« Les Tic au service de la gouvernance locale au Sénégal », c’est le nom du projet qui vise à intégrer le volet Tic dans le cadre d’un service public proche des populations. Placé sous la direction de Mouhamed Tidiane Seck, directeur général de l’Agence de l’informatique de l’Etat, il est composé de plusieurs partenaires.
Dans ce qui est convenu d’appeler la fracture numérique, les zones rurales sont les plus touchées. C’est pour résorber ce déficit que le projet « Les Tic au service de la gouvernance locale au Sénégal » a été mis sur pied. Comme son nom l’indique, ce projet vise une utilisation de l’outil informatique pour un meilleur service des collectivités locales à travers le concept de e-gouvernance. Une utilisation par le secteur public des Tic dans le but d’améliorer la livraison de l’information et le service, d’encourager la participation du citoyen au processus de décision et de rendre le gouvernement plus responsable, transparent et efficace. C’est ainsi qu’un comité de pilotage a été créé, avec à sa tête Mouhamed Tidiane Seck, Dg de l’Aie, pour organiser ce projet autour des partenaires que sont l’Ucad, le Crdi et le Pnud. Pour sa mise en place, une étude de diagnostic a été faite. Celle-ci recommande le déploiement dans 6 communautés rurales : Darou Mouhty, Thieppe et Kanène dans (département de Kébémer), Boulèle, Malème Hodar, Ndiognick (département de Kaffrine).
Le choix porté sur ces communautés rurales repose sur un certain nombre de raisons. Ainsi, chacune de ces communautés semble avoir déjà atteint un degré de gouvernance appréciable du fait de l’intervention d’acteurs comme le Padmir. « Cependant, compte tenu de la faible dotation en équipements d’information et de communication, de l’insuffisance des infrastructures socio-économiques de base, du taux d’élevé d’analphabétisme, mais aussi de la pauvreté, ces avancées restent limitées », indique la note de présentation du projet. Elle poursuit que les bénéficiaires indirects du projet seront les collectivités locales identifiées. Chacune d’elle représente une zone écologique et un contexte économique et social spécifique. Les résultats obtenus pourront alors servir de base pour l’extension du projet dans d’autres communautés rurales du Sénégal et même de l’Afrique de l’Ouest. Pour son expansion, ce projet va épouser les axes prioritaires définis par le Padmir dans le cadre du renforcement des actions déjà entreprises sur le terrain. Plusieurs missions ont été ainsi menées dans les collectivités locales concernées. Les responsables locaux, à l’image de Amet Saloum Boye, président de la Communauté rurale de Malème Hodar, ont apprécié à sa juste valeur la mise en place de projet dont ils sont les principaux bénéficiaires.
Le Soleil
Dans ce qui est convenu d’appeler la fracture numérique, les zones rurales sont les plus touchées. C’est pour résorber ce déficit que le projet « Les Tic au service de la gouvernance locale au Sénégal » a été mis sur pied. Comme son nom l’indique, ce projet vise une utilisation de l’outil informatique pour un meilleur service des collectivités locales à travers le concept de e-gouvernance. Une utilisation par le secteur public des Tic dans le but d’améliorer la livraison de l’information et le service, d’encourager la participation du citoyen au processus de décision et de rendre le gouvernement plus responsable, transparent et efficace. C’est ainsi qu’un comité de pilotage a été créé, avec à sa tête Mouhamed Tidiane Seck, Dg de l’Aie, pour organiser ce projet autour des partenaires que sont l’Ucad, le Crdi et le Pnud. Pour sa mise en place, une étude de diagnostic a été faite. Celle-ci recommande le déploiement dans 6 communautés rurales : Darou Mouhty, Thieppe et Kanène dans (département de Kébémer), Boulèle, Malème Hodar, Ndiognick (département de Kaffrine).
Le choix porté sur ces communautés rurales repose sur un certain nombre de raisons. Ainsi, chacune de ces communautés semble avoir déjà atteint un degré de gouvernance appréciable du fait de l’intervention d’acteurs comme le Padmir. « Cependant, compte tenu de la faible dotation en équipements d’information et de communication, de l’insuffisance des infrastructures socio-économiques de base, du taux d’élevé d’analphabétisme, mais aussi de la pauvreté, ces avancées restent limitées », indique la note de présentation du projet. Elle poursuit que les bénéficiaires indirects du projet seront les collectivités locales identifiées. Chacune d’elle représente une zone écologique et un contexte économique et social spécifique. Les résultats obtenus pourront alors servir de base pour l’extension du projet dans d’autres communautés rurales du Sénégal et même de l’Afrique de l’Ouest. Pour son expansion, ce projet va épouser les axes prioritaires définis par le Padmir dans le cadre du renforcement des actions déjà entreprises sur le terrain. Plusieurs missions ont été ainsi menées dans les collectivités locales concernées. Les responsables locaux, à l’image de Amet Saloum Boye, président de la Communauté rurale de Malème Hodar, ont apprécié à sa juste valeur la mise en place de projet dont ils sont les principaux bénéficiaires.
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