Kaolack, 29 août (APS) – Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des valeurs civiques, Benoît Sambou, a remis jeudi à Ndiaffate, une localité de la région de Kaolack (centre), un lot de moustiquaires et de bons d’achat de médicaments aux jeunes du camp d’utilité publique 2013, a constaté l’APS.
Ayant accompli ce geste en faveur des 138 campeurs présents dans ce village, du 23 août au 5 septembre, M. Sambou a indiqué qu’il comptait demander au gouverneur de la région de Kaolack de mettre un infirmier à leur disposition.
Aux jeunes qui souhaitaient bénéficier de primes, M. Sambou, qui est un ancien scout, a souligné qu’il n’envisageait pas donner une suite favorable à de telles revendications.
"Je n'ai jamais pensé qu'un porteur de foulard pouvait faire des revendications. Je ne donnerai aucune prime, parce que je veux une jeunesse engagée pour le développement de son pays’’, a-t-il martelé.
Il a rappelé que tous les campeurs sont couverts par une assurance et les a invités à "d’abord demander ce qu’on peut faire pour son pays avant de penser à ce que notre pays peut faire pour nous’’.
Les campeurs se sont évertués, depuis le 23 août dernier, à réfectionner des salles de classe, à reboiser, a indiqué l’un d’eux, Abdoulaye Fall
Selon lui, ils envisagent de mener des actions de sensibilisation contre les maladies hivernales, les effets néfastes des foudres, etc.
SRF/PON/ASG
Ayant accompli ce geste en faveur des 138 campeurs présents dans ce village, du 23 août au 5 septembre, M. Sambou a indiqué qu’il comptait demander au gouverneur de la région de Kaolack de mettre un infirmier à leur disposition.
Aux jeunes qui souhaitaient bénéficier de primes, M. Sambou, qui est un ancien scout, a souligné qu’il n’envisageait pas donner une suite favorable à de telles revendications.
"Je n'ai jamais pensé qu'un porteur de foulard pouvait faire des revendications. Je ne donnerai aucune prime, parce que je veux une jeunesse engagée pour le développement de son pays’’, a-t-il martelé.
Il a rappelé que tous les campeurs sont couverts par une assurance et les a invités à "d’abord demander ce qu’on peut faire pour son pays avant de penser à ce que notre pays peut faire pour nous’’.
Les campeurs se sont évertués, depuis le 23 août dernier, à réfectionner des salles de classe, à reboiser, a indiqué l’un d’eux, Abdoulaye Fall
Selon lui, ils envisagent de mener des actions de sensibilisation contre les maladies hivernales, les effets néfastes des foudres, etc.
SRF/PON/ASG