A en croire, le commandant Opa Diatta, le chef du service départemental des Eaux et Forêts, la journée de reboisement menée à Sindia Kafngoune entre dans le sillage de ce qui a été fait à Diass, le 02 août 2009, dans le cadre de la célébration de la journée de l’arbre. Pour lui, l’activité est un prolongement salutaire et elle entre dans le cadre de la sensibilisation de l’ensemble des populations. Pour autant, le lancement de la campagne de reboisement à partir de la communauté rurale de Sindia est une phase importante.
De son avis, il faut en effet désherber les environs de l’espace où se trouve le plant en premier. En second, Opa Diatta suggère la confection des abords de l’arbre plantée d’une sorte de cône avec les matériaux pour retenir l’eau. Ensuite, il recommande de protéger la plante de la divagation des animaux qui sont de véritables prédateurs pour les plantes cultivées. Et le chef du service départemental des Eaux et Forêts de conclure en disant que planter un arbre demeure un acte noble.
Samba Bâ, le responsable d’Acces a rassuré que le reboisement entre dans le volet de la promotion des ressources naturelles et l’implication de l’aspect genre. Pour lui, les 45 hectares reboisés au niveau des 13 aires protégées dans les différentes communautés rurales relèvent de la gestion communautaire des femmes. Celles-ci s’engagent dans la lutte pour la régénération naturelle des espèces, basée sur une stratégie de gestion durable des ressources.
A l’en croire, les femmes organisées en groupements de promotion féminine font des demandes de terre au niveau villageois. Elles sont ensuite répercutées au niveau communautaire pour recevoir l’approbation du conseil rural. Les actes d’attribution ont permis, selon ses propos, la pose de 5500 plants en trois ans. Les espèces végétales choisies et plantées à travers ces différents sites sont des tamariniers, des arbres à henné ,des dattiers du désert ou soump ,des eucalyptus, des new ou pommiers du Cayor, des danx, des alom. Toutes ces plantes ont disparu ou sont en voie de l’être au niveau des sites ciblés.
Dès lors, il urge d’œuvrer à leur retour par des activités de reboisement. Et Samba Bâ de faire part des activités d’encadrement consistant à la revalorisation des produits locaux par la production de jus de bissap et la transformation des fruits et légumes. Fatou Dione, la présidente des femmes de Sindia Kafngoune, a loué pour sa part, les activités menées sous la direction d’Acces grâce à laquelle elle compte accéder au retour des plantes disparues pour un bien être communautaire.
Sud Quotidien
De son avis, il faut en effet désherber les environs de l’espace où se trouve le plant en premier. En second, Opa Diatta suggère la confection des abords de l’arbre plantée d’une sorte de cône avec les matériaux pour retenir l’eau. Ensuite, il recommande de protéger la plante de la divagation des animaux qui sont de véritables prédateurs pour les plantes cultivées. Et le chef du service départemental des Eaux et Forêts de conclure en disant que planter un arbre demeure un acte noble.
Samba Bâ, le responsable d’Acces a rassuré que le reboisement entre dans le volet de la promotion des ressources naturelles et l’implication de l’aspect genre. Pour lui, les 45 hectares reboisés au niveau des 13 aires protégées dans les différentes communautés rurales relèvent de la gestion communautaire des femmes. Celles-ci s’engagent dans la lutte pour la régénération naturelle des espèces, basée sur une stratégie de gestion durable des ressources.
A l’en croire, les femmes organisées en groupements de promotion féminine font des demandes de terre au niveau villageois. Elles sont ensuite répercutées au niveau communautaire pour recevoir l’approbation du conseil rural. Les actes d’attribution ont permis, selon ses propos, la pose de 5500 plants en trois ans. Les espèces végétales choisies et plantées à travers ces différents sites sont des tamariniers, des arbres à henné ,des dattiers du désert ou soump ,des eucalyptus, des new ou pommiers du Cayor, des danx, des alom. Toutes ces plantes ont disparu ou sont en voie de l’être au niveau des sites ciblés.
Dès lors, il urge d’œuvrer à leur retour par des activités de reboisement. Et Samba Bâ de faire part des activités d’encadrement consistant à la revalorisation des produits locaux par la production de jus de bissap et la transformation des fruits et légumes. Fatou Dione, la présidente des femmes de Sindia Kafngoune, a loué pour sa part, les activités menées sous la direction d’Acces grâce à laquelle elle compte accéder au retour des plantes disparues pour un bien être communautaire.
Sud Quotidien