Le Plan de gestion environnementale et sociale (Pges) du Programme national de développement local fait l’objet jeudi à Dakar d’une évaluation. C’était à l’occasion d’un atelier de formation de trois jours des membres du Comité national technique d’évaluation environnementale (Cnte).
Organisé par le Pndl avec la collaboration du ministère de l’Environnement, la session de formation va permettre, selon le directeur exécutif Samba Guèye, de faire le point sur les arrangements institutionnels en cours pour une meilleure prise en charge des projets de développement local. Le secrétaire exécutif du Pndl a rappelé à l’occasion, les microprojets (1.800) financés sur toute l’étendue du territoire national dans les secteurs de l’eau, de l’éducation, de la santé, des ressources naturelles et des activités socio-économiques qui méritent la maîtrise d’ouvrage, une prise en compte des aspects environnementaux et sociaux. Il a dit, à cet effet, l’engagement de sa structure à appuyer les activités du comité national technique d’évaluation environnementale. Il s’agira, au cours de cette formation, de procéder à l’évaluation des microprojets et d’évaluer le respect, à la lettre, des prescriptions environnementales et sociales édictées. La formation des membres du comité national, combinée à l’évaluation de la mise en œuvre du cadre de gestion environnementale et sociale du Pndl va permettre de partager l’expérience de la déconcentration et de la décentralisation de la gestion environnementale et sociale des projets et sous-projets mis en œuvre au niveau des collectivités locales.
Le représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, Abdel Kader Konté, a dit toute la disponibilité du ministère à accompagner les collectivités locales dans la mise en application du suivi environnemental. Un engagement qui a été réitéré par le directeur-adjoint de l’Environnement, Ernest Dione, à travers le transfert des ressources dans les collectivités locales.
Alé Lô de l’Union des associations des élus locaux a plaidé pour le rapprochement des services techniques chargés de la gestion environnementale. Il a demandé la tenue périodique de ce genre de rencontre afin de lever les équivoques entre les élus et les services de l’Etat.
B. B. SANE et El H. A. THIAM
Le Soleil
Organisé par le Pndl avec la collaboration du ministère de l’Environnement, la session de formation va permettre, selon le directeur exécutif Samba Guèye, de faire le point sur les arrangements institutionnels en cours pour une meilleure prise en charge des projets de développement local. Le secrétaire exécutif du Pndl a rappelé à l’occasion, les microprojets (1.800) financés sur toute l’étendue du territoire national dans les secteurs de l’eau, de l’éducation, de la santé, des ressources naturelles et des activités socio-économiques qui méritent la maîtrise d’ouvrage, une prise en compte des aspects environnementaux et sociaux. Il a dit, à cet effet, l’engagement de sa structure à appuyer les activités du comité national technique d’évaluation environnementale. Il s’agira, au cours de cette formation, de procéder à l’évaluation des microprojets et d’évaluer le respect, à la lettre, des prescriptions environnementales et sociales édictées. La formation des membres du comité national, combinée à l’évaluation de la mise en œuvre du cadre de gestion environnementale et sociale du Pndl va permettre de partager l’expérience de la déconcentration et de la décentralisation de la gestion environnementale et sociale des projets et sous-projets mis en œuvre au niveau des collectivités locales.
Le représentant du ministre d’Etat, ministre de l’Environnement, Abdel Kader Konté, a dit toute la disponibilité du ministère à accompagner les collectivités locales dans la mise en application du suivi environnemental. Un engagement qui a été réitéré par le directeur-adjoint de l’Environnement, Ernest Dione, à travers le transfert des ressources dans les collectivités locales.
Alé Lô de l’Union des associations des élus locaux a plaidé pour le rapprochement des services techniques chargés de la gestion environnementale. Il a demandé la tenue périodique de ce genre de rencontre afin de lever les équivoques entre les élus et les services de l’Etat.
B. B. SANE et El H. A. THIAM
Le Soleil