Le Comité interparlementaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Cip-Uemoa) a entamé hier, lundi 23 mai 2016, à Dakar, un séminaire de cinq jours, pour discuter du niveau d’exécution de la Politique commune d’amélioration de l’environnement (Pcae) au sein des huit pays membres.
En vue d’une meilleure compréhension de la Politique commune d’amélioration de l’environnement (Pcae) et de ses enjeux environnementaux, les députés du Comité interparlementaire se réunissent à Dakar depuis hier, lundi 23 mai et ce, jusqu’au vendredi prochain.
Durant ces 5 jours, ils (parlementaires) seront au parfum de l’état de mise en œuvre de la Pcae par des experts de différents niveaux à travers le thème: «L’état de mise en œuvre de la politique commune d’amélioration de l’environnement au sein de l’Uemoa».
«L’un des plus grands défis environnementaux auxquels l’Afrique de l’Ouest fait face réside dans la nécessité de réconcilier ses besoins de développement avec la gestion durable de ses ressources naturelles», a dit Kossi Messan Ewovor, responsable des affaires générales et institutionnelles du CIP-UEMOA.
«L’objectif de la PCAE de l’UEMOA est d’inverser les tendances lourdes de dégradation et de réduction des ressources naturelles», a-t-il expliqué. Toujours selon lui: «Le séminaire va servir à présenter les grands axes de la Pcae, de faire le point de la coopération avec d’autres institutions, dont la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao)».
Et de soutenir qu’ «une meilleure compréhension des enjeux environnementaux et leur appropriation par les députés du Comité interparlementaire de l’Uemoa peut contribuer au succès de toutes les initiatives prises dans notre sous-région en matière d’environnement».
Précisons que c’est en janvier 2008, que l’Union économique monétaire ouest africaine (Uemao) a adopté, par acte additionnel, la politique commune d’amélioration de l’environnement (Pcae) pour une gestion durable des ressources naturelles aux fins de lutter contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire. Cette mise en œuvre s’est traduite par la conduite d’actions structurantes qui ont permis la mise en place d’un cadre institutionnel, des instruments de pilotage et de financement ainsi que des mesures réglementaires.
En vue d’une meilleure compréhension de la Politique commune d’amélioration de l’environnement (Pcae) et de ses enjeux environnementaux, les députés du Comité interparlementaire se réunissent à Dakar depuis hier, lundi 23 mai et ce, jusqu’au vendredi prochain.
Durant ces 5 jours, ils (parlementaires) seront au parfum de l’état de mise en œuvre de la Pcae par des experts de différents niveaux à travers le thème: «L’état de mise en œuvre de la politique commune d’amélioration de l’environnement au sein de l’Uemoa».
«L’un des plus grands défis environnementaux auxquels l’Afrique de l’Ouest fait face réside dans la nécessité de réconcilier ses besoins de développement avec la gestion durable de ses ressources naturelles», a dit Kossi Messan Ewovor, responsable des affaires générales et institutionnelles du CIP-UEMOA.
«L’objectif de la PCAE de l’UEMOA est d’inverser les tendances lourdes de dégradation et de réduction des ressources naturelles», a-t-il expliqué. Toujours selon lui: «Le séminaire va servir à présenter les grands axes de la Pcae, de faire le point de la coopération avec d’autres institutions, dont la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao)».
Et de soutenir qu’ «une meilleure compréhension des enjeux environnementaux et leur appropriation par les députés du Comité interparlementaire de l’Uemoa peut contribuer au succès de toutes les initiatives prises dans notre sous-région en matière d’environnement».
Précisons que c’est en janvier 2008, que l’Union économique monétaire ouest africaine (Uemao) a adopté, par acte additionnel, la politique commune d’amélioration de l’environnement (Pcae) pour une gestion durable des ressources naturelles aux fins de lutter contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire. Cette mise en œuvre s’est traduite par la conduite d’actions structurantes qui ont permis la mise en place d’un cadre institutionnel, des instruments de pilotage et de financement ainsi que des mesures réglementaires.