Grâce à l’appui de l’organisation de l’Organisation mondiale pour l’agriculture et l’alimentation, la Fao, le Sénégal va bientôt disposer d’un cadre institutionnel en adéquation avec la lettre de politique sectorielle de la pêche dont l’objectif est le renforcement de la gestion durable des ressources halieutiques. Ce projet dénommé Tcp est conduit en collaboration avec la Fao qui a injecté un montant de 228 000 dollars soit 164 millions de francs Cfa.
Selon le représentant de la Fao, Amadou Ouattara, « la pêche joue un rôle premier dans l’économie, eu égard au nombre d’acteurs et aux nombreux segments qui la composent, c’est ce qui implique l’intérêt de la Fao pour ce secteur qui permettra de lutter contre l’insécurité alimentaire. » C’est pourquoi, le projet va définir plusieurs priorités qui ont pour objectif de maintenir la croissance économique en assurant aux acteurs des revenus et une sécurité alimentaire.
Selon M. Ouattara, « c’est dans ce sens que s’inscrit la lettre de politique sectorielle de la pêche et que le projet jettera d’autres jalons importants qui visent à renforcer les différents documents mis en œuvre par l’Etat du Sénégal pour résoudre la pauvreté, notamment la Sca et le Dsrp2 ». En définitive, ce projet vise à formuler des dispositifs institutionnels pour la mise en œuvre de la LPs/Pêche. Le directeur de cabinet du ministre de l’Economie maritime s’est inscrit dans le même sillage. Selon Elhadji Cissé, « ce projet intervient dans un contexte où le gouvernement ambitionne de faire du secteur de la pêche un levier fondamental de la réduction de la pauvreté, c’est pourquoi la Sca, partie intégrante du Dsrp2, met l’accent sur le développement de la pêche et de l’aquaculture. »
Déjà des actions ont été menées dans le cadre de la pérennisation des ressources halieutiques, il s’agit de l’immersion des récifs artificiels, la création des aires marines protégées, le repos biologique annuel, mais également l’immatriculation des pirogues et le permis de pêche. Toutefois, l’Etat rencontre des réticences par rapport à ces deux derniers points, a reconnu M. Cissé. Par rapport au projet, le directeur de cabinet révèle la mise sur pied d’un comité de pilotage et dis attendre des recommandations de l’atelier pour une mise en œuvre efficiente du projet.
Daouda GUEYE
Sud Quotidien
Selon le représentant de la Fao, Amadou Ouattara, « la pêche joue un rôle premier dans l’économie, eu égard au nombre d’acteurs et aux nombreux segments qui la composent, c’est ce qui implique l’intérêt de la Fao pour ce secteur qui permettra de lutter contre l’insécurité alimentaire. » C’est pourquoi, le projet va définir plusieurs priorités qui ont pour objectif de maintenir la croissance économique en assurant aux acteurs des revenus et une sécurité alimentaire.
Selon M. Ouattara, « c’est dans ce sens que s’inscrit la lettre de politique sectorielle de la pêche et que le projet jettera d’autres jalons importants qui visent à renforcer les différents documents mis en œuvre par l’Etat du Sénégal pour résoudre la pauvreté, notamment la Sca et le Dsrp2 ». En définitive, ce projet vise à formuler des dispositifs institutionnels pour la mise en œuvre de la LPs/Pêche. Le directeur de cabinet du ministre de l’Economie maritime s’est inscrit dans le même sillage. Selon Elhadji Cissé, « ce projet intervient dans un contexte où le gouvernement ambitionne de faire du secteur de la pêche un levier fondamental de la réduction de la pauvreté, c’est pourquoi la Sca, partie intégrante du Dsrp2, met l’accent sur le développement de la pêche et de l’aquaculture. »
Déjà des actions ont été menées dans le cadre de la pérennisation des ressources halieutiques, il s’agit de l’immersion des récifs artificiels, la création des aires marines protégées, le repos biologique annuel, mais également l’immatriculation des pirogues et le permis de pêche. Toutefois, l’Etat rencontre des réticences par rapport à ces deux derniers points, a reconnu M. Cissé. Par rapport au projet, le directeur de cabinet révèle la mise sur pied d’un comité de pilotage et dis attendre des recommandations de l’atelier pour une mise en œuvre efficiente du projet.
Daouda GUEYE
Sud Quotidien