En marge de rencontre, le comité d'organisation qui a fait face à la presse s'est prononcé sur la loi sur la parité. Répondant à une question d'un journaliste, les membre de ce comité ont noté que la loi sur la parité n'a pas encore répondu aux attentes. "Sur la parité, nous somme resté sur notre faim. On attend toujours la promulgation, le décret d'application de la loi qui tarde encore". Toutefois, ces femmes ne comptent baisser les bras. "Nous nous battrons pour sa promulgation.
La loi sur la parité a été voté mais voter et appliquer cela fait deux" a précisé Hélène Rama Niang, modératrice (Forum social Afrique). Et de déplorer le fait que la "parité est très mal prise" par certains. "C'est seulement dans les fonctions électives qu'elle s'appliquera et beaucoup en abusent. Soyons prudent" a-t-elle conseillé.
Les participantes se sont aussi prononcé sur le micro finance qui ne répond pas aux besoins des femmes. Selon elles, "le système de micro finance tel que pratiqué actuellement est un alourdissement des tâches des femmes, une aliénation des femmes. Il ne répond pas aux soucis des femmes". D'où la nécessité de proposer une alternative à ce système.
Pour cela elles ont informé que des femmes développement des formes d'économies sociales et populaires, des formes de micro crédit, micro finance à la base qui méritent d'être vulgarisées. Il s'y ajoute l'exemple des banques de femmes expérimentées ailleurs et qui ont fait leurs preuves. Ce forum est un espace d'échange pour promouvoir ces exemples de réussite et les partager.
Ibrahima DIALLO
Sud Quotidien
La loi sur la parité a été voté mais voter et appliquer cela fait deux" a précisé Hélène Rama Niang, modératrice (Forum social Afrique). Et de déplorer le fait que la "parité est très mal prise" par certains. "C'est seulement dans les fonctions électives qu'elle s'appliquera et beaucoup en abusent. Soyons prudent" a-t-elle conseillé.
Les participantes se sont aussi prononcé sur le micro finance qui ne répond pas aux besoins des femmes. Selon elles, "le système de micro finance tel que pratiqué actuellement est un alourdissement des tâches des femmes, une aliénation des femmes. Il ne répond pas aux soucis des femmes". D'où la nécessité de proposer une alternative à ce système.
Pour cela elles ont informé que des femmes développement des formes d'économies sociales et populaires, des formes de micro crédit, micro finance à la base qui méritent d'être vulgarisées. Il s'y ajoute l'exemple des banques de femmes expérimentées ailleurs et qui ont fait leurs preuves. Ce forum est un espace d'échange pour promouvoir ces exemples de réussite et les partager.
Ibrahima DIALLO
Sud Quotidien