Une réunion regroupant les représentants des différentes organisations non gouvernementales oeuvrant dans le domaine de la pêche s’est tenue mardi 13 janvier 2009 dans les locaux de la Commission sous-régionale des pêches (Csrp). Il s’agissait, selon André Bihibindi, chargé du suivi-évaluation et capitalisation de Enda Diapol/Repao (Réseau sur les politiques de pêche en Afrique en Afrique de l’Ouest), de discuter sur les modalités de mise sur pied du comité régional sur la cohérence des politiques de pêche.
« Les différents acteurs ont recommandé la mise sur pied d’une équipe qui sera chargée de faire un état des lieux dans la cohérence des pêches en Afrique de l’Ouest. Sur cette base, les missions des comités sous-régionaux seront mieux définies. Cet état des lieux va présenter des indicateurs de référence pour mener cette étude », a noté André Bihibindi. Selon lui, « il a été demandé au Repao, qui travaille présentement dans ce sens, de présenter les termes de références relatifs à cette étude dont la durée d’exécution sera déterminée par les mêmes termes de référence », a-t-il expliqué.
Toutefois, André Bihibindi a souligné que pour qu’il y ait plus de cohérence dans les politiques de pêche en Afrique de l’Ouest, « il faut nécessairement une cohérence au niveau des pays ». De son point de vue, « il faut faire des cadres existants dans les différents pays, des espaces de dialogue, et en créer d’autres là où ils n’existent pas ». Par la même occasion, André Bihibindi a souligné que « la surveillance, la veille n’est pas véritablement pris en charge par les états ».
Et de noter : « Il y a encore un gap à combler à ce niveau. C’est un volet qu’il faudra intégrer dans les prochaines missions du comité sur la cohérence des politiques de pêche. Il pourrait y avoir une sous-commission qui se chargera de cette importante question », a-t-il estimé.
Sud Quotidien
« Les différents acteurs ont recommandé la mise sur pied d’une équipe qui sera chargée de faire un état des lieux dans la cohérence des pêches en Afrique de l’Ouest. Sur cette base, les missions des comités sous-régionaux seront mieux définies. Cet état des lieux va présenter des indicateurs de référence pour mener cette étude », a noté André Bihibindi. Selon lui, « il a été demandé au Repao, qui travaille présentement dans ce sens, de présenter les termes de références relatifs à cette étude dont la durée d’exécution sera déterminée par les mêmes termes de référence », a-t-il expliqué.
Toutefois, André Bihibindi a souligné que pour qu’il y ait plus de cohérence dans les politiques de pêche en Afrique de l’Ouest, « il faut nécessairement une cohérence au niveau des pays ». De son point de vue, « il faut faire des cadres existants dans les différents pays, des espaces de dialogue, et en créer d’autres là où ils n’existent pas ». Par la même occasion, André Bihibindi a souligné que « la surveillance, la veille n’est pas véritablement pris en charge par les états ».
Et de noter : « Il y a encore un gap à combler à ce niveau. C’est un volet qu’il faudra intégrer dans les prochaines missions du comité sur la cohérence des politiques de pêche. Il pourrait y avoir une sous-commission qui se chargera de cette importante question », a-t-il estimé.
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