Pour les spécialistes, l’accès universel aux Tic consolide la démocratie. A l’initiative de l’Institut Panos et en partenariat avec l’Union européenne et le gouvernement du Sénégal, ils se sont réunis récemment sur la question.
« Accès universel des Tic et gouvernance démocratique », c’est le sujet de réflexion qui a rassemblé durant trois jours à Dakar, spécialistes et acteurs non étatiques. Un atelier de sensibilisation qui entre dans le cadre du projet « Consolider et élargir la communication citoyenne pour une gouvernance démocratique au Sénégal ». L’accès universel des Tic a trait à l’offre d’un accès abordable aux Tic pour tous les citoyens. Cette notion comprend notamment l’accès à une ligne de téléphone fixe et aussi désormais l’Internet, les téléphones mobiles et d’autres services à valeur ajoutée. Sur le plan économique, l’accès universel aux Tic permet, selon le représentant de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes, d’accéder à l’information et par ricochet, aux opportunités.
Sur le plan politique, il permet d’approfondir les valeurs démocratiques en créant une opinion publique locale. Il consolide ainsi la participation de la société civile à la gouvernance démocratique. Si l’atelier a été une occasion pour les décideurs publics et privés du secteur des Tic d’avoir des temps forts d’échange, il a aussi été l’occasion de sensibiliser les médiats et les organisations socio-culturelles sénégalaises sur les enjeux et la situation actuel de l’accès universel aux Tic au Sénégal et les conditions de sa mise en œuvre adéquate. Ce qui a permis de saisir les contours du rôle des acteurs et leur marge de manœuvre en matière de développement de l’accès aux Tic, mais aussi de renforcer la collaboration entre les organisations de la société civile travaillant sur la gouvernance démocratique et celle spécialisée sur les Tic afin de renforcer le plaidoyer sur ces questions.
Dans leur déclaration, les organisations de la société civile ont lancé un appel aux décideurs publics pour l’opérationnalité dans les meilleurs délais du Fonds de développement du service universel des télécommunications (Fdsut). Au secteur privé, ils ont aussi demandé d’investir davantage dans les infrastructures des télécommunications et des Tic en zone rurale. Ils ont également demandé aux organisations de la société civile, y compris les médiats et les universitaires, de mieux s’organiser pour faire le suivi-évaluation et interpeller les décideurs publics et privés sur les engagements pris et les réalisations concernant l’accès universel aux Tic.
Le Soleil
« Accès universel des Tic et gouvernance démocratique », c’est le sujet de réflexion qui a rassemblé durant trois jours à Dakar, spécialistes et acteurs non étatiques. Un atelier de sensibilisation qui entre dans le cadre du projet « Consolider et élargir la communication citoyenne pour une gouvernance démocratique au Sénégal ». L’accès universel des Tic a trait à l’offre d’un accès abordable aux Tic pour tous les citoyens. Cette notion comprend notamment l’accès à une ligne de téléphone fixe et aussi désormais l’Internet, les téléphones mobiles et d’autres services à valeur ajoutée. Sur le plan économique, l’accès universel aux Tic permet, selon le représentant de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes, d’accéder à l’information et par ricochet, aux opportunités.
Sur le plan politique, il permet d’approfondir les valeurs démocratiques en créant une opinion publique locale. Il consolide ainsi la participation de la société civile à la gouvernance démocratique. Si l’atelier a été une occasion pour les décideurs publics et privés du secteur des Tic d’avoir des temps forts d’échange, il a aussi été l’occasion de sensibiliser les médiats et les organisations socio-culturelles sénégalaises sur les enjeux et la situation actuel de l’accès universel aux Tic au Sénégal et les conditions de sa mise en œuvre adéquate. Ce qui a permis de saisir les contours du rôle des acteurs et leur marge de manœuvre en matière de développement de l’accès aux Tic, mais aussi de renforcer la collaboration entre les organisations de la société civile travaillant sur la gouvernance démocratique et celle spécialisée sur les Tic afin de renforcer le plaidoyer sur ces questions.
Dans leur déclaration, les organisations de la société civile ont lancé un appel aux décideurs publics pour l’opérationnalité dans les meilleurs délais du Fonds de développement du service universel des télécommunications (Fdsut). Au secteur privé, ils ont aussi demandé d’investir davantage dans les infrastructures des télécommunications et des Tic en zone rurale. Ils ont également demandé aux organisations de la société civile, y compris les médiats et les universitaires, de mieux s’organiser pour faire le suivi-évaluation et interpeller les décideurs publics et privés sur les engagements pris et les réalisations concernant l’accès universel aux Tic.
Le Soleil