Dix collectivités locales de la région de Louga vont bénéficier, cette année, de financements du Programme national de développement local (Pndl). Une enveloppe de 399.480.000 FCfa est mise à leur disposition pour le financement de leur micro projets.
La commission de sélection vient de boucler le processus au niveau régional où l’ensemble des 52 collectivités locales avaient prétendu aux financements du Pndl. Au finish, seules 10 demandes de financement de collectivités locales ont été retenues pour l’année 2010.
Il s’agit de sept Communautés rurales du département de Kébémer (Loro, Touba Mérina, Kanène Ndiob, Mbadiane, Ndoyenne, Thiolom Fall et Sagatta Guet), la Communauté rurale de Ngueune Sarr dans le département de Louga et les Communautés rurales de Tessekéré Forage et Mbeuleukhé dans le département de Linguère qui ont déjà signé leur convention.
Soit une enveloppe financière globale de 399.480.000 FCfa dont 43.320.000 FCfa pour Ngueune Sarr, 81 millions pour les deux Communautés rurales de Linguère et le reste pour les collectivités locales du département de Kébémer. Selon le directeur intérimaire de l’Agence régionale de développement de Louga (Ard), ces financements concernent plusieurs secteurs, notamment la Santé, l’Education, l’Hydraulique l’Elevage, les Infrastructures socioéconomiques, l’Assainissement et l’Energie.
« Il s’agit de micro projets prioritaires des collectivités locales de base dont certaines ont opté pour la construction et l’équipement de cases de Santé, la construction de salles de classe, de mûrs de clôture ou de latrines, la réalisation de travaux d’adduction d’eau potable, de parcs à vaccination, l’extension du réseau électrique, l’achat de moulins à mil pour les femmes ou encore la construction de foyers de jeunes et l’aménagement de terrains de football », souligne Abdourahmane Cissé. Il indique que tous ces financements de micro projets prioritaires ont été octroyés sur la base de critères définis au préalable. Il s’agit du pourcentage de 100 % de la contrepartie des collectivités locales et du pourcentage de 100 % de micro projets réceptionnés.
En plus de cela, les collectivités locales doivent mettre en place un cadre de concertation qui regroupe les services techniques et l’ensemble des partenaires intervenant et qui est chargé d’identifier les projets tirés des Plans locaux de développement (Pld) et des Plans d’investissement communaux (Pic) validés par les élus avant l’évaluation technique et financière qui boucle le processus.
Ousmane MBENGUE
Le Soleil
La commission de sélection vient de boucler le processus au niveau régional où l’ensemble des 52 collectivités locales avaient prétendu aux financements du Pndl. Au finish, seules 10 demandes de financement de collectivités locales ont été retenues pour l’année 2010.
Il s’agit de sept Communautés rurales du département de Kébémer (Loro, Touba Mérina, Kanène Ndiob, Mbadiane, Ndoyenne, Thiolom Fall et Sagatta Guet), la Communauté rurale de Ngueune Sarr dans le département de Louga et les Communautés rurales de Tessekéré Forage et Mbeuleukhé dans le département de Linguère qui ont déjà signé leur convention.
Soit une enveloppe financière globale de 399.480.000 FCfa dont 43.320.000 FCfa pour Ngueune Sarr, 81 millions pour les deux Communautés rurales de Linguère et le reste pour les collectivités locales du département de Kébémer. Selon le directeur intérimaire de l’Agence régionale de développement de Louga (Ard), ces financements concernent plusieurs secteurs, notamment la Santé, l’Education, l’Hydraulique l’Elevage, les Infrastructures socioéconomiques, l’Assainissement et l’Energie.
« Il s’agit de micro projets prioritaires des collectivités locales de base dont certaines ont opté pour la construction et l’équipement de cases de Santé, la construction de salles de classe, de mûrs de clôture ou de latrines, la réalisation de travaux d’adduction d’eau potable, de parcs à vaccination, l’extension du réseau électrique, l’achat de moulins à mil pour les femmes ou encore la construction de foyers de jeunes et l’aménagement de terrains de football », souligne Abdourahmane Cissé. Il indique que tous ces financements de micro projets prioritaires ont été octroyés sur la base de critères définis au préalable. Il s’agit du pourcentage de 100 % de la contrepartie des collectivités locales et du pourcentage de 100 % de micro projets réceptionnés.
En plus de cela, les collectivités locales doivent mettre en place un cadre de concertation qui regroupe les services techniques et l’ensemble des partenaires intervenant et qui est chargé d’identifier les projets tirés des Plans locaux de développement (Pld) et des Plans d’investissement communaux (Pic) validés par les élus avant l’évaluation technique et financière qui boucle le processus.
Ousmane MBENGUE
Le Soleil