Madame Anta Badiane Diallo, présidente élue du Respdef a expliqué que la structure mise en place va s’atteler à partager les expériences capitalisées par les divers Gie membres. Cela consiste à renforcer les capacités des femmes en vue de mieux les outiller et les aidé à se prendre en charge. Au chapitre des objectifs de ce réseau, il a été noté la volonté de promouvoir désormais des femmes des entrepreneurs dynamiques. A l’en croire, toutes les actions de ce réseau vont dans une seule et même direction, la promotion de la femme.
C’est pourquoi le réseau se fixe comme activités le maraîchage, le micro jardinage, l’élevage, l’agriculture, la transformation des fruits et légumes et des céréales locales. En association avec des professionnels de l’agroalimentaire, ces activité devraient résulter sur la promotion de l’exportation des produits locaux transformés ou favoriser leur consommation. Ce qui va faciliter la mise en place de petites et moyennes entreprises ou de petites et moyennes industries. Interrogée sur le rayonnement du réseau, elle a révélé que des délégations venues du Walo, de Touba et de la région de Dakar se sont jointes aux Gie féminins de Mbour pour s’entendre sur un bureau consensuelle.
A l’en croire, les financements attendus ne sont rien d’autres que ceux provenant des partenaires au développement, de l’Etat et des banques. Elles comptent mettre en place un site Web pour se faire connaître dans le monde et offrir des opportunités de gérer des activités de vente et d’achat. Selon Monsieur Grégoire Biram NGom, le président du groupe parlementaire libéral du sénat « le réseau mis en place vient à son heure ». Il a soutenu que « les femmes rurales à travers cette démarche vont trouver des réponses aux multiples interpellations faites et liées à des questions de financements d’activités génératrices de revenus et pouvant les aider à lutter contre la pauvreté ». Il a affirmé que des initiatives vont être prises pour aider les femmes à réussir cette mission.
Selon Mame Bineta Diop de la cellule de communication du Respdef, des efforts vont être entrepris pour l’identification physique de l’ensemble des Gie membres. Il s’agit de faire le répertoire des activités de ces différentes entités. L’imam Maodo Fall de Mbour qui a suivi en partie les travaux de l’assemblée générale du Respdef a insisté sur le fait que la « femme reste un puissant vecteur de développement. Les femmes sont les piliers fondamentaux aidant à l’éducation des enfants ». Selon lui, la mise sur pied d’un tel réseau par les femmes constitue un jalon pouvant contribuer à davantage de solidarité entre ces dernières ; ce qui fait de cette initiative un espoir de développement
Sud Quotidien
C’est pourquoi le réseau se fixe comme activités le maraîchage, le micro jardinage, l’élevage, l’agriculture, la transformation des fruits et légumes et des céréales locales. En association avec des professionnels de l’agroalimentaire, ces activité devraient résulter sur la promotion de l’exportation des produits locaux transformés ou favoriser leur consommation. Ce qui va faciliter la mise en place de petites et moyennes entreprises ou de petites et moyennes industries. Interrogée sur le rayonnement du réseau, elle a révélé que des délégations venues du Walo, de Touba et de la région de Dakar se sont jointes aux Gie féminins de Mbour pour s’entendre sur un bureau consensuelle.
A l’en croire, les financements attendus ne sont rien d’autres que ceux provenant des partenaires au développement, de l’Etat et des banques. Elles comptent mettre en place un site Web pour se faire connaître dans le monde et offrir des opportunités de gérer des activités de vente et d’achat. Selon Monsieur Grégoire Biram NGom, le président du groupe parlementaire libéral du sénat « le réseau mis en place vient à son heure ». Il a soutenu que « les femmes rurales à travers cette démarche vont trouver des réponses aux multiples interpellations faites et liées à des questions de financements d’activités génératrices de revenus et pouvant les aider à lutter contre la pauvreté ». Il a affirmé que des initiatives vont être prises pour aider les femmes à réussir cette mission.
Selon Mame Bineta Diop de la cellule de communication du Respdef, des efforts vont être entrepris pour l’identification physique de l’ensemble des Gie membres. Il s’agit de faire le répertoire des activités de ces différentes entités. L’imam Maodo Fall de Mbour qui a suivi en partie les travaux de l’assemblée générale du Respdef a insisté sur le fait que la « femme reste un puissant vecteur de développement. Les femmes sont les piliers fondamentaux aidant à l’éducation des enfants ». Selon lui, la mise sur pied d’un tel réseau par les femmes constitue un jalon pouvant contribuer à davantage de solidarité entre ces dernières ; ce qui fait de cette initiative un espoir de développement
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