Nouakchott, 6 mars (APS) – Des femmes d’associations de plusieurs pays membres de la Confédération africaine des organisations professionnelles de la pêche artisanale (CAPOA) sont à Nouakchott (Mauritanie), dans le cadre d’un atelier visant à identifier des actions prioritaires pouvant garantir, protéger et promouvoir leurs droits dans la pêche pour l’atteinte des objectifs du Cadre politique et stratégique de réforme de la pêche et de l’aquaculture en Afrique.
Cette rencontre de deux jours (6-7 mars), organisée en partenariat avec le bureau interafricain des ressources animales de l’Union africaine (IBAR-UA), se tient en perspective de la célébration de la journée internationale de la femme.
Pour commémorer cette journée, les femmes qui s’activent dans la pêche artisanale ont voulu mener la réflexion, au moment où l’UA a déclaré 2016 année des droits de l’homme avec un accent particulier sur les droits des femmes.
Selon le secrétaire général de la CAOPA, le sénégalais Gaoussou Guèye, ’’la pêche et l’aquaculture sont des éléments importants qui peuvent soutenir la mise en œuvre des droits des femmes en Afrique en termes d’accès aux ressources financières et non financières, aux conditions correctes de travail dans la chaîne de valeur, etc.’’.
La CAOPA est l’une des organisations professionnelles qui participent activement à la lutte contre la pauvreté. Elle oeuvre également pour l’amélioration des conditions de travail des femmes en particulier, et pour la participation des travailleurs de la pêche dans le processus de prise de décision pour la gouvernance et la gestion de la pêche artisanale en Afrique.
’’La pêche artisanale en Afrique englobe plusieurs activités qui jouent des rôles économiques, sociales et politiques clés, notamment dans la capture, la commercialisation, la transformation, entre autres, permettant à des millions de personnes de gagner leur vie’’, a souligné M. Guèye, signalant que les femmes, qui constituent une part importante des travailleurs du secteur, interviennent sur toute la chaîne de valeur de la pêche,
Outre l’Union africaine, les partenaires traditionnels de la CAOPA, prennent part à cette rencontre qui vise à améliorer ‘’de manière efficace’’ la situation du secteur de la pêche ;
Le but est aussi d’apporter ‘’des changements positifs durables’’ dans l’équité du genre, comme le veut l’UA dont le cadre politique et stratégique de réforme de la pêche a été adopté par le 23e sommet des chefs d’Etats et de gouvernements africains, à Malabo, en Guinée-Equatoriale, en juin 2014.
ADE/OID
Cette rencontre de deux jours (6-7 mars), organisée en partenariat avec le bureau interafricain des ressources animales de l’Union africaine (IBAR-UA), se tient en perspective de la célébration de la journée internationale de la femme.
Pour commémorer cette journée, les femmes qui s’activent dans la pêche artisanale ont voulu mener la réflexion, au moment où l’UA a déclaré 2016 année des droits de l’homme avec un accent particulier sur les droits des femmes.
Selon le secrétaire général de la CAOPA, le sénégalais Gaoussou Guèye, ’’la pêche et l’aquaculture sont des éléments importants qui peuvent soutenir la mise en œuvre des droits des femmes en Afrique en termes d’accès aux ressources financières et non financières, aux conditions correctes de travail dans la chaîne de valeur, etc.’’.
La CAOPA est l’une des organisations professionnelles qui participent activement à la lutte contre la pauvreté. Elle oeuvre également pour l’amélioration des conditions de travail des femmes en particulier, et pour la participation des travailleurs de la pêche dans le processus de prise de décision pour la gouvernance et la gestion de la pêche artisanale en Afrique.
’’La pêche artisanale en Afrique englobe plusieurs activités qui jouent des rôles économiques, sociales et politiques clés, notamment dans la capture, la commercialisation, la transformation, entre autres, permettant à des millions de personnes de gagner leur vie’’, a souligné M. Guèye, signalant que les femmes, qui constituent une part importante des travailleurs du secteur, interviennent sur toute la chaîne de valeur de la pêche,
Outre l’Union africaine, les partenaires traditionnels de la CAOPA, prennent part à cette rencontre qui vise à améliorer ‘’de manière efficace’’ la situation du secteur de la pêche ;
Le but est aussi d’apporter ‘’des changements positifs durables’’ dans l’équité du genre, comme le veut l’UA dont le cadre politique et stratégique de réforme de la pêche a été adopté par le 23e sommet des chefs d’Etats et de gouvernements africains, à Malabo, en Guinée-Equatoriale, en juin 2014.
ADE/OID