Diourbel, 11 mai (APS) - Un atelier de deux jours sur la nouvelle réglementation du secteur de la microfinance au Sénégal s’est ouvert mardi à Diourbel à l’intention des systèmes de financement décentralisés (SFD) de la région.
Cet atelier se tient à l’initiative de l’Agence régionale de développement (ARD), en partenariat avec le programme d’appui à la microfinance volet 1 (PAMIF1).
Il s’agit ainsi de rappeler et d’insister sur les dispositions réglementaires régissant le fonctionnement des SFD. Aussi, un accent particulier sera mis sur les innovations de la nouvelle réglementation.
Celles-ci ont trait, entre autres, à louverture du secteur à la forme sociétale (les sociétés anonymes qui peuvent faire de la microfinance) et l’implication de plus en plus forte de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO) dans l’agrément et la surveillance de la microfinance.
De même, les groupements d’épargne et de crédits vont progressivement disparaître. Ainsi, un agrément unique sera désormais de mise et fera obligation d’affichage public à tout SFD ainsi reconnu.
"Il s’agit de renforcer les capacités des ces structures qui sont essentielles à la promotion du développement local.
L’ARD cherche à initier le maximum d’activités qui concourent à mettre les acteurs locaux à même de pouvoir développer la région", a indiqué le directeur de l’ARD, Mamadou Sène. Aujourd’hui, près de 50 SFD environ évoluent dans la région.
Selon le coresponsable du PAMIF1, Mansa Oualy, les SFD ont atteint 122 milliards de francs en encours d’épargne et 140 milliards en encours de crédit à la date de juin 2009.
"Les grands réseaux financent même des besoins à hauteur de 150 millions de francs. On est dans une phase de consolidation et d’intégration", a ajouté M. Oualy insistant ainsi sur l’opportunité de la nouvelle réglementation.
L’adjoint au développement du gouverneur de la région, Serigne Ababacar Kane, a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier qui s’achève mercredi. Il a mis l’accent sur la place de la microfinance dans la croisade du gouvernement du Sénégal contre la pauvreté.
Cet atelier se tient à l’initiative de l’Agence régionale de développement (ARD), en partenariat avec le programme d’appui à la microfinance volet 1 (PAMIF1).
Il s’agit ainsi de rappeler et d’insister sur les dispositions réglementaires régissant le fonctionnement des SFD. Aussi, un accent particulier sera mis sur les innovations de la nouvelle réglementation.
Celles-ci ont trait, entre autres, à louverture du secteur à la forme sociétale (les sociétés anonymes qui peuvent faire de la microfinance) et l’implication de plus en plus forte de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO) dans l’agrément et la surveillance de la microfinance.
De même, les groupements d’épargne et de crédits vont progressivement disparaître. Ainsi, un agrément unique sera désormais de mise et fera obligation d’affichage public à tout SFD ainsi reconnu.
"Il s’agit de renforcer les capacités des ces structures qui sont essentielles à la promotion du développement local.
L’ARD cherche à initier le maximum d’activités qui concourent à mettre les acteurs locaux à même de pouvoir développer la région", a indiqué le directeur de l’ARD, Mamadou Sène. Aujourd’hui, près de 50 SFD environ évoluent dans la région.
Selon le coresponsable du PAMIF1, Mansa Oualy, les SFD ont atteint 122 milliards de francs en encours d’épargne et 140 milliards en encours de crédit à la date de juin 2009.
"Les grands réseaux financent même des besoins à hauteur de 150 millions de francs. On est dans une phase de consolidation et d’intégration", a ajouté M. Oualy insistant ainsi sur l’opportunité de la nouvelle réglementation.
L’adjoint au développement du gouverneur de la région, Serigne Ababacar Kane, a présidé la cérémonie d’ouverture de l’atelier qui s’achève mercredi. Il a mis l’accent sur la place de la microfinance dans la croisade du gouvernement du Sénégal contre la pauvreté.