Un projet de renforcement de capacités des agriculteurs à faire face aux risques climatiques avec des avantages accrus pour les femmes grâce à l’accès aux conseils services prenant compte des informations climatiques, a été officiellement lancé hier, lundi, à Dakar.
Un projet de développement et d’utilisation de l’information climatique pour une agriculture résiliente aux chocs climatiques mené depuis 2011 dans la région de Kaffrine, a été officiellement lancé hier, lundi 11 juillet, à Dakar, par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), en collaboration avec ses partenaires.
Fort des résultats probants du projet, l’Anacim et ses partenaires ont décidé avec le soutien financier de la mission de l’Usaid au Sénégal d’étendre ces initiatives à l’échelle nationale et ce, à travers le projet Usaid/Cinsere. Le projet vise à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnel des petits exploitants agricoles dans 60 communes rurales d’une part et accélérer la participation des populations les plus démunies à la croissance économique en milieu rural en leur ouvrant l’accès aux marchés agricoles, ainsi qu’à améliorer le statut nutritionnel notamment, des femmes et des enfants.
«En tant que pays sahélien côtier, le Sénégal est particulièrement vulnérable aux variations accrues ainsi qu’aux changements climatiques», a dit James Zumwalt, ambassadeur des Etats-Unis. Ainsi selon lui: «A travers plusieurs projets, l’Usaid soutient le développement de services d’information sur le climat, l’assurance basée sur un indice climatique et les nouvelles techniques agricoles adaptées aux changements climatiques permettant d’améliorer la productivité».
Et d’ajouter: «Le Cinsere viendra compléter ces efforts en intégrant des services d’informations météorologique dans nos activités actuelles, afin de stimuler la croissance du secteur agricole et d’améliorer la nutrition grâce à l’initiative Feed the future du président Obama», a-t-il expliqué. Et de conclure: «En donnant accès à des informations météorologiques aux bénéficiaires de Feed the Future, le Cinsere renforcera les capacités locales et permettra aux communautés d’anticiper et de gérer les risques à la résilience et la productivité de son secteur agricole», a-t-il dit.
sud quotidien
Un projet de développement et d’utilisation de l’information climatique pour une agriculture résiliente aux chocs climatiques mené depuis 2011 dans la région de Kaffrine, a été officiellement lancé hier, lundi 11 juillet, à Dakar, par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), en collaboration avec ses partenaires.
Fort des résultats probants du projet, l’Anacim et ses partenaires ont décidé avec le soutien financier de la mission de l’Usaid au Sénégal d’étendre ces initiatives à l’échelle nationale et ce, à travers le projet Usaid/Cinsere. Le projet vise à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnel des petits exploitants agricoles dans 60 communes rurales d’une part et accélérer la participation des populations les plus démunies à la croissance économique en milieu rural en leur ouvrant l’accès aux marchés agricoles, ainsi qu’à améliorer le statut nutritionnel notamment, des femmes et des enfants.
«En tant que pays sahélien côtier, le Sénégal est particulièrement vulnérable aux variations accrues ainsi qu’aux changements climatiques», a dit James Zumwalt, ambassadeur des Etats-Unis. Ainsi selon lui: «A travers plusieurs projets, l’Usaid soutient le développement de services d’information sur le climat, l’assurance basée sur un indice climatique et les nouvelles techniques agricoles adaptées aux changements climatiques permettant d’améliorer la productivité».
Et d’ajouter: «Le Cinsere viendra compléter ces efforts en intégrant des services d’informations météorologique dans nos activités actuelles, afin de stimuler la croissance du secteur agricole et d’améliorer la nutrition grâce à l’initiative Feed the future du président Obama», a-t-il expliqué. Et de conclure: «En donnant accès à des informations météorologiques aux bénéficiaires de Feed the Future, le Cinsere renforcera les capacités locales et permettra aux communautés d’anticiper et de gérer les risques à la résilience et la productivité de son secteur agricole», a-t-il dit.
sud quotidien