L’orientation de ce deuxième contrat de ville (2007-2011) consiste à ’’consolider les équipements et les infrastructures déjà réalisés dans le cadre du programme d’appui aux communes’’, a précisé le maire de la ville, Ndiawar Touré.
Ainsi, la ville de Rufisque prévoit avec cette enveloppe, de réhabiliter la voirie du centre ville, particulièrement au quartier Keury Souf pour un coût de 272,712 millions de francs. Pour l’édile de la ville, cette réhabilitation va non seulement améliorer le plan de circulation des personnes, mais aussi renforcer la sécurité en ville avec le réseau d’éclairage public qui accompagnera les infrastructures routières.
La construction des sièges des trois communes d’arrondissement de Rufisque Est, Ouest et Nord est aussi prévue dans le Programme de renforcement et d’équipement des collectivités locales (PRECOL) financé par l’ADM dans le but ’’d’harmoniser avec les autres collectivités de Dakar qui disposent tous de locaux fonctionnels’’, a ajouté le maire.
L’autre projet inscrit dans le cadre du contrat de ville reste la construction de la deuxième tribune du stade Ngalandou Diouf avec l’aménagement d’un centre d’accueil pour l’hébergement des sportifs pour plus de 500 millions de francs.
Selon Ndiawar Touré, cette réalisation a toujours été ’’une forte demande des sportifs, car les capacités d’accueil du stade étaient très limitées’’.
’’Ce présent programme prioritaire exécutoire en deux phases permettra à notre ville de disposer d’équipements structurants avec des impacts socio-économiques visibles’’, a-t-il souligné.
Pour le directeur général de l’ADM, Kabir Sow, la ville de Rufisque a pu bénéficier du contrat grâce ’’au respect scrupuleux des engagements pris dans le premier programme qui a permis des réalisations concrètes et visibles’’.
Les modalités de financement s’articulent autour de 7 pour cent d’autofinancement concédé dans le budget de la ville, de 22 pour cent de crédit remboursable en 12 ans et de 71 pour cent de subvention consenti par l’ADM, a expliqué son directeur général.
C’est pourquoi pour la pérennité des infrastructures qui seront mises en place, le directeur général de l’ADM a suggéré à la municipalité de Rufisque et à toutes les collectivités en général de prélever 3 pour cent de leur budget pour l’entretien.
Il a rappelé que dans le premier contrat de ville (1999-2005), Rufisque avait bénéficié d’un appui institutionnel qui a permis de renforcer les capacités organisationnelles, d’améliorer la gestion municipale et l’accès des services de base de la collectivité.
La ville de Rufisque avait également réalisé avec ce programme des voiries pour la mobilité urbaine. Les travaux seront exécutés par l’AGETIP. Augmentation annoncée de 18 pour cent d’importations des produits agricoles
Sud Quotidien
Ainsi, la ville de Rufisque prévoit avec cette enveloppe, de réhabiliter la voirie du centre ville, particulièrement au quartier Keury Souf pour un coût de 272,712 millions de francs. Pour l’édile de la ville, cette réhabilitation va non seulement améliorer le plan de circulation des personnes, mais aussi renforcer la sécurité en ville avec le réseau d’éclairage public qui accompagnera les infrastructures routières.
La construction des sièges des trois communes d’arrondissement de Rufisque Est, Ouest et Nord est aussi prévue dans le Programme de renforcement et d’équipement des collectivités locales (PRECOL) financé par l’ADM dans le but ’’d’harmoniser avec les autres collectivités de Dakar qui disposent tous de locaux fonctionnels’’, a ajouté le maire.
L’autre projet inscrit dans le cadre du contrat de ville reste la construction de la deuxième tribune du stade Ngalandou Diouf avec l’aménagement d’un centre d’accueil pour l’hébergement des sportifs pour plus de 500 millions de francs.
Selon Ndiawar Touré, cette réalisation a toujours été ’’une forte demande des sportifs, car les capacités d’accueil du stade étaient très limitées’’.
’’Ce présent programme prioritaire exécutoire en deux phases permettra à notre ville de disposer d’équipements structurants avec des impacts socio-économiques visibles’’, a-t-il souligné.
Pour le directeur général de l’ADM, Kabir Sow, la ville de Rufisque a pu bénéficier du contrat grâce ’’au respect scrupuleux des engagements pris dans le premier programme qui a permis des réalisations concrètes et visibles’’.
Les modalités de financement s’articulent autour de 7 pour cent d’autofinancement concédé dans le budget de la ville, de 22 pour cent de crédit remboursable en 12 ans et de 71 pour cent de subvention consenti par l’ADM, a expliqué son directeur général.
C’est pourquoi pour la pérennité des infrastructures qui seront mises en place, le directeur général de l’ADM a suggéré à la municipalité de Rufisque et à toutes les collectivités en général de prélever 3 pour cent de leur budget pour l’entretien.
Il a rappelé que dans le premier contrat de ville (1999-2005), Rufisque avait bénéficié d’un appui institutionnel qui a permis de renforcer les capacités organisationnelles, d’améliorer la gestion municipale et l’accès des services de base de la collectivité.
La ville de Rufisque avait également réalisé avec ce programme des voiries pour la mobilité urbaine. Les travaux seront exécutés par l’AGETIP. Augmentation annoncée de 18 pour cent d’importations des produits agricoles
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