Le Programme national de développement local (Pndl) a organisé hier, un atelier national de validation de deux manuels. Celui de la maîtrise d’ouvrage local et de la gestion des procédures environnementales et sociales.
Le manuel de maîtrise d’ouvrage offre un cadre de référence méthodologique et procédurale pour la conduite des différentes étapes dès la planification des interventions de terrain jusqu’à la pérennisation des services mis en place. Celui de gestion des procédures environnementales et sociales participe à la prise en compte de l’exigence du code de l’environnement du Sénégal.
Organisé hier, cet atelier du Pndl avait pour but la validation des deux documents et l’intégration des propositions faites par les différents participants. « L’une des finalités du Pndl est de fournir des outils et des instruments de travail aux acteurs locaux. Nous sommes bien en phase avec cette orientation. Les deux outils qui viendront s’ajouter aux divers instruments déjà finalisés positionnent le Pndl, comme un fer de lance devant définitivement ancrer, au cœur des collectivités locales, une démarche pédagogique continue », affirme Samba Guèye, Secrétaire Exécutif du Pndl.
Selon lui, un Cadre de gestion environnementale et sociale (Cges) a été défini. « Celui-ci prévoit que toutes les mesures de gestion environnementale et sociale liées à la mise en œuvre du Pndl soient prises, en conformité avec la législation environnementale sénégalaise et les politiques opérationnelles de la Banque mondiale », poursuit-il. Pour lui, ces deux manuels viennent à leur heure.
Venu représenter le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, le secrétaire général de ce ministère, Alioune Badara Mbengue, s’est réjoui de voir le Pndl s’orienter résolument vers la mise à disposition d’outils et d’instruments aptes à relever le niveau d’intervention des acteurs locaux. « Le manuel de maîtrise d’ouvrage revêt toute son importance si l’on en juge par le nombre important de microprojets concernés par la mise en œuvre du Pndl (près de 400) et l’énorme capital humain qu’il mobilise pour arriver à des résultats », explique Alioune Badara Mbengue. Il en ajoute que le Pndl n’a pas occulté le volet sensible de l’environnement.
Pape Sanor DRAME
Le Soleil
Le manuel de maîtrise d’ouvrage offre un cadre de référence méthodologique et procédurale pour la conduite des différentes étapes dès la planification des interventions de terrain jusqu’à la pérennisation des services mis en place. Celui de gestion des procédures environnementales et sociales participe à la prise en compte de l’exigence du code de l’environnement du Sénégal.
Organisé hier, cet atelier du Pndl avait pour but la validation des deux documents et l’intégration des propositions faites par les différents participants. « L’une des finalités du Pndl est de fournir des outils et des instruments de travail aux acteurs locaux. Nous sommes bien en phase avec cette orientation. Les deux outils qui viendront s’ajouter aux divers instruments déjà finalisés positionnent le Pndl, comme un fer de lance devant définitivement ancrer, au cœur des collectivités locales, une démarche pédagogique continue », affirme Samba Guèye, Secrétaire Exécutif du Pndl.
Selon lui, un Cadre de gestion environnementale et sociale (Cges) a été défini. « Celui-ci prévoit que toutes les mesures de gestion environnementale et sociale liées à la mise en œuvre du Pndl soient prises, en conformité avec la législation environnementale sénégalaise et les politiques opérationnelles de la Banque mondiale », poursuit-il. Pour lui, ces deux manuels viennent à leur heure.
Venu représenter le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, le secrétaire général de ce ministère, Alioune Badara Mbengue, s’est réjoui de voir le Pndl s’orienter résolument vers la mise à disposition d’outils et d’instruments aptes à relever le niveau d’intervention des acteurs locaux. « Le manuel de maîtrise d’ouvrage revêt toute son importance si l’on en juge par le nombre important de microprojets concernés par la mise en œuvre du Pndl (près de 400) et l’énorme capital humain qu’il mobilise pour arriver à des résultats », explique Alioune Badara Mbengue. Il en ajoute que le Pndl n’a pas occulté le volet sensible de l’environnement.
Pape Sanor DRAME
Le Soleil