une intervention rapide de tout un chacun désirant apporter une assistance aux populations.
Pour finir, A Diatta a affirmé son intention d’élargir ses actions dans les quatre (4) communautés rurales département, tout comme au sein de la commune de Nioro. Outre cela, Abdoulaye Diatta préconise de s’investir dans d’autres domaines d’intervention notamment dans le secteur de l’hydraulique pour faire accéder le maximum de personnes à l’eau potable qui est un facteur indispensable dans la lutte contre la pauvreté et les maladies épidémiques qui couvrent naturellement le monde rural.
Sud Quotidien
L’autre raison brandie par le donateur est liée au sous-équipement du poste, en dépit du rôle fondamental qu’il est en train de jouer dans la prise en charge des populations de la zone. En effet, située en bordure de la frontière avec la Gambie, cette structure sanitaire polarise un effectif de 43 villages.
La plupart des malades, issus de ces villages, viennent régulièrement se faire soigner dans ce poste de santé et font des fois même des distances de plusieurs dizaines de kilomètres pour leurs besoins en assistance médicale. Pour simplement dire que dans ce poste de santé, la demande est aujourd’hui supérieure à la prise en charge.
Ainsi, avec cette forte affluence, le personnel sur place se retrouve dans l’obligation de libérer prématurément des malades pour insuffisance de lits d’hospitalisation ou de médicaments pour le traitement efficace des malades. L’ambulance, l’unique moyen de transfert des personnes vers les autres structures sanitaires du département et de la région est en panne depuis deux mois, ce qui installe aujourd’hui les populations dans une situation défavorable.
Cette situation devenue de plus en plus alarmante, préoccupe foncièrement le personnel médical qui fait constamment recours au district de Nioro ou au poste de Keur Madiabel pour les besoins d’évacuation des malades. Le directeur du Projet des volontaires pour sa part a estimé que la situation dans cette partie du pays mérite une attention particulière, mais également une intervention rapide de tout un chacun désirant apporter une assistance aux populations.
Pour finir, A Diatta a affirmé son intention d’élargir ses actions dans les quatre (4) communautés rurales département, tout comme au sein de la commune de Nioro. Outre cela, Abdoulaye Diatta préconise de s’investir dans d’autres domaines d’intervention notamment dans le secteur de l’hydraulique pour faire accéder le maximum de personnes à l’eau potable qui est un facteur indispensable dans la lutte contre la pauvreté et les maladies épidémiques qui couvrent naturellement le monde rural.
Sud Quotidien