Dans le cadre du projet d’amélioration de la participation des populations à la lutte contre l’insalubrité, 353 animateurs citoyens ont été formés pour se lancer dans la lutte contre l’insalubrité à Kaolack.
Issus des 36 quartiers de la ville de Kaolack, les 353 animateurs citoyens qui ont été formés pour lutter contre l’insalubrité, ont reçu leurs attestations de fin de formation lors d’une cérémonie présidée par l’adjoint au maire de la ville chargé des projets et programmes de la commune. Une session de formation qui entre dans le cadre du partenariat entre l’Ong Caritas, la mairie et le Comité pour le développement de Kaolack (Codeka) et qui a été organisée du 8 au 19 septembre 2008. Ce qui, pour le Secrétaire général de la Caritas, « est en droite ligne avec le programme national de bonne gouvernance initié par l’Etat du Sénégal ».
Les animateurs venant des quartiers ont désormais la noble mission de susciter la participation communautaire pour rendre la ville propre. Ainsi, l’implication des populations au cœur du processus d’un mieux-être devrait bien conforter l’idée des acteurs de développement qu’ils sont, que le quartier doit être une entité locale forte. Un cadre de concertation, d’expression et d’exécution des actions communautaires. A ces envoyés en mission dans les différents quartiers de la ville, le Secrétaire général de Caritas dira que : « cette tâche nécessitera beaucoup de courage et d’abnégation puisqu’ils seront parfois incompris ». Pour ce faire, un vibrant appel à été lancé par l’adjoint au maire Ousmane Ndour pour un accompagnement de ces animateurs par les délégués de quartier afin de leur faciliter la tâche et de faire respecter les consignes que ces animateurs auront à lancer.
C’est un programme qui fait appel à toute la Société civile pour qu’elle participe davantage à la gestion des affaires locales. De ce fait, selon Edouard Ndong, responsable des programmes urbains, Caritas a répondu favorablement pour proposer cette action qui comporte l’éducation environnementale, l’éducation à la citoyenneté des populations pour une meilleure gestion de leur cadre de vie. Selon lui, « bien que la gestion de l’assainissement soit du ressort de la municipalité (la gestion des ordures est une compétence transférée), aux côtés des collectivités locales, il faudrait que des partenaires au développement et des Ong puissent œuvrer pour éradiquer ce fléau qui gangrène la santé des populations ».
Pour ce volet, ce sont d’abord 50 éducateurs-formateurs qui ont été formés. A leur tour, ils ont formé 300 animateurs à travers les quartiers de la commune.
Le Soleil
Issus des 36 quartiers de la ville de Kaolack, les 353 animateurs citoyens qui ont été formés pour lutter contre l’insalubrité, ont reçu leurs attestations de fin de formation lors d’une cérémonie présidée par l’adjoint au maire de la ville chargé des projets et programmes de la commune. Une session de formation qui entre dans le cadre du partenariat entre l’Ong Caritas, la mairie et le Comité pour le développement de Kaolack (Codeka) et qui a été organisée du 8 au 19 septembre 2008. Ce qui, pour le Secrétaire général de la Caritas, « est en droite ligne avec le programme national de bonne gouvernance initié par l’Etat du Sénégal ».
Les animateurs venant des quartiers ont désormais la noble mission de susciter la participation communautaire pour rendre la ville propre. Ainsi, l’implication des populations au cœur du processus d’un mieux-être devrait bien conforter l’idée des acteurs de développement qu’ils sont, que le quartier doit être une entité locale forte. Un cadre de concertation, d’expression et d’exécution des actions communautaires. A ces envoyés en mission dans les différents quartiers de la ville, le Secrétaire général de Caritas dira que : « cette tâche nécessitera beaucoup de courage et d’abnégation puisqu’ils seront parfois incompris ». Pour ce faire, un vibrant appel à été lancé par l’adjoint au maire Ousmane Ndour pour un accompagnement de ces animateurs par les délégués de quartier afin de leur faciliter la tâche et de faire respecter les consignes que ces animateurs auront à lancer.
C’est un programme qui fait appel à toute la Société civile pour qu’elle participe davantage à la gestion des affaires locales. De ce fait, selon Edouard Ndong, responsable des programmes urbains, Caritas a répondu favorablement pour proposer cette action qui comporte l’éducation environnementale, l’éducation à la citoyenneté des populations pour une meilleure gestion de leur cadre de vie. Selon lui, « bien que la gestion de l’assainissement soit du ressort de la municipalité (la gestion des ordures est une compétence transférée), aux côtés des collectivités locales, il faudrait que des partenaires au développement et des Ong puissent œuvrer pour éradiquer ce fléau qui gangrène la santé des populations ».
Pour ce volet, ce sont d’abord 50 éducateurs-formateurs qui ont été formés. A leur tour, ils ont formé 300 animateurs à travers les quartiers de la commune.
Le Soleil