Dakar, 13 mars (APS) – La responsable du Bureau prise en charge au Programme national de lutte contre la tuberculose (PNT), docteur Ramatoulaye Sall Touré, a souligné samedi, la nécessité de l’élaboration d’un protocole de recherche pour raccourcir le traitement de la tuberculose.
‘’Nous sommes en train de faire un fort plaidoyer pour qu’on puisse disposer de l’élaboration d’un protocole de recherche pour raccourcir le traitement, mais aussi, pour avoir d’autres moyens de diagnostic beaucoup plus rapide et efficace pour la tuberculose’’, a notamment dit Mme Touré.
Elle s’exprimait ainsi à l’occasion d’un atelier organisé par l’Association des journalistes sénégalais en santé, population et développement (ASJSPD) qui procédait ainsi au démarrage de ses activités.
Une rencontre qui a donné l’occasion aux participants d’échanger avec les partenaires de l’ASJSPD sur les stratégies nationales de lutte contre le sida, la tuberculose et le Paludisme.
Membre du Réseau des médias africains engagés dans la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (REMASTP), l’ASJSPD installait par la même occasion son point focal au Sénégal, chargé d’être son relais au sein de cette organisation.
Selon Mme Touré, également point focal de la coinfection Tuberculose/VIH-Sida, la tuberculose multirésistante est en train de d’émerger et du fait de la cherté des médicaments de seconde zone, risque de faire encore plus mal aux malades tuberculeux.
‘’C’est temps dernier, a expliqué Dr Touré, il y a eu un faible engouement pour la tuberculose au Sénégal, mais sous sommes en train de booster les partenaires au niveau international pour faire un fort plaidoyer’’.
Elle a fait part de l’existence de médicaments pour le traitement de la tuberculose multirésistante, soulignant que ces derniers dont l’acquisition est assez normée, sont ‘’très chers’’.
‘’Ce sont des médicaments de deuxième ligne. Au Sénégal nous ne disposons pas encore de nouvelles molécules pour la prise en charge d’un échec dans la prise en charge d’un malade multirésistant’’, a-t-elle expliqué.
Toutefois, elle a indiqué que le Sénégal a été approuvé par la Green line commity, chargé de distribuer ces médicaments de seconde ligne.
‘’Nous sommes en train de faire un fort plaidoyer pour qu’on puisse disposer de l’élaboration d’un protocole de recherche pour raccourcir le traitement, mais aussi, pour avoir d’autres moyens de diagnostic beaucoup plus rapide et efficace pour la tuberculose’’, a notamment dit Mme Touré.
Elle s’exprimait ainsi à l’occasion d’un atelier organisé par l’Association des journalistes sénégalais en santé, population et développement (ASJSPD) qui procédait ainsi au démarrage de ses activités.
Une rencontre qui a donné l’occasion aux participants d’échanger avec les partenaires de l’ASJSPD sur les stratégies nationales de lutte contre le sida, la tuberculose et le Paludisme.
Membre du Réseau des médias africains engagés dans la lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (REMASTP), l’ASJSPD installait par la même occasion son point focal au Sénégal, chargé d’être son relais au sein de cette organisation.
Selon Mme Touré, également point focal de la coinfection Tuberculose/VIH-Sida, la tuberculose multirésistante est en train de d’émerger et du fait de la cherté des médicaments de seconde zone, risque de faire encore plus mal aux malades tuberculeux.
‘’C’est temps dernier, a expliqué Dr Touré, il y a eu un faible engouement pour la tuberculose au Sénégal, mais sous sommes en train de booster les partenaires au niveau international pour faire un fort plaidoyer’’.
Elle a fait part de l’existence de médicaments pour le traitement de la tuberculose multirésistante, soulignant que ces derniers dont l’acquisition est assez normée, sont ‘’très chers’’.
‘’Ce sont des médicaments de deuxième ligne. Au Sénégal nous ne disposons pas encore de nouvelles molécules pour la prise en charge d’un échec dans la prise en charge d’un malade multirésistant’’, a-t-elle expliqué.
Toutefois, elle a indiqué que le Sénégal a été approuvé par la Green line commity, chargé de distribuer ces médicaments de seconde ligne.