Dakar, 22 mars (APS) - Le Sénégal veut promouvoir une agriculture durable, conformément à l’ambition des pouvoirs publics de mettre à la disposition des populations une alimentation de qualité du point de vue nutritionnel, a soutenu, mardi, à Dakar, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Dogo Seck.
"Cette préoccupation d’une nutrition de qualité est l’une des préoccupations des priorités définies par le président de la République, dans le cadre du plan Sénégal émergent (PSE)", le programme par lequel les autorités sénégalaises comptent conduire le pays à l’émergence à l’horizon 2035, a-t-il indiqué.
Dogo Seck introduisait une conférence publique marquant la fin de la caravane ouest-africaine de sensibilisation sur "les droits à la terre, à l’eau et aux semences".
Cette caravane était partie la semaine dernière de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, à destination de Dakar. Ses initiateurs comptent mettre fin à "la mainmise sur les ressources naturelles par des entreprises, gouvernements et élites (…) souvent soutenus" par des institutions internationales.
"Nous devons décider de faire de l’agriculture le moteur du développement économique et social’’, a déclaré le secrétaire général du ministère sénégalais de l’Agriculture et de l’Equipement rural, s’adressant aux organisateurs de cette manifestation.
L’agriculture "peut nourrir la population" africaine et "enrichir tous les acteurs" gravitant autour de ce secteur, producteurs agricoles et les éleveurs notamment, a-t-il dit, donnant en exemple, au Sénégal, le programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS).
Celui-ci cible des "filières prioritaires" comme le riz, l’arachide, l’oignon, les fruits et légumes de contre saison, ajoutées céréales traditionnelles (mil et maïs), pour développer une chaîne de valeur, a-t-il dit.
Pour ce faire, la maîtrise de l’eau doit devenir "un enjeu essentiel" pour la plupart des pays africains qui "dépendent beaucoup de la pluviométrie", a souligné Dogo Seck, préconisant des programmes d’adaptation aux risques climatiques, fondés sur l’utilisation de variétés à cycle court.
"L’agriculture doit répondre aux enjeux climatiques, à la nécessité de nourrir tous les êtres pour qu’elle soit un levier majeur de développement économique", a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural.
"Cette préoccupation d’une nutrition de qualité est l’une des préoccupations des priorités définies par le président de la République, dans le cadre du plan Sénégal émergent (PSE)", le programme par lequel les autorités sénégalaises comptent conduire le pays à l’émergence à l’horizon 2035, a-t-il indiqué.
Dogo Seck introduisait une conférence publique marquant la fin de la caravane ouest-africaine de sensibilisation sur "les droits à la terre, à l’eau et aux semences".
Cette caravane était partie la semaine dernière de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, à destination de Dakar. Ses initiateurs comptent mettre fin à "la mainmise sur les ressources naturelles par des entreprises, gouvernements et élites (…) souvent soutenus" par des institutions internationales.
"Nous devons décider de faire de l’agriculture le moteur du développement économique et social’’, a déclaré le secrétaire général du ministère sénégalais de l’Agriculture et de l’Equipement rural, s’adressant aux organisateurs de cette manifestation.
L’agriculture "peut nourrir la population" africaine et "enrichir tous les acteurs" gravitant autour de ce secteur, producteurs agricoles et les éleveurs notamment, a-t-il dit, donnant en exemple, au Sénégal, le programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS).
Celui-ci cible des "filières prioritaires" comme le riz, l’arachide, l’oignon, les fruits et légumes de contre saison, ajoutées céréales traditionnelles (mil et maïs), pour développer une chaîne de valeur, a-t-il dit.
Pour ce faire, la maîtrise de l’eau doit devenir "un enjeu essentiel" pour la plupart des pays africains qui "dépendent beaucoup de la pluviométrie", a souligné Dogo Seck, préconisant des programmes d’adaptation aux risques climatiques, fondés sur l’utilisation de variétés à cycle court.
"L’agriculture doit répondre aux enjeux climatiques, à la nécessité de nourrir tous les êtres pour qu’elle soit un levier majeur de développement économique", a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural.