C’était hier mercredi 14 octobre lors d’une rencontre avec la presse à Dakar. Environ 7800 mendiants ou enfants de la rue mendient dans les rues au moins 10 heures par jour pour leur pitance et pour les besoins du maître coranique. Une situation qui a des conséquences assez dramatique sur leur vie, survie et développement.
C’est pour remédier à ce problème, que le Parrer (Partenariat pour le retrait et la réinsertion des enfants de la rue) a décliné des axes stratégiques. C’était lors d’un face à face avec la presse tenu hier, mercredi 14 à Dakar. Entre autres solutions, le Parrer prône l’application effective des lois sur la mendicité et autres formes d’abus et d’exploitation des enfants de la rue, la communication et le plaidoyer pour que toute la communauté joue son rôle. Il y a aussi la recherche de financements pour mener des actions de grande envergure de retrait et de réinsertion.
Œuvrant pour l’éradication du phénomène des enfants de la rue, le Parrer se charge de soutenir, promouvoir et encourager toutes actions de prévention, de retrait et de réinscription pour éradiquer le phénomène des enfants de la rue qui est devenu un phénomène dans notre pays. C’est dans cette perspective que le Parrer a mis en place deux (2) programmes qui ambitionne d’éradiquer le phénomène des enfants de la rue. Financé par le Japon, ce programme de prévention de la mendicité des enfants au Sénégal a pour objectif de « dissuader les parents à confier leurs enfants aux maîtres coraniques », indique Mme Mame Diarra Gaye la directrice exécutive.
Selon elle, un des axes du plan d’action de ce programme, est « la création d’écoles coraniques communautaires ». Le programme vise aussi à faire connaître et appliquer les lois relatives à la lutte contre la mendicité des enfants. Ce qui se fera par le biais d’un plan et stratégie de communication. Le Parrer a également présenté un autre projet dénommé programme modules de retrait et de réinscription des enfants de la rue. A la recherche de financement, ce programme est en cours d’élaboration. Il vise à renforcer les capacités des familles pauvres à mieux assumer leurs responsabilités vis-à-vis des enfants, mais aussi, à renforcer les capacités d’intervention des structures
. Trois (3) commissions techniques sont mises en place pour rendre effectif ce programme. Il s’agit des commissions chargées des actions pilotes, de la communication-plaidoyer et de la mobilisation des ressources. Mais également des partenariats dynamiques qui sont en train d’être nouer avec des organisations tel que l’Usaid/Edb, le Ministère de l’éducation, l’Unicef et bien d’autres
Sud Quotidien
C’est pour remédier à ce problème, que le Parrer (Partenariat pour le retrait et la réinsertion des enfants de la rue) a décliné des axes stratégiques. C’était lors d’un face à face avec la presse tenu hier, mercredi 14 à Dakar. Entre autres solutions, le Parrer prône l’application effective des lois sur la mendicité et autres formes d’abus et d’exploitation des enfants de la rue, la communication et le plaidoyer pour que toute la communauté joue son rôle. Il y a aussi la recherche de financements pour mener des actions de grande envergure de retrait et de réinsertion.
Œuvrant pour l’éradication du phénomène des enfants de la rue, le Parrer se charge de soutenir, promouvoir et encourager toutes actions de prévention, de retrait et de réinscription pour éradiquer le phénomène des enfants de la rue qui est devenu un phénomène dans notre pays. C’est dans cette perspective que le Parrer a mis en place deux (2) programmes qui ambitionne d’éradiquer le phénomène des enfants de la rue. Financé par le Japon, ce programme de prévention de la mendicité des enfants au Sénégal a pour objectif de « dissuader les parents à confier leurs enfants aux maîtres coraniques », indique Mme Mame Diarra Gaye la directrice exécutive.
Selon elle, un des axes du plan d’action de ce programme, est « la création d’écoles coraniques communautaires ». Le programme vise aussi à faire connaître et appliquer les lois relatives à la lutte contre la mendicité des enfants. Ce qui se fera par le biais d’un plan et stratégie de communication. Le Parrer a également présenté un autre projet dénommé programme modules de retrait et de réinscription des enfants de la rue. A la recherche de financement, ce programme est en cours d’élaboration. Il vise à renforcer les capacités des familles pauvres à mieux assumer leurs responsabilités vis-à-vis des enfants, mais aussi, à renforcer les capacités d’intervention des structures
. Trois (3) commissions techniques sont mises en place pour rendre effectif ce programme. Il s’agit des commissions chargées des actions pilotes, de la communication-plaidoyer et de la mobilisation des ressources. Mais également des partenariats dynamiques qui sont en train d’être nouer avec des organisations tel que l’Usaid/Edb, le Ministère de l’éducation, l’Unicef et bien d’autres
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