Conçue pour consolider les acquis du projet Mangrove qui a pris fin depuis deux ans, l’association pour la promotion des initiatives locales (Apil) dans la réserve de la biosphère du Delta du Saloum a lancé ses activités par l’organisation d’un atelier de planification stratégique à Foundiougne. Ce projet est appuyé par « Aide au développement Gembloux » de la région Wallonne, en Belgique, et compte soutenir les populations du Delta.
Le coordonnateur d’Apil, Cheikh Kandj, a indiqué que le projet vise les populations des communautés rurales de Bassoul, Djilor, Djirnda et Toubacouta, précisant que ces populations sont soit des insulaires vivant essentiellement de la pêche et de l’exploitation des ressources naturelles, soit des agriculteurs au niveau de la terre ferme. Selon lui, ces 4 communautés rurales comptent 114 villages où vivent 50.000 âmes, mais le projet va cibler principalement 20 villages.
Et l’objectif spécifique, a-t-il expliqué, est de consolider les dynamiques générées par le projet Mangrove, en poursuivant le renforcement des capacités des acteurs de base. Il s’agit plus précisément, a-t-il fait noter, de maintenir et de consolider les dynamiques économiques générées, dans une période de 20 mois, le temps que les structures générées construisent leur interdépendance pour une meilleure autonomie en termes de fonctionnement et de gestion financière ; d’encadrer les initiatives locales en matière de reboisement et de gestion de la mangrove ; de développer les actions d’éducation relative à l’environnement ; de renforcer les conditions d’un partenariat entre plusieurs acteurs permettant de s’inscrire beaucoup plus dans des interventions de développement local articulant les dimensions économiques, environnementales et institutionnelles. Mettant l’accent sur les activités à mener, Cheikh Kandji a fait savoir que le projet va apporter son soutien aux initiatives locales pour le développement des activités ostréicoles, apicoles et aux Gie et groupements. Sur le plan du reboisement et de la gestion de la mangrove, il est prévu un appui à la mise en œuvre du plan de restauration de la mangrove dans la communauté rurale de Djilor, un appui à l’autonomisation des pépiniéristes villageois.
Aussi, des plans de gestion de la mangrove seront déroulés. Pour l’éducation relative à l’environnement, le projet va apporter un appui à l’adaptation et la vulgarisation des fiches pédagogiques sur la mangrove pour le cycle élémentaire à l’échelle départementale avec l’Iden, et va élaborer un programme de sensibilisation entre l’Iden et le service d’appui à l’éducation, la sensibilisation et la communication du projet Apil.
Le Soleil
Le coordonnateur d’Apil, Cheikh Kandj, a indiqué que le projet vise les populations des communautés rurales de Bassoul, Djilor, Djirnda et Toubacouta, précisant que ces populations sont soit des insulaires vivant essentiellement de la pêche et de l’exploitation des ressources naturelles, soit des agriculteurs au niveau de la terre ferme. Selon lui, ces 4 communautés rurales comptent 114 villages où vivent 50.000 âmes, mais le projet va cibler principalement 20 villages.
Et l’objectif spécifique, a-t-il expliqué, est de consolider les dynamiques générées par le projet Mangrove, en poursuivant le renforcement des capacités des acteurs de base. Il s’agit plus précisément, a-t-il fait noter, de maintenir et de consolider les dynamiques économiques générées, dans une période de 20 mois, le temps que les structures générées construisent leur interdépendance pour une meilleure autonomie en termes de fonctionnement et de gestion financière ; d’encadrer les initiatives locales en matière de reboisement et de gestion de la mangrove ; de développer les actions d’éducation relative à l’environnement ; de renforcer les conditions d’un partenariat entre plusieurs acteurs permettant de s’inscrire beaucoup plus dans des interventions de développement local articulant les dimensions économiques, environnementales et institutionnelles. Mettant l’accent sur les activités à mener, Cheikh Kandji a fait savoir que le projet va apporter son soutien aux initiatives locales pour le développement des activités ostréicoles, apicoles et aux Gie et groupements. Sur le plan du reboisement et de la gestion de la mangrove, il est prévu un appui à la mise en œuvre du plan de restauration de la mangrove dans la communauté rurale de Djilor, un appui à l’autonomisation des pépiniéristes villageois.
Aussi, des plans de gestion de la mangrove seront déroulés. Pour l’éducation relative à l’environnement, le projet va apporter un appui à l’adaptation et la vulgarisation des fiches pédagogiques sur la mangrove pour le cycle élémentaire à l’échelle départementale avec l’Iden, et va élaborer un programme de sensibilisation entre l’Iden et le service d’appui à l’éducation, la sensibilisation et la communication du projet Apil.
Le Soleil