Les autorités de la région de Sédhiou ont procédé, vendredi dernier 8 mars, au lancement du processus d’élaboration du plan régional de développement intégré (PRDI). Il sera financé à hauteur de 14 millions par le programme d’appui au développement économique de la Casamance (PADEC). Le document de référence prévoit à concurrence de 244.666.000.000 FCFA pour la réalisation des actions programmées.
(SEDHIOU) – Ce plan régional de développement intégré (PRDI) a valeur de feuille de route à présenter aux bailleurs de fonds pour la conduite des actions de développement basées sur le recensement des priorités de la région.
Les études techniques vont coûter la bagatelle de 14 millions de CFA ont été déjà financées par le programme d’appui au développement économique de la Casamance (PADEC). Son chef d’antenne régionale de Sédhiou le Dr El Hadji Maoudo Bâ a fait savoir que «ce document de référence donnera une visibilité plus large et plus exacte des besoins exprimés à la base. La priorité sera de désenclaver la région de Sédhiou et de créer des pôles de développement en mettant l’accent sur les filières porteuses de revenus».
A cet effet, le directeur de l’agence régionale de développement de Sédhiou, N’fally Badji, a relevé qu’ «une vision claire a été dégagée devant faire de Sédhiou une région désenclavée à l’intérieur comme à l’extérieur pour une économie émergente et durable dont les retombées positives sont réparties de manière solidaire dans un contexte de paix et de sécurité d’ici à 2018».
Et de révéler l’enveloppe susceptible de couvrir les besoins répertoriés dans le document de base à «la réalisation des actions programmées dans le PRDI est d’un coût global estimé à 244.666.000.000 FCFA». «Le Conseil régional devra pour sa part mobiliser 6.371.000.000 FCFA», a précisé N’fally Badji le directeur de l’ARD de Sédhiou.
Pour sa part, Mamadou Lamine Dramé, le président du conseil régional de Sédhiou a fait observer que «les frustrations ayant donné naissance au conflit armé en Casamance peuvent être corrigées par la réalisation de véritables actions de développement. Ainsi, le défi du désenclavement routier, fluvial et maritime sera relevé de même que la valorisation du potentiel agricole et pastoral local. Ce n’est que par cette volonté que l’on arrivera à consolider la paix en Casamance tel que perçu par les populations à la base ».
Moussa DRAME
Sud Quotidien
(SEDHIOU) – Ce plan régional de développement intégré (PRDI) a valeur de feuille de route à présenter aux bailleurs de fonds pour la conduite des actions de développement basées sur le recensement des priorités de la région.
Les études techniques vont coûter la bagatelle de 14 millions de CFA ont été déjà financées par le programme d’appui au développement économique de la Casamance (PADEC). Son chef d’antenne régionale de Sédhiou le Dr El Hadji Maoudo Bâ a fait savoir que «ce document de référence donnera une visibilité plus large et plus exacte des besoins exprimés à la base. La priorité sera de désenclaver la région de Sédhiou et de créer des pôles de développement en mettant l’accent sur les filières porteuses de revenus».
A cet effet, le directeur de l’agence régionale de développement de Sédhiou, N’fally Badji, a relevé qu’ «une vision claire a été dégagée devant faire de Sédhiou une région désenclavée à l’intérieur comme à l’extérieur pour une économie émergente et durable dont les retombées positives sont réparties de manière solidaire dans un contexte de paix et de sécurité d’ici à 2018».
Et de révéler l’enveloppe susceptible de couvrir les besoins répertoriés dans le document de base à «la réalisation des actions programmées dans le PRDI est d’un coût global estimé à 244.666.000.000 FCFA». «Le Conseil régional devra pour sa part mobiliser 6.371.000.000 FCFA», a précisé N’fally Badji le directeur de l’ARD de Sédhiou.
Pour sa part, Mamadou Lamine Dramé, le président du conseil régional de Sédhiou a fait observer que «les frustrations ayant donné naissance au conflit armé en Casamance peuvent être corrigées par la réalisation de véritables actions de développement. Ainsi, le défi du désenclavement routier, fluvial et maritime sera relevé de même que la valorisation du potentiel agricole et pastoral local. Ce n’est que par cette volonté que l’on arrivera à consolider la paix en Casamance tel que perçu par les populations à la base ».
Moussa DRAME
Sud Quotidien