Une quarantaine de personnes s’activent dans la démarche qui se veut participative avec la collaboration du Corps de la Paix américain. Sous le sceau de la coopération décentralisée, la délégation américaine conduite par les directeurs Monde et Sénégal du Peace Corps et un chargé de l’ambassade des Etats-Unis a révélé un engagement pris à hauteur de 24 000 dollars pour rendre la ville à travers ses quartiers propre.
A en croire le directeur du Corps de la paix américain Monde qui a visité beaucoup de projets, celui de Joal-Fadiouth par conception et sa réalisation est unique en son genre. Il a félicité les hommes et les femmes qui se sont investis pour ramasser, collecter les ordures en vue de rendre accueillant et propre leur cadre de vie. Dans cet engagement de prise en charge des ordures ménagères ,il a aussi magnifié et félicité aussi l’action des deux volontaires du Corps de la Paix américain qui ont suivi le projet à ses débuts .Il pense que le modèle joal-fadiouthien est transférable à travers le monde. Selon ses propos ,la pérennisation du projet ne lui pose aucun souci avec la communication ,la presse,la présence des élèves ,les espoirs de demain qui sont tous imprégnés de la donne .Il se dit ,très rassuré que la relève va être de mise.
Emmanuel Diouf le 1ier adjoint au maire de Joal–Fadiouth a dit dans son intervention .Le projet ne doit plus s’arrêter par rapport à son succès. Il a loué au nom du maire Paul Ndong empêché les actions menées dans le cadre du savoir citoyen par la coopération décentralisée par les volontaires du Corps de la Paix. Pour lui ces acteurs se sont mus en de véritables agents de développement qui ont participé à asseoir une politique de gestion concertée des ordures ménagères. Il a fait comprendre que les expériences concluantes sont enregistrées au niveau des quartiers de Njong et Mbélénième .Faisant l’objet d’une évaluation le 27 mars 2008, il a été décidé de l’étendre progressivement à d’autres quartiers comme Ndoubab et Afdaye Diamaguène.
Selon l’adjoint au maire, la bonne gestion de l’environnement équivaut à une bonne gestion de la santé des populations. Pour lui, cela constitue un pas de plus vers le développement surtout pour une souche de la population tournée entièrement vers le travail. Il a rassuré que le projet va être élargi à l’ensemble des quartiers de Joal –Fadiouth et à Ngazobil.
En rappel, le projet intégré de gestion des ordures ménagères de Joal-Fadiouth engage une quarantaine de personnes ayant chacun un âne et une charrette pour collecter les ordures ménagères. Ces dernières les déposent au point de collecte. Déjà les éléments sont triés en ordures biodégradables et non dégradables .Les éléments biodégradables sont directement transmis à l’unité de transformation, pour faire du composte .Les rémunérations des charretiers sont calées à cinquante mille francs. Au de là la création d’emplois et de rendre propre et accueillant l’environnement, le composte produit est apprécié des paysans qui en voit un engrais organique de haute facture.
Pour Mamadou Sarr, un des coordinateurs du projet, un film de 26 minutes est réalisé pour garder en mémoire ce qui est déjà réalisé. En plus ,il a été projeté le 27 mars 2008 à Dakar devant l’Asprosen ,la Sapco, Tostan ,Green Sénégal ,le Peace Corps ,la Caritas et l’ensemble des structures et associations sénégalaise s’occupant de l’environnement.
Sud Quotidien
A en croire le directeur du Corps de la paix américain Monde qui a visité beaucoup de projets, celui de Joal-Fadiouth par conception et sa réalisation est unique en son genre. Il a félicité les hommes et les femmes qui se sont investis pour ramasser, collecter les ordures en vue de rendre accueillant et propre leur cadre de vie. Dans cet engagement de prise en charge des ordures ménagères ,il a aussi magnifié et félicité aussi l’action des deux volontaires du Corps de la Paix américain qui ont suivi le projet à ses débuts .Il pense que le modèle joal-fadiouthien est transférable à travers le monde. Selon ses propos ,la pérennisation du projet ne lui pose aucun souci avec la communication ,la presse,la présence des élèves ,les espoirs de demain qui sont tous imprégnés de la donne .Il se dit ,très rassuré que la relève va être de mise.
Emmanuel Diouf le 1ier adjoint au maire de Joal–Fadiouth a dit dans son intervention .Le projet ne doit plus s’arrêter par rapport à son succès. Il a loué au nom du maire Paul Ndong empêché les actions menées dans le cadre du savoir citoyen par la coopération décentralisée par les volontaires du Corps de la Paix. Pour lui ces acteurs se sont mus en de véritables agents de développement qui ont participé à asseoir une politique de gestion concertée des ordures ménagères. Il a fait comprendre que les expériences concluantes sont enregistrées au niveau des quartiers de Njong et Mbélénième .Faisant l’objet d’une évaluation le 27 mars 2008, il a été décidé de l’étendre progressivement à d’autres quartiers comme Ndoubab et Afdaye Diamaguène.
Selon l’adjoint au maire, la bonne gestion de l’environnement équivaut à une bonne gestion de la santé des populations. Pour lui, cela constitue un pas de plus vers le développement surtout pour une souche de la population tournée entièrement vers le travail. Il a rassuré que le projet va être élargi à l’ensemble des quartiers de Joal –Fadiouth et à Ngazobil.
En rappel, le projet intégré de gestion des ordures ménagères de Joal-Fadiouth engage une quarantaine de personnes ayant chacun un âne et une charrette pour collecter les ordures ménagères. Ces dernières les déposent au point de collecte. Déjà les éléments sont triés en ordures biodégradables et non dégradables .Les éléments biodégradables sont directement transmis à l’unité de transformation, pour faire du composte .Les rémunérations des charretiers sont calées à cinquante mille francs. Au de là la création d’emplois et de rendre propre et accueillant l’environnement, le composte produit est apprécié des paysans qui en voit un engrais organique de haute facture.
Pour Mamadou Sarr, un des coordinateurs du projet, un film de 26 minutes est réalisé pour garder en mémoire ce qui est déjà réalisé. En plus ,il a été projeté le 27 mars 2008 à Dakar devant l’Asprosen ,la Sapco, Tostan ,Green Sénégal ,le Peace Corps ,la Caritas et l’ensemble des structures et associations sénégalaise s’occupant de l’environnement.
Sud Quotidien