‘‘L’autonomisation des femmes est indispensable au développement durable’’ (responsable OIF)
Dakar, 27 nov (APS) - Les droits des femmes et leur autonomisation sont ''un facteur indispensable'' au développement durable des sociétés, a indiqué, jeudi à Dakar, la responsable des projets égalité femme-homme de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), Dileck Elveren.
‘‘Les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) actuels ne prennent pas en compte un certain nombre de problématiques essentielles pour l’égalité femme-homme, comme l’accès aux droits, les violences faites aux femmes et aux filles’, a-t-elle dénoncé, lors d’un panel organisé par le Réseau francophone pour l’égalité femme-homme (RF-EFH).
Mme Elveren a souligné que ‘‘si l’on ne prête pas attention à ces différents enjeux, les différences de pouvoir et d’appropriation des ressources qui entravent les droits des femmes pourraient rester inaperçues''.
‘‘Il s’agit avant tout, a-t-elle expliqué, de se mobiliser pour permettre aux décideurs de tous niveaux ou domaines de développement, d’appréhender pleinement tous ces enjeux fondamentaux relatifs à l’égalité femme-homme’’.
‘‘Il faut donc mobiliser les Etats membres de la Francophonie pour qu’ils s’engagent en faveur de l’égalité femme-homme, notamment lors du XVème Sommet de la Francophonie, qui aura lieu à Dakar samedi et dimanche.
''Nous devons déployer une stratégie d’influence et de plaidoyer au niveau régional et international en faveur de la prise en compte de cette égalité de genre’’, a-t-elle affirmé.
Justine Diffo, juriste camerounaise et membre de la coordination du RF-EFH, de son côté, a insisté sur ‘‘un réel engagement pour l’élimination des disparités entre les sexes’’. Elle a souligné que ‘‘l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes relève des droits de l’homme’’.
Pour sa part, la Présidente du Collectif des femmes pour la promotion du patrimoine immatériel en Francophonie, Ndèye Marie Fall, a fait remarquer la nécessité pour les femmes ‘‘de se refuser à l’acceptation d’être reléguée à des places qui ne sont pas les leurs’’
‘‘Les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) actuels ne prennent pas en compte un certain nombre de problématiques essentielles pour l’égalité femme-homme, comme l’accès aux droits, les violences faites aux femmes et aux filles’, a-t-elle dénoncé, lors d’un panel organisé par le Réseau francophone pour l’égalité femme-homme (RF-EFH).
Mme Elveren a souligné que ‘‘si l’on ne prête pas attention à ces différents enjeux, les différences de pouvoir et d’appropriation des ressources qui entravent les droits des femmes pourraient rester inaperçues''.
‘‘Il s’agit avant tout, a-t-elle expliqué, de se mobiliser pour permettre aux décideurs de tous niveaux ou domaines de développement, d’appréhender pleinement tous ces enjeux fondamentaux relatifs à l’égalité femme-homme’’.
‘‘Il faut donc mobiliser les Etats membres de la Francophonie pour qu’ils s’engagent en faveur de l’égalité femme-homme, notamment lors du XVème Sommet de la Francophonie, qui aura lieu à Dakar samedi et dimanche.
''Nous devons déployer une stratégie d’influence et de plaidoyer au niveau régional et international en faveur de la prise en compte de cette égalité de genre’’, a-t-elle affirmé.
Justine Diffo, juriste camerounaise et membre de la coordination du RF-EFH, de son côté, a insisté sur ‘‘un réel engagement pour l’élimination des disparités entre les sexes’’. Elle a souligné que ‘‘l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes relève des droits de l’homme’’.
Pour sa part, la Présidente du Collectif des femmes pour la promotion du patrimoine immatériel en Francophonie, Ndèye Marie Fall, a fait remarquer la nécessité pour les femmes ‘‘de se refuser à l’acceptation d’être reléguée à des places qui ne sont pas les leurs’’
