Dans son message à l’occasion de la Journée mondiale de la population, le Secrétaire général des Nations unies a relevé que «les filles, en particulier celles qui traversent la période décisive de l’adolescence, font partie des groupes qui ont le moins bénéficié des initiatives de développement antérieures». «A l’âge où les filles devraient être à l’école en train de songer à leur avenir, elles sont bien trop souvent prises au piège de normes socioculturelles qui les empêchent de poursuivre leurs ambitions».
Selon Ban Ki-moon, alors que les horizons des garçons ont tendance à s’élargir à l’adolescence, il est malheureusement fréquent que ceux des filles se rétrécissent. Et pis encore, «la moitié des agressions sexuelles commises dans le monde visent des jeunes filles âgées de 15 ans ou moins. Dans les pays en développement, une fille sur trois est mariée avant ses 18 ans. Enfin, les adolescentes ont moins de chances que les adolescents d’achever, voire d’entamer, leurs études secondaires».
C’est pourquoi, à l’heure où la communauté internationale s’est engagée à mettre en œuvre un nouveau programme de développement durable fondé sur les principes de l’équité et des droits de l’homme, «il est absolument essentiel de remédier à ces inégalités pour que la mise en œuvre de ces Objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030 soit couronnée de succès». D’ailleurs, l’un des objectifs du Programme est de parvenir à l’égalité des sexes et d’autonomiser toutes les femmes et les filles.
«En cette Journée mondiale de la population, j’engage vivement tous les gouvernements, les entreprises et la société civile à investir en faveur des adolescentes. Tout le monde mérite de bénéficier des retombées de la croissance économique et du progrès social. Œuvrons tous ensemble pour que chacun puisse vivre en sécurité, dans la dignité et dans la perspective d’un avenir meilleur», a-t-il dit.
Sud quotidien
Selon Ban Ki-moon, alors que les horizons des garçons ont tendance à s’élargir à l’adolescence, il est malheureusement fréquent que ceux des filles se rétrécissent. Et pis encore, «la moitié des agressions sexuelles commises dans le monde visent des jeunes filles âgées de 15 ans ou moins. Dans les pays en développement, une fille sur trois est mariée avant ses 18 ans. Enfin, les adolescentes ont moins de chances que les adolescents d’achever, voire d’entamer, leurs études secondaires».
C’est pourquoi, à l’heure où la communauté internationale s’est engagée à mettre en œuvre un nouveau programme de développement durable fondé sur les principes de l’équité et des droits de l’homme, «il est absolument essentiel de remédier à ces inégalités pour que la mise en œuvre de ces Objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030 soit couronnée de succès». D’ailleurs, l’un des objectifs du Programme est de parvenir à l’égalité des sexes et d’autonomiser toutes les femmes et les filles.
«En cette Journée mondiale de la population, j’engage vivement tous les gouvernements, les entreprises et la société civile à investir en faveur des adolescentes. Tout le monde mérite de bénéficier des retombées de la croissance économique et du progrès social. Œuvrons tous ensemble pour que chacun puisse vivre en sécurité, dans la dignité et dans la perspective d’un avenir meilleur», a-t-il dit.
Sud quotidien