Créée en 2006 par une association de trois écoles d’enseignement supérieur privé du Maroc, de France et du Sénégal, l’Universié libre de Dakar (ULD) a officiellement effectué sa rentrée académique 2010-2011 hier, lundi 04 octobre. La leçon inaugurale a été prononcée par le Pr Charles Stendfield, un universitaire américain, autour du theme : “Le rôle des technologies de l’information et des télécommunications sur le développement social et économique”.
Effectuée hier, lundi 04 octobre, devant un parterre d’étudiants, d’invités, d’enseignants et de responsables administratifs de l’établissement privé, par le chef du département Telecommunication et Information Studies de Michigan State University, Charles Stendfield, la leçon inaugurale a donné le point de depart officiel de la rentrée académique 2010-2011 pour l’université libre de Dakar (ULD). Un établissement d’enseignement supérieur privé né de l’association de trois grandes écoles, à savoir l’HEM, l’EMSI et Com’Sup. Devant une assistance assez attentive, le Pr Stendfield, titulaire de chaire, a donné de fait une communication fort riche qui s’est évertuée à soupeser tout le rôle des technologies de l’information et des télécommunications sur le développement social et économique.
C’est ainsi qu’il a estimé qu’en dépit de la fracture numérique qui existe en Afrique où seuls 10,9% de la population sont connectés à Internet contre 31 % dans le reste du monde, il y a de bonnes raisons d’être optimiste. Pour cause, a fait remarquer l’universitaire, les connexions augmentent quatre fois plus vite au Sénégal et en Afrique que dans le reste du monde même s’il existe de grandes variations à l’intérieur du continent. “Les souscriptions au téléphone mobile augmentent également beaucoup plus vite en Afrique que dans le reste du monde. L’Afrique a supplanté le téléphone fixe par le téléphone mobile’’, a-t-il relevé tout en estimant que cela peut constituer un handicap au développement de l’internet haut débit sur le continent”.
Poursuivant sa communication, le conférencier a précisé à l’attention des étudiants de l’ULD que le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC) est défini par des innovations continues qui ont des conséquences sur les structures des marchés et la nature des services offerts. Qui plus est, a-t-il ajouté, le développement des TIC a permis aux opérateurs d’offrir des services groupés (télévision, internet, téléphone fixe) et des services prépayés. Et de conclure, en révélant qu’à l’échelle mondiale, “4,7 milliards de personnes utilisent le téléphone mobile” alors que “2 milliards d’individus sont connectés à internet”. “La connexion aux TIC change nos vies’’, a fini par dire le Pr Stendfield. Notons que la leçon inaugurale pour la rentrée universitaire 2010-2011 de l’Université libre de Dakar s’est tenue dans la salle de conférence de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad).
Sud Quotidien
Effectuée hier, lundi 04 octobre, devant un parterre d’étudiants, d’invités, d’enseignants et de responsables administratifs de l’établissement privé, par le chef du département Telecommunication et Information Studies de Michigan State University, Charles Stendfield, la leçon inaugurale a donné le point de depart officiel de la rentrée académique 2010-2011 pour l’université libre de Dakar (ULD). Un établissement d’enseignement supérieur privé né de l’association de trois grandes écoles, à savoir l’HEM, l’EMSI et Com’Sup. Devant une assistance assez attentive, le Pr Stendfield, titulaire de chaire, a donné de fait une communication fort riche qui s’est évertuée à soupeser tout le rôle des technologies de l’information et des télécommunications sur le développement social et économique.
C’est ainsi qu’il a estimé qu’en dépit de la fracture numérique qui existe en Afrique où seuls 10,9% de la population sont connectés à Internet contre 31 % dans le reste du monde, il y a de bonnes raisons d’être optimiste. Pour cause, a fait remarquer l’universitaire, les connexions augmentent quatre fois plus vite au Sénégal et en Afrique que dans le reste du monde même s’il existe de grandes variations à l’intérieur du continent. “Les souscriptions au téléphone mobile augmentent également beaucoup plus vite en Afrique que dans le reste du monde. L’Afrique a supplanté le téléphone fixe par le téléphone mobile’’, a-t-il relevé tout en estimant que cela peut constituer un handicap au développement de l’internet haut débit sur le continent”.
Poursuivant sa communication, le conférencier a précisé à l’attention des étudiants de l’ULD que le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC) est défini par des innovations continues qui ont des conséquences sur les structures des marchés et la nature des services offerts. Qui plus est, a-t-il ajouté, le développement des TIC a permis aux opérateurs d’offrir des services groupés (télévision, internet, téléphone fixe) et des services prépayés. Et de conclure, en révélant qu’à l’échelle mondiale, “4,7 milliards de personnes utilisent le téléphone mobile” alors que “2 milliards d’individus sont connectés à internet”. “La connexion aux TIC change nos vies’’, a fini par dire le Pr Stendfield. Notons que la leçon inaugurale pour la rentrée universitaire 2010-2011 de l’Université libre de Dakar s’est tenue dans la salle de conférence de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar (Cciad).
Sud Quotidien