Le Projet Appia qui s’inscrit dans les conclusions de l’évaluation externe du projet et des décisions de son dernier comité de pilotage, a mis l’accent sur les outils et méthodes innovantes de conseil destinés aux irrigants. Il a été élaboré avec les producteurs et les conseillers des outils de type plaquettes didactiques, permettant aux usagers de favoriser l’aide à la décision sur les exploitants horticoles des Niayes.
Cet atelier de diffusion des plaquettes avait pour objectif de rendre publique l’existence de ces outils et leur utilité. Il a aussi permis aux participants de disposer d’outils pour mieux accompagner les irrigants dans leurs choix en matière d’irrigation.
Selon Ndongo Sène, représentant du comité de pilotage du Projet Appia, « les Niayes constituent la principale zone de production maraîchère du Sénégal. Cette activité occupant plus de 70 % des ménages est confrontée à plusieurs problèmes.
La qualité des ouvrages d’exhaure, les méthodes d’exhaure, les types d’aménagement, les systèmes de distribution de la dose d’irrigation et l’efficience de l’irrigation sont les contraintes majeures confrontés par les irrigants ». Et d’ajouter : « les diagnostics rapides réalisés sur les sites de Mbawane et de Keur Mbir Ndao ont abouti à l’élaboration d’un plan d’action dont la mise en œuvre constitue l’objet de la présente phase 2 du projet ». Pour M Sène, « le plan d’action des deux sites pré-cités avait pour objectif d’améliorer la disponibilité en eau par irrigation. Ceci à travers le renforcement de capacités techniques des irrigants et du conseil en matière de gestion et d’économie de l’eau ».
Pour soutenir les propos du représentent du comité de pilotage, Lamine Konté, le modérateur de cet atelier, a déclaré : « l’irrigation constitue un facteur déterminant dans la production des fruits et légumes au niveau de la zone des Niayes.
Elle occupe pour certains 70 à 80 % du temps de travail et la partie la plus importante du budget de fonctionnement des exploitations agricoles. C’est un volet qui demande donc à être amélioré pour une utilisation plus rationnelle de l’eau. Mais aussi pour diminuer les efforts physiques liés à l’irrigation traditionnelle », déclare-il.
Sud Quotidien
Cet atelier de diffusion des plaquettes avait pour objectif de rendre publique l’existence de ces outils et leur utilité. Il a aussi permis aux participants de disposer d’outils pour mieux accompagner les irrigants dans leurs choix en matière d’irrigation.
Selon Ndongo Sène, représentant du comité de pilotage du Projet Appia, « les Niayes constituent la principale zone de production maraîchère du Sénégal. Cette activité occupant plus de 70 % des ménages est confrontée à plusieurs problèmes.
La qualité des ouvrages d’exhaure, les méthodes d’exhaure, les types d’aménagement, les systèmes de distribution de la dose d’irrigation et l’efficience de l’irrigation sont les contraintes majeures confrontés par les irrigants ». Et d’ajouter : « les diagnostics rapides réalisés sur les sites de Mbawane et de Keur Mbir Ndao ont abouti à l’élaboration d’un plan d’action dont la mise en œuvre constitue l’objet de la présente phase 2 du projet ». Pour M Sène, « le plan d’action des deux sites pré-cités avait pour objectif d’améliorer la disponibilité en eau par irrigation. Ceci à travers le renforcement de capacités techniques des irrigants et du conseil en matière de gestion et d’économie de l’eau ».
Pour soutenir les propos du représentent du comité de pilotage, Lamine Konté, le modérateur de cet atelier, a déclaré : « l’irrigation constitue un facteur déterminant dans la production des fruits et légumes au niveau de la zone des Niayes.
Elle occupe pour certains 70 à 80 % du temps de travail et la partie la plus importante du budget de fonctionnement des exploitations agricoles. C’est un volet qui demande donc à être amélioré pour une utilisation plus rationnelle de l’eau. Mais aussi pour diminuer les efforts physiques liés à l’irrigation traditionnelle », déclare-il.
Sud Quotidien