L’Association internationale des régions francophones (AIRF) a procédé au lancement officiel de la troisième édition de son Grand prix littéraire, à l’occasion de la Journée internationale de la Francophonie, célébrée dimanche 20 mars, annonce un communiqué.
"Ce prix distingue un roman ou un recueil de nouvelles d’approximativement 350.000 signes soit environ 80 à 85 pages recto/verso, format A4.
Tous les auteurs issus des pays francophones peuvent concourir sous réserve qu’ils n’aient pas encore été publiés et ne soient pas sous contrat avec un éditeur", rapporte le texte dont copie a été transmise à l’APS, lundi.
"Le prix porte sur l’édition en 3.000 exemplaires, assurée par l’AIRF, de l’œuvre sélectionnée et sa diffusion. Conformément aux lois en vigueur, l’auteur a droit à 1 % du tirage à titre gracieux", précise le communiqué.
"Un contrat d’édition type est établi entre l’auteur ou son mandataire (président de région, par exemple…) et les éditions des Grilles d’Or. Les droits d’auteur sont estimés à 12% du prix des ventes HT".
Les tapuscrits font l’objet d’une présélection par des jurys de lecteurs expérimentés (enseignants, écrivains, bibliothécaires, libraires…). Les tapuscrits ayant passé la première sélection sont soumis à un jury de professionnels de l’écriture et de l’édition (directeurs littéraires, universitaires, auteurs confirmés…).
Les 5 ouvrages ayant passé la double sélection préalable et qui sont parvenus en tête de classement sont soumis à un jury final composé du président du groupe de travail "culture" de l’AIRF ou son représentant, d’un président de région ou son représentant, du responsable (ou président) des jurys précédents, d’un président d’honneur, de trois membres du secrétariat permanent de l’AIRF et de personnalités qualifiées.
Après Arsène Angelbert Ablo, auteur ivoirien lauréat en 2009 pour son roman "Cœurs d’Eta", le communiqué rappelle que c’est une auteure Burkinabé, Florentine Kima, qui a été distinguée en 2010. Son roman, "Chienne de vie", a fait l’objet d’une publication à 3.000 exemplaires aux éditions des Grilles d’Or.
Le Soleil
"Ce prix distingue un roman ou un recueil de nouvelles d’approximativement 350.000 signes soit environ 80 à 85 pages recto/verso, format A4.
Tous les auteurs issus des pays francophones peuvent concourir sous réserve qu’ils n’aient pas encore été publiés et ne soient pas sous contrat avec un éditeur", rapporte le texte dont copie a été transmise à l’APS, lundi.
"Le prix porte sur l’édition en 3.000 exemplaires, assurée par l’AIRF, de l’œuvre sélectionnée et sa diffusion. Conformément aux lois en vigueur, l’auteur a droit à 1 % du tirage à titre gracieux", précise le communiqué.
"Un contrat d’édition type est établi entre l’auteur ou son mandataire (président de région, par exemple…) et les éditions des Grilles d’Or. Les droits d’auteur sont estimés à 12% du prix des ventes HT".
Les tapuscrits font l’objet d’une présélection par des jurys de lecteurs expérimentés (enseignants, écrivains, bibliothécaires, libraires…). Les tapuscrits ayant passé la première sélection sont soumis à un jury de professionnels de l’écriture et de l’édition (directeurs littéraires, universitaires, auteurs confirmés…).
Les 5 ouvrages ayant passé la double sélection préalable et qui sont parvenus en tête de classement sont soumis à un jury final composé du président du groupe de travail "culture" de l’AIRF ou son représentant, d’un président de région ou son représentant, du responsable (ou président) des jurys précédents, d’un président d’honneur, de trois membres du secrétariat permanent de l’AIRF et de personnalités qualifiées.
Après Arsène Angelbert Ablo, auteur ivoirien lauréat en 2009 pour son roman "Cœurs d’Eta", le communiqué rappelle que c’est une auteure Burkinabé, Florentine Kima, qui a été distinguée en 2010. Son roman, "Chienne de vie", a fait l’objet d’une publication à 3.000 exemplaires aux éditions des Grilles d’Or.
Le Soleil