Dakar, 22 fév (APS) – La directrice du Consortium du service universel (CSU), Fatoumata Agne Bâ, a déclaré lundi à Dakar, que la structure qu’elle dirige ambitionne, à travers le projet pilote d’extension du service universel de Matam, ’’de promouvoir le développement économique et social’’ de la région nord-est du Sénégal.
’’Notre ambition, au-delà de l’accès aux télécommunications, c’est de promouvoir le développement économique et social de la région de Matam, qui est une zone rurale, en proposant des services à valeur ajoutée comme la télémédecine, la télé éducation, le transfert d’argent’’, a notamment dit Mme Bâ, dans une intervention à la cérémonie d’installation des organes du fonds de développement du service universel des télécommunications présidée par la secrétaire générale de la Présidence de la République, Aminata Tall.
’’On peut dire, a-t-elle ajouté, que le CSU entre dans l’un des objectifs spécifiques du fonds de développement du service universel des télécommunications, c’est la promotion du secteur privé dans les prestations des services de télécoms dans les zones urbaines et démunies’’.
Créé à la suite d’un appel d’offres international lancé par l’Etat du Sénégal pour l’octroi d’une licence de services de télécommunications, le CSU a obtenu ‘’sa licence pour le projet pilote de Matam en juin 2009’’ et ‘’n’attend que le feu vert de l’Etat pour démarrer ses activités’’, a indiqué Fatoumata Agne Bâ.
’’Ce projet est un processus participatif décentralisé par objectif’’, a pour sa part expliqué Ndongo Diaw, administrateur du fonds et par ailleurs directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
’’Nous n’avons pas attendu ce fonds pour travailler, nous avons à notre actif 23 centres multimédias. Nous sommes avec les opérateurs car nous avons un opérateur commun, le Sénégal’’, a ajouté M. Diaw.
’’Je préfère que l’on passe aux actes en apportant des réponses concrètes aux besoins bien spécifiques, faire en sorte de mériter un peu cette promotion’’, a soutenu le président du comité du fonds, conseiller technique en charge des grands projets TIC à la Présidence de la République Michel Lamotte.
’’Notre ambition, au-delà de l’accès aux télécommunications, c’est de promouvoir le développement économique et social de la région de Matam, qui est une zone rurale, en proposant des services à valeur ajoutée comme la télémédecine, la télé éducation, le transfert d’argent’’, a notamment dit Mme Bâ, dans une intervention à la cérémonie d’installation des organes du fonds de développement du service universel des télécommunications présidée par la secrétaire générale de la Présidence de la République, Aminata Tall.
’’On peut dire, a-t-elle ajouté, que le CSU entre dans l’un des objectifs spécifiques du fonds de développement du service universel des télécommunications, c’est la promotion du secteur privé dans les prestations des services de télécoms dans les zones urbaines et démunies’’.
Créé à la suite d’un appel d’offres international lancé par l’Etat du Sénégal pour l’octroi d’une licence de services de télécommunications, le CSU a obtenu ‘’sa licence pour le projet pilote de Matam en juin 2009’’ et ‘’n’attend que le feu vert de l’Etat pour démarrer ses activités’’, a indiqué Fatoumata Agne Bâ.
’’Ce projet est un processus participatif décentralisé par objectif’’, a pour sa part expliqué Ndongo Diaw, administrateur du fonds et par ailleurs directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
’’Nous n’avons pas attendu ce fonds pour travailler, nous avons à notre actif 23 centres multimédias. Nous sommes avec les opérateurs car nous avons un opérateur commun, le Sénégal’’, a ajouté M. Diaw.
’’Je préfère que l’on passe aux actes en apportant des réponses concrètes aux besoins bien spécifiques, faire en sorte de mériter un peu cette promotion’’, a soutenu le président du comité du fonds, conseiller technique en charge des grands projets TIC à la Présidence de la République Michel Lamotte.