Les points focaux du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (Ppaao/Waapp) financé par la Banque Mondiale dans 13 pays membres de la Cedeao sont en formation depuis hier, lundi 7 mars à Dakar. Ce programme coordonné par le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (Coraf/Wecard) a pour objectif global de contribuer à la productivité agricole accrue et à la croissance avec pour but de renforcer et d’accroître la coopération régionale en matière de génération, de formation et de diffusion des technologies pour les spéculations régionales prioritaires. Le Programme a quatre composantes dont la coopération régionale en matière de génération et de diffusion des technologies, les centres d’Excellence, la génération des technologies et la Coordination et la Gestion et le Suivi et l’Evaluation.
Dans un document remis à la presse, le Coraf fait savoir qu’il est attendu à ce que les impacts sociaux et environnementaux nets du projet proposé soient positifs et spécifiques au site puisqu’il génèrera des technologies agricoles solides d’un point de vue environnemental et social. Avant de confier que le processus de fonds compétitif du Coraf/Wecard utilisé pour financer le développement de telles technologies, comprendra le screening environnemental et social pour se prémunir des impacts négatifs potentiels de ces technologies. A cet effet, poursuit le Coraf, le projet a préparé un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (Cges) et un Plan de Gestion des Pesticides et des Nuisibles (Pdpn) pour prendre en compte les spécificités locales. Dans chacun des pays, note la même source, le Cges examine les risques environnementaux et sociaux existants et potentiels résultant de la Génération et de la diffusion des technologies agricoles (Gdta) et des accroissements liés à la production agricole.
Quant au Pgpn, fait savoir le Coraf, il évalue les réglementations sur les pesticides et recommande un cadre pour l’utilisation sécuritaire des pesticides pour protéger les êtres humains et l’environnement. Le Coraf ajoute que chacune des équipes du Ppaao/Waapp au niveau des pays a désigné des points focaux Environnementaux et Sociaux pour assurer la mise en œuvre efficace du Cges et du Pgpn. C’est ainsi que cet atelier de Dakar a donc été planifié pour s’assurer que tous les points focaux sont entièrement en mesure de conduire l'opérationnalisation des plans.
Selon Paco Sérémé, Directeur exécutif du Coraf, le programme Ppaao/Waapp qui sera débattu pendant ces cinq jours contribue à la réalisation de la croissance durable et la compétitivité des marchés agricoles. Sur cette lancée, le chargé de communication du bureau de la Banque mondiale à Dakar, M. Mademba Ndiaye a rappelé que la mise en œuvre des projets du Ppaao/Waapp exige le respect des lois et règlements des pays en plus des exigences de cette institution de breton wood.
A son avis, vu des projets comme l’autoroute à péage au Sénégal, cet atelier de formation sur la sauvegarde environnementale et sociale vient à point nommé. C’est ainsi que le conseiller technique n°1 du ministère de l’agriculture, M. Taïb Diouf pense que les initiateurs de cet ateliers doivent veiller à ce qu’au sortir de cette formation, les participants, une fois chez eux, deviennent des personnes ressources pour leurs collègues mais aussi pour les centres de recherche.
Bacary DABO
Sud Quotidien
Dans un document remis à la presse, le Coraf fait savoir qu’il est attendu à ce que les impacts sociaux et environnementaux nets du projet proposé soient positifs et spécifiques au site puisqu’il génèrera des technologies agricoles solides d’un point de vue environnemental et social. Avant de confier que le processus de fonds compétitif du Coraf/Wecard utilisé pour financer le développement de telles technologies, comprendra le screening environnemental et social pour se prémunir des impacts négatifs potentiels de ces technologies. A cet effet, poursuit le Coraf, le projet a préparé un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale (Cges) et un Plan de Gestion des Pesticides et des Nuisibles (Pdpn) pour prendre en compte les spécificités locales. Dans chacun des pays, note la même source, le Cges examine les risques environnementaux et sociaux existants et potentiels résultant de la Génération et de la diffusion des technologies agricoles (Gdta) et des accroissements liés à la production agricole.
Quant au Pgpn, fait savoir le Coraf, il évalue les réglementations sur les pesticides et recommande un cadre pour l’utilisation sécuritaire des pesticides pour protéger les êtres humains et l’environnement. Le Coraf ajoute que chacune des équipes du Ppaao/Waapp au niveau des pays a désigné des points focaux Environnementaux et Sociaux pour assurer la mise en œuvre efficace du Cges et du Pgpn. C’est ainsi que cet atelier de Dakar a donc été planifié pour s’assurer que tous les points focaux sont entièrement en mesure de conduire l'opérationnalisation des plans.
Selon Paco Sérémé, Directeur exécutif du Coraf, le programme Ppaao/Waapp qui sera débattu pendant ces cinq jours contribue à la réalisation de la croissance durable et la compétitivité des marchés agricoles. Sur cette lancée, le chargé de communication du bureau de la Banque mondiale à Dakar, M. Mademba Ndiaye a rappelé que la mise en œuvre des projets du Ppaao/Waapp exige le respect des lois et règlements des pays en plus des exigences de cette institution de breton wood.
A son avis, vu des projets comme l’autoroute à péage au Sénégal, cet atelier de formation sur la sauvegarde environnementale et sociale vient à point nommé. C’est ainsi que le conseiller technique n°1 du ministère de l’agriculture, M. Taïb Diouf pense que les initiateurs de cet ateliers doivent veiller à ce qu’au sortir de cette formation, les participants, une fois chez eux, deviennent des personnes ressources pour leurs collègues mais aussi pour les centres de recherche.
Bacary DABO
Sud Quotidien