Louga, 31 mars (APS) - Un atelier régional de diffusion des projets de textes nationaux et des textes de la CEDEA a regroupé ce jeudi plusieurs acteurs du monde rural, à la Direction régionale du développement rural (DRDR) de Louga, a constaté l’APS.
Ce problème a été diagnostiqué en 1995 par une étude qui
avait montré qu’en général le secteur des engrais est confronté à des problèmes de qualité des produits commercialisés dans la sous-région, a déclaré Issa Guèye de la Direction de l’agriculture conduisant la mission de l’axe Nord (Matam-Louga).
Quarante-trois pour cent des produits étaient déficients en éléments nutritifs et 58 pour cent en poids, indique M. Guèye, passant sur les conséquences fâcheuses pour le producteur et l’Etat qui achète ce produit pour le donner sous forme de subvention.
A cela s’ajoutent ‘’les nombreux produits de contrefaçon constatés
dans le circuit des marchés’’ dont l’existence est favorisée par ‘’l’absence de cadres réglementaires ou leur application effective’’, selon un document remis à la presse.
Huit régions sont ciblées par trois équipes pour sensibiliser les producteurs sur le règlement de la CEDEAO qui va instaurer un
corps des inspecteurs pour mettre de l’ordre dans ce secteur par le contrôle des engrais dont la vente est libéralisée dans plusieurs pays de la sous-région.
Au nom de la Fédération des producteurs agricoles de Louga (FAPAL), Malick Sall a salué cette initiative et prié pour qu’elle soit suivie du recrutement d’assez d’agents pour effectuer le travail requis au grand bénéfice du monde paysan.
AMD/ASG
Ce problème a été diagnostiqué en 1995 par une étude qui
avait montré qu’en général le secteur des engrais est confronté à des problèmes de qualité des produits commercialisés dans la sous-région, a déclaré Issa Guèye de la Direction de l’agriculture conduisant la mission de l’axe Nord (Matam-Louga).
Quarante-trois pour cent des produits étaient déficients en éléments nutritifs et 58 pour cent en poids, indique M. Guèye, passant sur les conséquences fâcheuses pour le producteur et l’Etat qui achète ce produit pour le donner sous forme de subvention.
A cela s’ajoutent ‘’les nombreux produits de contrefaçon constatés
dans le circuit des marchés’’ dont l’existence est favorisée par ‘’l’absence de cadres réglementaires ou leur application effective’’, selon un document remis à la presse.
Huit régions sont ciblées par trois équipes pour sensibiliser les producteurs sur le règlement de la CEDEAO qui va instaurer un
corps des inspecteurs pour mettre de l’ordre dans ce secteur par le contrôle des engrais dont la vente est libéralisée dans plusieurs pays de la sous-région.
Au nom de la Fédération des producteurs agricoles de Louga (FAPAL), Malick Sall a salué cette initiative et prié pour qu’elle soit suivie du recrutement d’assez d’agents pour effectuer le travail requis au grand bénéfice du monde paysan.
AMD/ASG