Le président sénégalais Macky Sall a suggéré, vendredi, à ses pairs des autres pays membres des Nations unies, de mettre en place un fonds mondial dédié à l’eau, pour faciliter l’accès d’un plus grand nombre de personnes à cette denrée.
« Nous avons préconisé la mise en place d’un fonds mondial de l’eau », a dit M. Sall sur la RTS1, en s’exprimant depuis New York (Etats-Unis d’Amérique), où il a participé à un « panel de haut niveau sur l’eau », à l’invitation du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, et du président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim.
Macky Sall et 14 autres chefs d’Etat étaient appelés à faire des propositions à la communauté internationale en matière de vulgarisation de l’eau.
Avec un fonds mondial dédié à l’eau, les Etats devraient pouvoir « continuer à supporter les financements des besoins » en mettant en place des « ouvrages communs, des barrages hydrauliques, des barrages agricoles, des outils de navigation et tout ce qui peut transformer les [cours d’eau] en outils de coopération et de solidarité », a suggéré le président sénégalais.
Il a cité l’OMVS, l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal – dont son pays est membre avec la Guinée, le Mali et la Mauritanie -, comme un bon exemple de coopération internationale dans le domaine de l’hydraulique.
L’OMVS est un modèle de coopération permettant d’assurer la « mobilisation des ressources pour le financement des besoins » en eau, selon Macky Sall.
« Nous sommes 15 chefs d’Etat [appelés à] apporter une nouvelle réflexion sur la question de l’eau, en termes d’accès pour toutes les populations du monde », a-t-il dit à propos de ce « panel de haut niveau » organisé ce vendredi au siège des Nations unies.
L’objectif de cette rencontre est d’arriver à « des politiques nouvelles à mettre en œuvre, au niveau mondial, afin que l’objectif de développement durable relatif à la disponibilité de l’eau en quantité suffisante et de qualité, l’ODD6, puisse être atteint », a expliqué Macky Sall.
Il a par ailleurs parlé de l’expérience sénégalaise en matière de vulgarisation de l’eau potable. « Nous avons développé des stratégies nationales d’accès à l’eau potable et à l’assainissement », a-t-il dit.
Le président Sall a aussi évoqué les projets en train d’être mis en œuvre au Sénégal dans ce domaine, à travers le Programme eau et assainissement du millénaire (PEPAM), soutenu financièrement depuis une dizaine d’années par plusieurs partenaires, dont la Banque mondiale.
De même a-t-il évoqué le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC), que soutient le Programme des Nations unies pour le développement, pour faciliter l’accès des zones rurales à une eau de qualité et en quantité suffisante.
Aps
« Nous avons préconisé la mise en place d’un fonds mondial de l’eau », a dit M. Sall sur la RTS1, en s’exprimant depuis New York (Etats-Unis d’Amérique), où il a participé à un « panel de haut niveau sur l’eau », à l’invitation du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, et du président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim.
Macky Sall et 14 autres chefs d’Etat étaient appelés à faire des propositions à la communauté internationale en matière de vulgarisation de l’eau.
Avec un fonds mondial dédié à l’eau, les Etats devraient pouvoir « continuer à supporter les financements des besoins » en mettant en place des « ouvrages communs, des barrages hydrauliques, des barrages agricoles, des outils de navigation et tout ce qui peut transformer les [cours d’eau] en outils de coopération et de solidarité », a suggéré le président sénégalais.
Il a cité l’OMVS, l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal – dont son pays est membre avec la Guinée, le Mali et la Mauritanie -, comme un bon exemple de coopération internationale dans le domaine de l’hydraulique.
L’OMVS est un modèle de coopération permettant d’assurer la « mobilisation des ressources pour le financement des besoins » en eau, selon Macky Sall.
« Nous sommes 15 chefs d’Etat [appelés à] apporter une nouvelle réflexion sur la question de l’eau, en termes d’accès pour toutes les populations du monde », a-t-il dit à propos de ce « panel de haut niveau » organisé ce vendredi au siège des Nations unies.
L’objectif de cette rencontre est d’arriver à « des politiques nouvelles à mettre en œuvre, au niveau mondial, afin que l’objectif de développement durable relatif à la disponibilité de l’eau en quantité suffisante et de qualité, l’ODD6, puisse être atteint », a expliqué Macky Sall.
Il a par ailleurs parlé de l’expérience sénégalaise en matière de vulgarisation de l’eau potable. « Nous avons développé des stratégies nationales d’accès à l’eau potable et à l’assainissement », a-t-il dit.
Le président Sall a aussi évoqué les projets en train d’être mis en œuvre au Sénégal dans ce domaine, à travers le Programme eau et assainissement du millénaire (PEPAM), soutenu financièrement depuis une dizaine d’années par plusieurs partenaires, dont la Banque mondiale.
De même a-t-il évoqué le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC), que soutient le Programme des Nations unies pour le développement, pour faciliter l’accès des zones rurales à une eau de qualité et en quantité suffisante.
Aps